Le blog de Krampack
Je vais vous raconter comment j’ai franchi le pas pour la première fois, il y a deux ans. J’avais alors 22 ans. Je me considérais comme hétéro même si, à 17 ans j’avais eu une aventure pendant un week-end avec un copain, mais cela s’était limité à une branle réciproque. À partir de 18 ans, j’ai eu des relations avec des copines et il y a deux ans je suis sorti avec Marie. Son père était japonais et sa mère française. Elle était donc typée asiatique, brune avec des cheveux noirs, grande, mince et vraiment très belle. Sexuellement on s’entendait très bien et elle en voulait souvent, encore plus que moi ! On se connaissait alors depuis 6 mois et elle m’a invité à passer 3 semaines en août avec ses parents et son frère dans leur maison du midi. Ses parents étaient assez aisés et avaient une belle maison avec piscine. Le lendemain de notre arrivée, j’ai fait la connaissance de son frère Pierre qui avait 20 ans. Nous sommes allés le chercher à la gare. Il était lui aussi très beau gosse à l’allure sportive et on s’est bien entendu dès le premier contact. Physiquement, un type asiatique marqué, des cheveux courts, 1m81 pour 74 kilos (j’ai connu ses mensurations plus tard), donc plus musclé que moi car je pèse 70 kilos pour 1m82.
En fin d’après-midi on s’est retrouvé tous les deux au bord de la piscine. Il avait un corps parfait : large d’épaules avec les pectoraux dessinés ainsi que les abdos, la taille fine et le cul bien rond sous son maillot de bain noir. Ce qui me frappa la plus c’est son absence totale de pilosité. Seuls ses mollets avaient quelques poils courts. On se baignait en plongeant, sautant et on rigolait bien. À un moment, assis côte-à-côte au bord de l’eau, il me demanda avec un sourire “Alors elle baise bien la frangine ?”. Je lui répondis que tout allait bien entre nous. Il insista “Elle te suce aussi ?”. Je lui dis qu’elle aimait bien ça et que moi aussi. Il se leva et, avant de plonger, me lança “Elle en a de la chance !”. Sur le coup je suis resté sous le choc de cette déclaration. Je me demandais s’il blaguait ou s’il me draguait. Pourtant il n’avait pas l’air d’un homo. Pour en avoir le cœur net j’ai plongé et suis allé lui demander “Dis donc t’es homo ?”. Il me répondit l’air énigmatique “Devine !” puis il ajouta qu’avec un mec jeune et mignon comme moi, et de plus à l’allure virile, il pourrait se laisser tenter ! En s’essuyant il m’avoua qu’il était bisexuel et que je le faisais craquer car j’étais un peu poilu et que j’avais l’air d'avoir un bon paquet !
La fin de journée a été assez troublante pour moi car je sentais son regard m’épier en permanence pendant le repas et même ensuite quand on est sorti faire un tour en bord de mer. J’étais partagé entre Marie que j’aimais et Pierre qui m’excitait terriblement. De retour à la maison, il était une heure du matin, Pierre demanda si quelqu’un voulait prendre un bain. Les parents et Marie fatigués partirent se coucher et Pierre me dit “Tu viens avec moi ?”. J’acceptais le cœur serré en me doutant de ce qui allait se passer. Pierre me dit “On va être bien tous les deux, on n’éclaire pas et les chambres donnent de l’autre côté. Tu viens ?”. Je le suivis et on se déshabilla pour plonger à poil dans l’eau tous les deux. Pierre me prit la main et m’entraîna dans le petit bain. On était face à face et il commença à me caresser la poitrine puis m’enlaça pour un premier baiser ardent. Je caressais ses épaules et son dos musclé. Sa peau était très douce et j’étais en pleine érection, ma queue plaquée sur mon ventre. Je sentais la sienne très dure contre moi. On s’embrassait toujours et mes mains descendaient le long de son dos, dans le creux de ses reins cambrés, près de ses fesses galbées et bien fermes. Il murmura “J’ai envie de toi...” et ses mains descendirent sur mon sexe. Je l’entendis dire “Putain quel morceau !”. J’ai en fait une queue dans la bonne moyenne mais sans plus : 18cm et de largeur normale.
