Le blog de Krampack
Je m'appelle Lucas et cette histoire se passe l'été de mes 15 ans lorsque mes parents avaient décidé d'aller au camping dans les Landes.
Après être arrivé, avoir déballé nos affaires et monté notre tente, je décidai de faire le tour du camping. Je remarquai qu'il y avait beaucoup d'enfants et d'ados. Je partis en bordure du camping et là, je vis un magnifique bel étalon sortir de sa tente. Il était tellement beau que je ne pus pas détacher mes yeux et... je me pris un arbre de plein fouet. Je suis tombé sur la tête et j'ai perdu connaissance. Quand j'ai rouvert les yeux je vis que quelqu'un se penchait sur moi : c'était mon beau gosse ! Il était brun aux yeux bleus, assez musclé mais pas trop et assez grand. Il me demanda :
— Ça va ?
Je lui répondis en bégayant :
— Eeeh... Oui, oui ça va... Même si j'ai un peu mal à la tête.
— Tu peux te lever ? me demanda-t-il.
— Oui je pense, lui répondis-je en me relevant.
Après m'être relevé et m'être dépoussiéré il me dit : "Salut je m'appelle Hugo !" en me tendant la main. Je la lui serrai en lui disant que je m'appelais Lucas. Il me demanda si je voulais prendre un verre de coca dans la tente de ses parents pour me remettre de mes émotions, ce que j'acceptai bien évidemment. Ses parents étaient partis faire des courses et donc nous étions seuls. Dans sa tente j'appris qu'il avait 15 ans comme moi et que c'était la troisième fois que lui et ses parents venaient dans ce camping. Après avoir fini mon verre je le remerciai et enfourchai mon vélo pour repartir vers ma tente.
Le lendemain je rencontrai Hugo en allant à la piscine. Nous nous installâmes côte côte puis partîmes vers le bassin. Une fois dans l'eau nous nous mîmes à chahuter en nous éclaboussant et en nous attrapant. À un moment Hugo me courut après sur le bord de la piscine et m'attrapa par la taille pour me ceinturer. C'est alors que je sentis à travers mon maillot de bain sa bite durcir contre mes fesses. Je fis comme si de rien n'était. Puis le jeu se calma et nous retournâmes nous coucher sur nos serviettes. Je l'observais du coin de l’œil et je remarquai que l'on ne pouvait pas voir qu'il bandait car son short maillot de bain était assez ample. À la fin de l'après-midi il me proposa d'aller chez lui. N'ayant rien prévu ce soir-là j'acceptai avec empressement. Nous nous enfermâmes dans la tente pour être plus tranquille. Ses parents étaient partis faire une balade dans un village proche et seraient de retour assez tard dans la soirée. Comme nous avions découvert que nous avions une certaine affinité, Hugo proposa de jouer à "action ou vérité" qu'il avait sur son téléphone. C'était à moi de commencer et je choisis vérité. La question fut : "Combien avez vous eu de petites amies ?" Je répondis que je n'en avait eues que deux. Puis ce fut le tour d'Hugo. Il choisit action : "Ôtez un vêtement suivant le choix du joueur de votre droite" mais comme nous étions juste tous les deux ce fut donc mon choix et je choisis qu'il retire son short. Ce qu'il fit. Il se retrouva donc vêtu de son tee-shirt et d'un caleçon Arena bleu électrique qui lui moulait bien son paquet. Il avait l'air assez garni... Puis ce fut encore à moi et je choisis action cette fois ci : "Caressez la cuisse du joueur se trouvant en face de vous de manière sensuelle". J'étais un peu hésitant à l'idée de faire ça, mais Hugo me dit que je n'avais qu'à le faire, que personne ne le saurait à part nous deux. Je commençai par caresser le bas de la cuisse pour remonter vers son entrejambe. Après avoir fini mon gage je remarquai qu'Hugo avait un début d'érection. Le jeu continua ainsi : Hugo dû me masser l'entrejambe avec son pied pendant 1 minute ce qui provoqua une érection qui me fit rougir jusqu'aux oreilles, ou encore je dus lui lécher le cou de manière sensuelle... Puis le jeu prit fin vers 22h30, l'heure où je devais rentrer chez moi. On s'est dit au revoir et à demain puis je suis rentré chez moi plein de fantasmes dans ma tête. Le soir quand je fus dans mon sac de couchage, je me remémorai cette journée passée avec Hugo ce qui me provoqua une érection et une envie pressante de me branler un bon coup. Ce que je fis en faisant le moins de bruit possible car mes parents dormaient de l'autre côté de la tente.
