Le blog de Krampack

 

Ce jour là, en me levant au lever du soleil, je me sens un chasseur. Une abstinence sexuelle de plusieurs jours a engrangé en moi une force et un désir de vider un trop plein de semence qui sommeille dans mes couilles...

 

Sous la douche, afin d’être clean pour une éventuelle rencontre, je bande dur mais m’abstiens de me branler. Ma main droite caresse mon pieu de chair fortement tendu, décalotté, vibrant sous l’afflux sanguin qui circule dans cette colonne de chair, mais je résiste à me masturber. Une fois lavé, séché, propre, j’entreprends de me raser les couilles et le cul et taille ma toison blonde au plus court possible. Imberbe de nature sur un corps finement dessiné par des heures de muscu, je suis relativement ravi, pour mes 18 ans, de posséder une telle enveloppe. Je me regarde dans la glace qui me renvoie l’éclat lumineux couleur aigue marine de mes yeux. J’enfile un boxer rouge sur une peau légèrement bronzée. Ma queue et mes couilles se moulent dans ce tissu soyeux. Je me caresse mais cesse immédiatement ce geste car je me sens bander. Il serait dommage de gaspiller ma crème nacrée pour un plaisir solitaire ! J’ai fortement envie d’un mec, d’une queue, d’un cul à limer. Puis je m'habille d’un t-shirt rouge qui moule mes pectoraux et d’un pantalon de toile bleue qui met en valeur mon « trois pièces ». Et toujours cette folle envie de me branler... Mais je résiste.

 

11 heures. Mon désir de baiser est trop fort. Au volant de mon véhicule je me dirige vers un lieu de drague dont l’adresse était mentionnée dans un magazine gay. Et de plus, il n'est pas loin de chez moi. Je n’avais jamais douté que ce petit bois était un lieu de rencontre et de baise. Je roule lentement sur le petit chemin terreux qui mène à ce bois et stationne sous une haie de noisetiers qui me cache d’éventuels regards de la nationale. Mais pas une voiture en vue. Peut-être est-il un peu tôt dans la journée ? Question idiote ! Je reste au volant et patiente à tout hasard. Mais le soleil commence à montrer sa présence. Il fait chaud. J’ai peur de me transformer en éponge.

 

Soudain, vers midi, le bruit d’un moteur se fait entendre sur ce chemin de terre. Un rapide coup d’œil dans le rétroviseur gauche. Une BMW grise arrive doucement et là, je devine potentiellement qu’un gibier est à ma portée. Effectivement le véhicule stationne derrière le mien. Pendant quelques minutes rien ne se passe. Puis la portière côté conducteur s’ouvre et un mec en pantalon de survêtement et maillot blancs en descend. Il marche à pas lents au milieu du chemin, s’approche à ma hauteur, ralentit ses pas, tourne la tête vers moi, me sourit et pénètre dans le bois. 1m80 environ, cheveux noirs, type méditerranéen : ma queue me fait comprendre qu’elle a envie de ce mec. À mon tour, je quitte mon véhicule pour me diriger vers l’orée du bois, là où ce mec m’attend sans aucun doute. Mes yeux bleus doivent s’habituer au manque de lumière dans le bois mais rapidement, ils prennent possession de ce nouvel univers. Personne ! Où est donc passé ce beau gosse ? J’avance au hasard au milieu de ces troncs feuillus, tournant ma tête dans tous les sens en quête de ce mec. Mais rien ni personne. Volatilisé ? Envolé ? Et pourtant cette situation m’électrise de plaisir. Ma main droite se porte instinctivement vers mon sexe et décalotte celui-ci. Mais où est il passé ?

Cette question tourne dans ma tête comme un leitmotiv.

 

Mes yeux scrutent chaque recoin de fourré, de buisson, tel le chasseur à l’affût de son gibier lorsque j’entends une voix derrière moi qui me salue. Je me retourne prestement et réponds par les mêmes mots.

— Que recherches-tu ?

— Peut-être la même chose que toi, lui répondis-je.

Le mec, la trentaine, athlétique, petite barbe de poils noirs finement taillée, sourire éclatant, regard de braise, s’approche de moi, plaque sa main droite sur mon paquet et me dit qu’il veut ça ! Je fais le même geste en précisant que je veux ça aussi... Je devine au toucher qu’il ne porte pas de sous-vêtement. Une onde électrique à ce moment-là irradie entièrement mon corps en même temps qu’il malaxe mes couilles. Puis le tissu de son pantalon de survêt blanc se tend fortement, ma main enserrant son pieu de chair qui pointe vers l’élastique de son fute.

