Le blog de Krampack
La galère arriva bien plus vite que prévu. Une semaine avant l'échéance du premier paiement, les deux jeunes hommes n'avaient toujours pas de boulot. C'est ce qui décida Nabil à appeler le numéro relevé sur l'annonce.
C'est une belle voix féminine qui répond à l'appel. Elle lui explique qu'elle et son mari sont à la recherche de jeunes hommes pour pimenter leur vie sexuelle. Que c'est un acte basé sur le consentement et que si quelque chose ne plait pas à Nabil il sera libre d'arrêter à tout moment et de partir avec la totalité de la somme.
Rassuré et presque enthousiaste à l'idée de se faire de l'argent aussi facilement, Nabil décide de se rendre à l'adresse indiquée dès le lendemain matin, la femme au téléphone lui ayant indiqué qu'elle lui remboursera les frais de taxis.
Le taxi s'arrête devant l'entrée d'une maison de maître doté d'un portail de fer noir.
Tu m'étonnes qu'elle puisse me payer aussi cher avec la baraque qu'elle a, pense Nabil.
Une ravissante femme d'une quarantaine d'année vient ouvrir à Nabil. Elle lui explique que c'est elle qu'il a eu au téléphone et que son mari les attend dans le salon. La femme détaille Nabil de la tête aux pieds et affiche un sourire en coin lorsqu'elle voit la bosse bien remplie qu'arbore le jeune Arabe au niveau de l'entrejambe.
Arrivé dans le salon, Nabil fait la connaissance d'Antoine, le mari de la maîtresse de maison. Le jeune homme se sent rassuré par cet homme musclé dans la force de l'âge à l'air sympathique.
Ils montent tous les trois au premier étage dans une pièce spacieuse et lumineuse doté d'un grand sofa, d'un large écran plat et de plusieurs appareils de musculation.
— Bien, maintenant j'aimerai que tu suives mes ordres, annonce Marc d'un ton posé mais autoritaire. Commence par te déshabiller lentement et garde juste ton boxer.
Le jeune homme s'exécute. Il commence par enlever son t-shirt, dévoilant son torse légèrement halé et finement musclé. Il passe ensuite à son pantalon afin de libérer ses jambes puis enlève ses chaussures et ses chaussettes, dévoilant des pieds couverts d'un subtil duvet de poils noirs. Nabil est maintenant en boxer Calvin Klein noir, debout devant le couple.
— Mmmmh, tu as l'air d'être bien équipé. Dit la femme. Voyons voir si les Maghrébins sont à la hauteur de leur réputation. Enlève ton boxeur.
Nabil descend rapidement son boxeur et garde une main sur son sexe par pudeur. Devant le regard insistant de la femme il l'ôte et dévoile son gros sexe basané et velu au couple. Les bourses brunes du jeune Arabe sont contractées et sa hampe circoncise pend mollement au-dessus de ses deux grosses dattes.
— Pas mal du tout ! s'extasie la femme. Quoiqu'un peu poilu, ça doit sentir l'homme tout ça ! Tu en penses quoi Antoine ?
A la surprise de Nabil, Antoine approche doucement son visage du sexe du jeune homme. Nabil sent le souffle chaud de sa respiration sur le bout de son gland circoncis et sur le haut de ses bourses.
— Ça sent bon le jeune mâle, analyse le mari.
Il fait se retourner Nabil en l'empoignant doucement par les hanches et applique la même analyse sensorielle à ses fesses musclées.
— Tout de même, tu ne le trouves pas un peu trop poilu ? lâche la femme.
— C'est dans ses gènes mais tu as raison, on va s'occuper de ça...
Antoine quitte la pièce et revient quelques secondes plus tard avec une tondeuse électrique en main. L'idée de se faire raser ne dérange pas beaucoup Nabil. Après tout il y a quelques temps il a eu l'occasion de constater que Medhi le fait aussi.
Le léger vrombissement de la tondeuse résonne comme une mélodie dans la tête du jeune homme. Il se surprend à aimer le doux contact de cette dernière sur son pubis, faisant tomber petit à petit sa fourrure drue au sol. La tondeuse va maintenant caresser délicatement sa poche à semence puis remonte sur la verge que quelques poils ont pris d'assaut. Par réflexe l'organe prend instantanément un peu de volume. L'homme passe maintenant aux aisselles du jeune Algérien et le débarrasse de toute trace de pilosité. Une fois l'opération terminée Antoine retourne auprès de sa femme restée en retrait et admire le corps quasi glabre de l'Arabe.
— Pas mal du tout ! commente la femme. On a l'impression qu'il est encore mieux monté qu'avant sans tous ces poils.
— C'est l'heure de faire un peu d'exercice ! Montre nous ce que tu sais faire… A moins que tes muscles ne soient que de la gonflette ? plaisante le mari.
Vexé dans sa fierté de jeune footballeur, Nabil s'avance jusqu'aux appareils de musculation, sa grosse verge rasée et basanée gigotant au rythme de ses pas. Pendant près d'une heure le Maghrébin enchaîne pompes, tractions et exercices sur les appareils de musculation. Il sue d'un peu partout ; son corps luisant met en avant les reliefs de sa musculature puissante. Nabil commence à fatiguer lorsque la femme le remarque. Elle vient délicatement poser la main sur l'épaule du beur et lui annonce solennellement :
— Après l'effort le réconfort, viens t'asseoir sur le canapé.