Le lendemain matin je me rendis aux douches communes pour un brin de toilette. Quand j'arrivai il y avait une queue énorme et je dû patienter pendant au moins un quart d'heure pour me rapprocher à moins de 5 mètres des douches. Bizarrement, je devais être le dernier à vouloir prendre une douche ou alors les autres s'étaient découragés de devoir attendre trop longtemps, si bien qu'il n'y avait personne derrière moi. En étant plus proche que jamais de me doucher, j'entendis une voix qui m'appelait. Je me retournai et vis que c'était Hugo. Quand il arriva on se dit salut. À ce moment là une douche se libéra. Je lui dis : "Tu n'as qu'à la prendre, une minute de plus à attendre ne me fera pas de mal." Mais il me répondit :
— Mais non vas-y, je t'ai vu tout à l'heure faire la queue.
— Bon, bah, on a qu'à y aller ensemble, lui répondis-je.
— Ok, si tu veux, me répondit Hugo.
Nous y allâmes ensemble. Nous nous déshabillâmes tous les deux puis nous allâmes sous la douche ensemble. Du coin de l’œil j'observais ses couilles assez grosses au repos et je voyais que lui aussi faisait de même. À force de nous mater mutuellement nous commençâmes à avoir une érection. J'essayais de la cacher du mieux possible mais Hugo dit :
— C'est marrant on bande tous les deux.
Et là je rougis jusqu'à la racine des cheveux. Mais Hugo continua :
— Ça te dirait qu'on se branle tous les deux ? Je l'ai déjà fait avec un pote et c'était génial.
Il n'attendit pas ma réponse et saisit ma bite bien bandée. Il se mit à faire des va-et-vient. Ne sachant pas quoi faire je pris aussi son pieu dur et fis de même. Nous jouissions tous les deux si bien que nous jutâmes en même temps. Et là je vis Hugo se mettre à genoux pour me lécher et me laver la bite. Je trouvais ça tellement bon que j'en criais presque de jouissance. Bien sûr je lui fis la même chose quand il eut finit avec moi. Après la douche nous nous donnâmes rendez-vous à 13h près des douches. C'était sans nous douter que quelqu'un nous avait espionnés.
À 13h nous nous retrouvâmes donc près des douches et nous partîmes pour la plage. J'y étais déjà allé avec mes parents le jour de notre arrivée. Pour y accéder il fallait traverser la lande sur au moins deux kilomètres puis grimper la dune. Une fois arrivé sur la plage, Hugo me dit de le suivre. Il m'emmena dans un coin de la plage tout près des dunes où il n'y avait pas grand monde. Nous nous déshabillâmes puis nous allâmes nous baigner dans la mer bleu foncé. Une fois fini de chahuter dans les vagues, nous retournâmes nous étendre sur nos serviettes pour une séance de bronzage. Après une heure de cette activité de détente, Hugo me demanda de le suivre car il voulait me montrer quelque chose. Je le suivis. Il me fit gravir les dunes puis m'enfoncer dans les pins. Nous arrivâmes à une espèce d'abri en béton, fermé par une porte en fer. Hugo ouvrit la porte et je découvris que l'espace était découpé en trois zones par des cloisons et des portes à la peinture rouge défraîchie. Hugo dit :
— J'ai découvert cet endroit la première fois que je suis venu au camping.
Puis il me demanda d'entrer dans une des salles et referma la porte. Il alluma la petite veilleuse. À ce moment-là il s'avança vers moi et m'embrassa passionnément. Tout d'abord surpris, je commençai par reculer et à me coller contre le mur, puis je me détendis et commençai moi aussi à l'embrasser. Soudain il se mit à me masser les couilles à travers mon maillot de bain ce qui me fit bander dur comme de l'acier. Puis il descendit de plus en plus jusqu'au niveau de ma bite bien bandée. Il l'embrassa à travers le tissu puis m’enleva mon maillot.
