Le blog de Krampack
Après mes sorties nocturnes, ce que j’affectionne, c’est de prendre un bon bain brûlant qui ôte de mon corps la sueur de la danse, l’odeur de tabac, enfin tout ce qu’on peut ramasser comme impureté quand on fait la bringue !
Et quand je ne ramène personne à la maison c’est un rite auquel je ne déroge jamais. Ce qui m’arrive alors, c’est de me masturber avec de la mousse, de repenser à tous les mecs que j’aurais pu me taper : ceux qui m’ont regardé en coin, qui m’ont fait fantasmer pendant la soirée et de les faire participer en pensée à ma petite branlette. C’est une espèce de garde-fou. Je ne supporterais pas de me foutre au lit avec une bite toute dure, n’ayant pas eu ma petite dose de plaisir personnel. Ça me pousserait aux insomnies...
C’est d’ailleurs un excellent somnifère vu que le bain brûlant, après une nouba d’enfer, plus une ou deux éjaculations solitaires, c’est le meilleur des calmants. Ça vaut bien quelques tasses de camomille concentrée !
Mais, il y a deux jours, j’ai ramené une petit jeune dans ma piaule. Du genre fantaisiste soumis, qui obéit au moindre de vos caprices avec vice et éclats de rire. Je l’ai invité dans ma baignoire à se savonner la queue en ma compagnie. Il s’est tout de suite trompé de bite, saisissant la mienne comme s’il venait de réussir une pêche particulièrement miraculeuse. Il m’a d’abord passé la brique de savon sur le gland, le rinçant à grands jets d’eau après chaque savonnée. Puis je me souviens encore de ses grands yeux bleus vicieux avant l’âge : il a rapproché son buste de ma verge et l’a avalée avec délectation.
Ce type avait une bouche de feu et, à chaque pompage, l’eau de la baignoire était chahutée et menaçait de déborder. Dans le genre tempête, c’était un fameux ouragan qui balayait mes couilles ! Toute cette eau chaude, le caractère éminemment hygiénique de sa pipe, tout cela m’excitait comme un beau diable.
Je cherchai sa bite sous l’eau et, le jeunot blond écarta illico les genoux pour m’ouvrir les portes de son trésor. Dans un milieu aquatique, une verge est beaucoup plus douce, on a l’impression qu’elle est recouverte d’une peau de pêche. Je le décalottai et il poussa un soupir autour de mon gland englouti dans son gosier. Puis je lâchai cet aspect de sa marchandise pour aller lui titiller la rainure du cul. Spontanément, toute sa croupe s’avança vers mes caresses prometteuses et je n’eus aucun mal à le perforer d’un doigt curieux.
C’était un partisan de l’entubage. J’ôtai sa tête suceuse de mon pieu et l’obligeai à s’asseoir sur moi. Il était excité comme un petit fou ! De ses pattes, il guida mon bulbe en écartant la fissure de sa croupe et je lui perforai le derrière. Heureusement que le plancher était bien isolé contre l’humidité ! Avec toute la flotte qui déborda ce soir-là de ma baignoire...