 

Mon partenaire me plaque dos contre le tronc du chêne situé derrière moi. Ses mains entreprennent de défaire mon ceinturon et je remarque qu’il porte une alliance d’or blanc à l’annulaire gauche. Un mec marié à la recherche d’un plaisir entre mecs. Cela m’excite encore plus. Puis, un à un, les boutons de mon jean sont dégrafés et sa main droite s’insère entre le tissu du pantalon et mon sous-vêtement, ses doigts caressant mon sexe tendu. Il malaxe les couilles, appuie légèrement sur ma queue afin de la tendre au maximum. Mon érection me fait presque mal tellement elle est dure, gonflée et fortement érigée. Il retire sa main et d’un geste rapide m’ôte mon t-shirt rouge qu’il jette négligemment au pied de l’arbre, me caresse les tétons qui durcissent puis les pince doucement. Sa langue humidifie ses lèvres, son regard pétille d’envie de sexe. Mes bras sont ballants le long de mon corps et je suis comme hypnotisé par ce mec. Moi le chasseur, je suis devenu le gibier ! Aucune parole échangée.

 

Il s’agenouille devant moi, tire le pantalon sur mes chevilles dévoilant ainsi mes jambes bronzées et couvertes de poils blonds, puis plaque sa bouche sur mon sexe érigé dans mon boxer. Ma pression artérielle s’accélère ainsi que ma respiration. Puis le boxer rejoint mon pantalon de toile sur mes chevilles. Ma colonne de chair, libérée de sa gaine de tissu, frappe la joue droite du mec et se tend sous son nez. Sa langue entreprend des caresses sur mon gland soyeux et gonflé puis descend le long de cette barre de chair gainée de veines bleues. Sa bouche s’empare de mes couilles rasées pendant que ses mains pétrissent mes fesses. Je halète devant cette torture enivrante, excitante. Soudain, mon gland disparait dans sa cavité buccale puis ma queue en entier, son nez dans ma toison blonde. Il entame de longs va-et-vient, sa langue enroulant l’extrémité renflée de ma queue et ses lèvres humides coulissant le long de ma barre de chair. Ma main droite se porte à l’arrière du crâne du suceur, mon bassin ondule au rythme de cette danse, mon sexe et livré à la bouche de ce mec... Ainsi je maîtrise cette joute : je deviens enfin le chasseur...

 

Mais soudain, mon partenaire se relève vivement, comme mû par un ressort, libérant ma queue de son emprise, plaquant mes épaules de ses deux mains contre le tronc, son regard brun dans mes yeux bleus… Je suis immobile, lui me sourit, me retourne et m’oblige à m’agenouiller devant cette souche épaisse, dévoilant ainsi mes fesses et ma rondelle à son regard. Je constate que je bande toujours aussi fortement. Ma queue est agitée par des soubresauts sanguins et libère quelques gouttes de sa semence. Lui me claque fortement les fesses de ses deux mains et je sursaute. Puis il sépare mes globes musclés. Ses doigts de la main droite glissent le long de ma raie rasée, caressent ma rondelle puis se dirigent vers mes couilles bien rondes, les attrapent, les malaxent et les tirent vers l’arrière. Il me fait mal. Ma queue tendue suit le même mouvement. Puis ses doigts libèrent mes deux boules et ma queue vient cogner mon ventre. Un jet de salive glisse le long de ma raie et ses doigts l’étalent sur ma rondelle ainsi humide. Son index droit pénètre mon intimité, ma caverne secrète, l’antre de la queue de quelques partenaires qui ont eu le bonheur de me besogner, rejoint par un second puis un troisième doigt. Il élargit ainsi mon trou en quelques va-et-vient puis les ôte de mon fondement. Ils glissent délicieusement dans la soie de mon intimité.

Je voudrais me relever, ne pas subir, mais sa main gauche appuie le milieu de mon dos, m’obligeant ainsi à rester agenouillé. Je retourne ma tête et constate qu’il se branle maintenant : un long pieu brun épais émergeant de sa paume droite. Je trésaille d’avance de plaisir et redoute en même temps la pénétration à venir ! Cette monstrueuse queue turgescente droite et dure à quelques centimètres de ma rondelle. Un nouveau jet de salive sur son gland et celui-ci appuie maintenant sur mon petit trou du cul. Les muscles s’ouvrent doucement pour laisser le passage à cet anaconda, comme la mer rouge s’est ouverte pour laisser le passage à une colonne humaine.