Je me retrouvai la bite bien dressée à l'air libre. Là, il commença à me la sucer comme un dieu. Je soupirai de plaisir. Je le regardais de temps en temps et il me regardait avec ses magnifiques yeux bleus tout en suçant ma queue. Pour faire durer le plaisir, je le pris par les épaules et le fis se coucher sur le sol. Il reprit mon pieu en bouche. Je m'allongeai sur le côté avec la tête au niveau de sa bite bien gonflée. Je la pris en bouche : c'était une belle bite de 20 cm, assez épaisse. Nous partîmes en 69 jusqu'à qu'il me dise :
— Je vais jouir !
Alors j'enfonçai son chibre dans ma bouche et attendis son jus. Il ne tarda pas à venir et je reçus 4 jets de foutre dans ma bouche. J'avalai tout et je trouvai ça très bon. Puis je lui nettoyai la bite et je sentis que moi aussi j'allais venir, alors je prévins Hugo et lui dit :
— Je vais juter !
Il arrêta de me sucer, ouvrit sa bouche et me branla jusqu'à ce que j'éjacule 3 puissants jets dans sa bouche et sur son visage d'ange. Il se releva et vint sur moi. Il m'embrassa avec mon sperme. A ce moment-là quelqu'un toqua à la porte. Hugo se releva et alla ouvrir. On découvrit un beau gosse aux yeux bleu-vert d'une quinzaine d'années aussi. Il nous dit :
— Salut je m'appelle Enzo, j'étais dans la douche à côté de vous ce matin et j'ai tout entendu puis je vous ai suivi jusqu'à la plage et jusqu'ici... J'aimerai savoir si ça vous dérangerait si je me joignais à vous ?
Il le dit en baissant les yeux comme un petit enfant.
— Eeeuh non, je n'y vois pas d'inconvénient, répondit Hugo. Et toi Lucas ? Ca te dit une partie de jambes en l'air a trois ?
— Mais pourquoi pas ! lui répondis-je.
Eh bien pour une première fois, j'allais être gâté ! Hugo fit les présentations puis il commença à l'embrasser. Je pus ainsi observer le nouveau venu. Il était assez grand, sec et musclé. Une vrai bombe bien que je préférais Hugo. A ce moment Enzo se détacha d'Hugo et vint me voir. Il m'embrassa passionnément. Hugo nous rejoignis et nous fîmes un baiser langoureux à trois. Je pris le paquet d'Enzo et commençai à le malaxer. Sa bite prit de plus en plus de volume. Je sentis que son maillot allait craquer littéralement et donc j'entrepris de l'en débarrasser. Je découvris une bite bien droite, très épaisse et assez longue mais moins que celle d'Hugo. Je me mis à la branler doucement puis je descendis de plus en plus avec ma bouche jusqu'à son pieu dressé. Je me mis à le sucer du mieux que je pus pendant qu'ils continuaient à s'embrasser. Je vis que la queue d'Hugo reprenait du volume alors je me mis à sucer ces deux magnifiques chibres en même temps.
Au bout de cinq minutes de pompage, Enzo me fit m'allonger sur le dos puis me mit le cul bien en vue en relevant mes jambes. Il se mit à me titiller la rosette avec la langue. Puis il m'introduisit un doigt dans mon trou bien serré et fit des va-et-vient. Pendant ce temps Hugo s'était mis à quatre pattes au-dessus de ma tête et je compris qu'il avait envie que je continue ma petite pipe, ce que je fis avec empressement. Je sentis qu'Enzo avait recommencé a me titiller la rondelle avec la langue. Puis il introduisît deux doigts dans mon anus et recommença ses va-et-vient. À ce moment là, Hugo me dit : "Lucas attention, je vais venir !" et c'est ce qu'il fit deux seconde plus tard. Trois jets plus puissants que la première fois. J'avalai tout goulûment et lui nettoyai sa bite. Il se pencha pour m'embrasser.