Nabil ne se fait pas prier et prend place sur le sofa recouvert d'un drap qui devient rapidement humide au contact de sa transpiration. Antoine propose un verre d'eau au jeune homme qu'il s'empresse de boire rapidement. Sans qu'il s'en soit rendu compte la femme est passée derrière lui et commence à masser ses épaules endolories par l'effort. Quant au mari il applique le même traitement aux pieds du jeune oriental. Nabil ferme les yeux et se laisse aller. Tous ses soucis semblent s'évaporer et une chaude chaleur émane de son ventre. Peu à peu Antoine passe des pieds aux mollets puis aux cuisses jusqu'à la base des testicules de Nabil. Sa femme est descendue des épaules aux mains du jeune homme. Elle sort un ruban rouge de sa poche et lie entre eux les poignets du mâle qu'elle attache ensuite au cadre du sofa. Nabil feint un léger mouvement pour tester la solidité des liens et il est vite rassuré quand il constate qu'il pourrait les arracher sans aucun souci au cas où.
Nabil sent maintenant un liquide tiède couler sur son sexe. C'est Antoine qui s'applique à enduire de lubrifiant l'organe reproducteur du jeune homme. D'une main experte il enduit d'abord les bourses puis la hampe pour finir sur le gros gland brun et sec de Nabil. Il commence par malaxer doucement ses testicules, ce qui arrache un soupir de plaisir au jeune beur. Son sexe a pris du volume et repose maintenant sur le haut de sa cuisse. Des goûtes de liquide pré-éjaculatoire viennent se mélanger au lubrifiant. Lorsqu'Antoine pose sa main et enserre la lourde verge basanée du rebeu, celle-ci se dresse automatiquement et vient cogner contre son nombril. Le sexe de Nabil en érection est impressionnant : il fait facilement 22cm et il est très large. Son gros gland ressort mis en avant par la large cicatrice de sa circoncision qui rend son sexe légèrement bicolore. Antoine commence de lents va et vient sur la verge de l'Arabe tandis que son autre main enserre ses bourses pour garder sa semence au chaud. Pendant ce temps sa femme s'est dirigée vers la télévision afin de mettre un film pornographique, qu'instinctivement Nabil ne peut s'empêcher de fixer. Le mari tire une malle de sous le canapé duquel il sort un sextoy en forme de vagin dans lequel il glisse le sexe du beur. Nabil lâche aussitôt un gémissement. Son instinct de reproducteur a maintenant pris le dessus sur sa raison. Il ne pense plus qu'à une chose : éjaculer pour remplir et faire déborder ce vagin en plastique de sa semence blanche et chaude. Son regard est devenu bestial et ses traits se sont durcis. Il fixe l'horizon comme si quelque chose retenait son attention. Peu à peu il accompagne de légers mouvements du bassin les mouvements réguliers de l'homme qui lui procure tant de bien. Ses bras liés au canapé sont tendus, inconsciemment ses mains souhaiteraient reprendre le contrôle du plaisir, sa nature de dominant a du mal à supporter qu'il soit ainsi la victime de cet abandon physique et sensoriel.
Les mouvements d'Antoine se font de plus en plus rapides. Nabil est en transe. Tout son corps est révulsé. Ses muscles sont contractés. Ses pieds et ses mains font des mouvements dans le vide. Puis dans un murmure qui petit à petit se fait cri, il hurle tout en gémissant :
— Je vais… arrêtez… je vais… je vais… éjaculer… je vais…
Ne tenant pas compte des supplications du jeune Maghrébin, Antoine continue de plus belle ses mouvements experts tout en appliquant à l'endroit de sa cicatrice auquel se trouve normalement le frein, de légères caresses avec son pouce.
Dans une dernière convulsion, tout le corps du bel Algérien se tend,. La tension sur les liens de ses poignets fait grincer le cadre métallique du sofa et c'est accompagné d'une plainte rauque que le sexe de Nabil tressaute et envoie une première salve de foutre valser à travers la pièce. L'organe reproducteur du jeune homme semble devenir fou : il suinte et se contracte brusquement pour envoyer des jets crémeux et chauds de sperme épais qui coulent le long de sa verge. Beaucoup atterrissent sur son torse, le blanc du liquide contrastant avec la couleur naturellement halée de sa peau. Le reste se déverse sur ses bourses contractées et coule sur le canapé. Ce sont au total plus de 8 jets qui sortent du volcan en fusion qu'est devenu la verge du beur. L'orgasme passé, Nabil semble encore sonné par la décharge de plaisir pur qu'il vient de recevoir.
— Je suis... je suis fatigué.... je veux... je veux dormir, murmure-t-il.
La femme détache ses liens ce qui permet à Nabil de s'allonger doucement sur le canapé. Sa verge circoncise est redevenue molle, elle est presque entièrement enduite du liquide reproducteur et odorant du rebeu. Ses deux boules se sont relâchées et pendent mollement sur ses cuisses. Nabil n'en a que faire, il est épuisé et quelques secondes à peine après s'être allongé il s'endort d'un sommeil profond et réparateur.