 

Deux coups de bassin puissants et me voilà littéralement empalé sur son mandrin vibrant. J’ai l’impression que son engin va m’ouvrir en deux ! Mes yeux perlent et je serre les dents. Je débande, ma queue pend lamentablement, retrouvant ainsi sa taille normale, le prépuce reprenant possession de mon gland. Elle est balancée dans tous les sens sous ces puissants coups de reins et cogne contre mes cuisses. Mes couilles suivent les mêmes mouvements. Ses mains agrippent mes hanches et je suis maintenant comme un simple jouet sexuel dans les bras de ce mec. Je penche ma tête vers le sol et mon regard, par-dessous mon corps, voit ses grosses couilles légèrement velues claquer mes fesses. Une onde électrique à nouveau envahit mon corps et un début d’érection s’annonce. Mon prépuce roule doucement sur le gland et ma queue s’excite par les balancements engagés par ces coups de boutoir.

 

Mon partenaire se courbe et épouse légèrement mon dos, son haleine chaude humidifiant mon cou. Sa main gauche titille ma queue qui gonfle, durcit, se tend vers mon ventre. Puis il empoigne mon engin, le décalotte à fond, fait rouler le prépuce sur le gland avec trois doigts et masturbe cette colonne de chair vibrante tout en poursuivant son limage de mon cul... Son souffle devient de plus en plus rapide. Il halète fortement puis soudain il se retire de ma caverne d’un coup de rein, me couche sur le dos, relève mes jambes, pose mes mollets sur ses épaules et approche à nouveau son dard fortement tendu et vibrant près de ma rondelle largement béante. Il plante son gode de chair en moi d’une seule poussée. Il rentre facilement jusqu'à la garde. Nos regards se croisent, ses mains caressent mes cuisses, mon ventre, ce qui m’occasionne des frissons de plaisir. Et il reprend sa charge frénétique en moi. Je le vois onduler du bassin, son regard attiré par son sexe qui me pénètre.

 

Cette situation m’excite et mon dard se tend à nouveau. J’empoigne celui-ci de ma main droite et me caresse. Mais le mec, tout en ondulant du bassin, dégage ma queue de ma main, saisit ma tige et la branle délicatement. Je ressens à ce moment précis une onde de plaisir qui m’envahit intérieurement comme si un éclusier ouvrait les barrages de la jouissance. La vague crémeuse, nacrée, tiède, va jaillir incessamment sous peu de ma colonne et mes couilles montent et descendent à une vitesse incontrôlable. Mon partenaire intensifie le rythme du limage de mon cul jusqu’à ce qu’il étouffe plusieurs cris en lui, cesse son va-et-vient, sort son mandrin, le branle et sa semence blanche jaillit en cinq jets puissants telle la lave d’un volcan, pour s’étaler et sur mon corps et sur mon visage. Un nouveau jet jaillit, se love sur l’arête de mon nez, dégoulinant sur mes lèvres tandis que ma langue se délecte de cette onctueuse crème. À mon tour, mon dard tendu, toujours dans la main du mec, libère sa semence nacrée qui jaillit également en plusieurs jets, se mélange à celle qui se trouve sur mon ventre, sur ma bouche, ne faisant qu’une seule trainée de lave blanche sur mon corps bronzé.

 

Mes jambes reposées à même le sol, il s’agenouille sur mes pectoraux et plonge son sexe à demi-bandé dans ma bouche. Ses couilles claquent sur mon menton. Son gland grossit à nouveau et emplit toute la cavité buccale. Les poils de ses couilles se mouillent de nos crèmes. Il veut simplement que je lui nettoie la queue et les couilles. Ma langue lèche son membre à demi-bandé et entreprend un nettoyage intime. Puis il se lève, réajuste son pantalon de survêt et me plante ici, nu, allongé à même le sol...

 

Quelques instants plus tard, j'entends son véhicule quitter le chemin de terre pendant que je me rhabille.

De chasseur, je suis finalement devenu gibier.

Dim 30 aoû 2015 1 commentaire
Classique mai sympa ton histoire
Alex - le 31/08/2015 à 06h41

Un moment de vie... comme il en existe beaucoup en effet !

Krampack