Il me fit asseoir au bord de l’eau, cuisses écartées et commença à me sucer d’abord en s’attaquant au gland puis en l’enfournant de plus en plus profond. Régulièrement il l’avalait en entier et restait une seconde avec mon gland dans la gorge avant de reprendre son mouvement de va-et-vient. Je le fis arrêter avant de jouir et lui proposai de lui rendre la pareille en lui disant bien que je ne l’avais jamais fait, mais j’étais tellement excité que j’avais envie de sa queue. Il prit ma place et je descendis dans l’eau. Sa queue était beaucoup plus petite, dans les 15cm, assez fine. Elle était à la verticale, le gland contre son ventre. Je la baissais un peu en bas pour la sucer. Quelle révélation et quel plaisir j’avais à sentir cette tige dure dans ma bouche ! Mes va-et-vient semblaient lui plaire car il gémissait sous mes caresses. J’arrivais à la gober en entier et je lui malaxais les couilles qui ne pendaient pas mais roulaient sous la peau. Il me demanda de les sucer et se pencha en arrière pendant que je les faisais entrer et sortir de ma bouche.
Ensuite il s’est couché sur une banquette et m’a fait mettre en 69. J’avais sa tête entre mes cuisses et il me suçait pendant que je le pompais : c’était génial ! L’excitation montait et quand je lui ai dit que j’allais jouir, il m’a branlé et j’ai giclé mon sperme sur sa poitrine tandis qu’il me léchait les couilles. Dix secondes après c’est lui qui jouissait sur mon ventre. Ensuite on s’est embrassé et on est allé à la douche pour se rincer et nettoyer le sperme. On a discuté et il m’a dit qu’il avait envie que je le baise et qu’il achèterait des capotes et du gel le lendemain.
Il était très hard dans ses propos. Entre autre il disait qu’il voulait sentir ma grosse queue dans son trou. Il s’est couché sur la table, le dos nu et a remonté ses cuisses sur lui pour me présenter son trou. Dans sa raie ma main sentait des petits poils courts et l’entrée de son trou du cul avait une peau lisse et très douce. Il me dit de cracher et d’ajouter un doigt. Avec la salive mon doigt titillait son trou et pratiquement sans forcer rentra dans son boyau. C’était chaud et très souple et mon doigt allait et venait à l’intérieur. Il gémissait et bandait à fond comme moi. J’ai craché deux ou trois fois encore pour bien le limer et j’ai repris sa queue dans la bouche pour le sucer. Rapidement il prit sa tige pour se branler et jouit dans ses poils de pubis tandis que je lui branlais toujours le trou. Il était haletant et me demanda de lui mettre son sperme dans le cul. Je trempais le doigt dedans et le limais avec. Pendant cinq minutes de ce petit jeu, il ne débanda pas. Ensuite, il me suça encore et me fit jouir par terre.
Le lendemain la matinée fut calme à la maison. Avant le repas Pierre me glissa à l’oreille en douce “J’ai fait des achats pour ce soir !”. Après le repas, à l’heure de la sieste, on est allé se reposer avec Marie dans la chambre et on a fait l’amour. En fait, pendant que je la baisais, je pensais à son petit frère. Le soir arriva et une nouvelle fois comme la veille vers minuit et demi on resta seul. On commença par un bain dans la piscine qui se termina par un long baiser puis par une pipe réciproque. Puis on se sécha et Pierre alla chercher dans sa chambre les capotes et le tube de gel qu’il avait acheté. Ensuite, il se coucha nu le dos sur la table et je lui graissai le trou du cul avec du gel en lui enfonçant un doigt. Une fois ma capote mise en place, je pointais le gland sur son trou et, en forçant légèrement, je m’enfonçais en lui. Il poussait des gémissements pendant que je le pénétrais progressivement à fond. Je me mis à le limer lentement et c’était une sensation très agréable. Ma bite était beaucoup plus serrée que dans la chatte de sa sœur et je trouvais ça super. J’ai dû le baiser cinq minutes avant de jouir dans la capote.
On recommença ces séances de bains pratiquement tous les soirs et je crois que ce sont les meilleures vacances que j’ai connues.
À la rentrée, on s’est moins bien entendu avec Marie et on a fini par rompre en octobre. Par contre j’ai continué à voir Pierre. Il a fini de faire mon éducation et m’a fait goûter au plaisir d’être passif. La petite taille de sa queue a facilité ma première pénétration et j’ai tout de suite aimé ça. Depuis j’en ai pris des plus grosses et je suis maintenant autant actif que passif mais en tout cas homo à 100%.