Puis je sentis qu'Enzo avait arrêté de me tripoter le trou. Je sentis un objet plus gros se présenter à l'entrée de mon anus. Il commença à entrer de plus en plus loin et cela me faisait de plus en plus mal. Je me retins de crier mais Enzo continua jusqu'à que je sente ses boules contre mon cul. Puis il s'arrêta quelques secondes le temps que je m'habitue. Il repartit dans l'autre sens plus vite que quand il était entré. Puis il commença un véritable va-et-vient et je me détendis petit à petit jusqu'à éprouver du plaisir. Je sentais bien ses grosses boules et ses puissantes cuisses claquer contre mon petit cul.
Pendant ce temps-là, Hugo continuait son baiser. Puis il se leva et vint se placer au dessus de ma bite dure comme jamais pour commencer à la pomper. J'étais aux anges. Je me laissai limer le cul et me pomper pendant 1 minute puis je remarquai que j'avais le cul d'Hugo juste au dessus de ma tête. Une idée surgit dans ma tête : j'allais faire à Hugo ce que m'avait fait Enzo ! Je pris les hanches d'Hugo pour lui demander de baisser ses fesses et là je me mis à lui titiller la rosette. Puis j'introduisis un doigt en faisant des va-et-vient et je poursuivis avec deux. Hugo avait l'air d'apprécier car il poussait de petits gémissements tout en me suçant la queue. À ce moment, enzo interrompit ses va-et-vient dans mon cul et me dit : "ça te dit que l'on se lève parce que j'ai compris ce que tu voulais faire avec Hugo ?"
Alors Hugo s'interrompit et Enzo sortit de mon cul. Je me levai et je présentai mon cul à Enzo tandis qu'Hugo me présentait le sien. Enzo reprit ses va-et-vient. Je présentai ma queue à l'entrée du cul d'Hugo puis commençai à le pénétrer. La moitié de ma bite était rentrée quand je fis une pause pour que le cul d'Hugo s'habitue puis je repris ma pénétration. Presque à la fin Hugo poussa un gémissement de douleur alors que j'arrivai au fond. J'entrepris des va-et-vient toujours assez lents puis j'accélérai de plus en plus jusqu'à une vitesse qui me convenait tout en me calquant sur les mouvements d'Enzo. J'étais au paradis. Enzo me dit :
— Ça arrive !
Alors Enzo s'enfonça encore plus profondément en moi et je sentis un liquide couler. Il venait de jouir dans mon cul ! Il se retira et se mit à nous contempler en train de nous enculer. Je sentais moi aussi que la jouissance était proche. Quand je me sentis sur le point de cracher ma semence, je chuchotai dans l'oreille d'Hugo :
— Je vais juter !
Celui-ci semblait prendre son pied tellement il gémissait. Quand je fus sur le point d'éjaculer je m'enfonçai le plus profondément possible et jutai bien plus fort que durant mes parties de branlette solo. Je ressortis du cul d'Hugo et l'embrassai. Il entreprit de nettoyer ma bite et moi celle d'Enzo qui avait dégonflé. Puis Enzo dit à Hugo de se relever et lui offrit son cul imberbe. Hugo, qui n'avait enculé personne, ne se fit pas prier. Il fit le rituel pour détendre la rondelle d'Enzo et s'introduisit tout doucement dans son cul. Alors les va-et-vient commencèrent. Les cuisses d'Hugo claquaient sur les fesses d'Enzo. Tous les deux gémissaient de plaisir. Je sentis ma bite rebander. Je m'approchai d'Enzo qui se tenait courbé et la lui présentai. Il la goba et commença à la sucer divinement. Au bout de dix minutes je dis à Enzo :
— Je vais jouir !
Alors je retirai mon chibre de sa bouche et me mis à me branler devant son visage. Au bout de quelques va-et-vient je lui éjaculai sur le visage trois jets de sperme. Il en était recouvert. Et à ce moment là, Hugo cria :
— Je vais juter, je vais juter !
Et il juta en criant de plaisir. Il se retira du cul d'Enzo et nous nous retrouvâmes pour un dernier baiser à trois avant de rentrer.