Le blog de Krampack

14 heures, le soleil printanier pénètre par la fenêtre ouverte de la chambre de cet hôtel situé dans le centre de Paris... L'Homme, tel est le nom de mon client du jour, est assis sur le rebord gauche de l'unique lit... Il va s'offrir pour quelques heures mon corps que je loue régulièrement...

Lui : chemise blanche, cravate bleu roi, pantalon noir et chaussures noires également, cirées, brillantes, la quarantaine, de type méditerranéen, regard brun, cheveux noirs coupés très courts et une barbe finement taillée qui encadre un visage souriant.

Moi : dix-sept ans, blond au regard bleu gris, tee shirt blanc et pantalon de toile bleu ciel.

Son regard dans le mien, l'Homme me demande d'ôter lentement mon tee shirt. J'opine d'un grand sourire, découvrant mon corps finement dessiné par des heures de musculation, corps légèrement hâlé, imberbe. Je jette négligemment cette pièce de tissu sur le fauteuil près de ce grand lit. Mes chaussures et chaussettes suivent le même chemin. Sa main gauche se pose alors sur mon ventre plat... Petit flux électrique qui me parcourt entièrement, la pointe de mon sexe réagit, mes couilles montent et descendent dans mon sous-vêtement... Puis ses doigts glissent sur ma peau à la rencontre de mon mamelon droit qui durcit au contact de ses pouce et index.

L'Homme se lève, fixe sa main qui poursuit ses découvertes, ses caresses sur mon cou, mon visage, pendant que sa main droite me palpe les couilles à travers mon pantalon. Je bande... mon sexe se tend, s'étire, s'allonge en une colonne de chair d'une vingtaine de centimètres, tendant ainsi les fibres du tissu de mon sous-vêtement, colonne de chair emprisonnée dans mon boxer rouge. Cette érection me fait mal. Ses doigts enserrent maintenant mon pieu de chair, puis la paume de sa main caresse mon sexe tendu. Le regard de l'Homme se pose sur cette barre qui déforme mon pantalon. Sa respiration est plus rapide. L'Homme se rassied sur le lit, ses yeux à hauteur de ma queue. Je devine maintenant sa grosse bosse, son sexe en érection fortement tendu. Il doit être bien monté. Ses doigts attaquent les boutons de mon pantalon qui retiennent la ceinture, puis descend lentement la fermeture-éclair de ma braguette... Le pantalon glisse le long de mes jambes légèrement velues. Je m'en débarrasse, ne conservant que l'unique pièce de tissu qui cache encore pour quelques instants ma colonne.

L'Homme saisit alors l'élastique de mon sous-vêtement, le tire vers le bas et libère mon sexe tendu et veiné de gaines bleues qui se dresse fièrement au niveau de sa bouche. Débarrassé de ce tissu, j'écarte les jambes. Sa main gauche s'empare de mes couilles rasées, les malaxe, pendant que la droite caresse ce pieu de chair sur toute sa longueur. Mon prépuce couvre encore mon gros gland. La caresse est douce, excitante, électrisante... Puis deux doigts enserrent mon prépuce qui coulisse, décalottant la tête de ma queue, puis le recouvrent, le découvrent à nouveau. Opération répétée plusieurs fois de suite,et plus rapidement, ce qui ce traduit par l'imminence de mon éjaculation... Mais sa bouche s'empare de l'extrémité soyeuse de ma queue et glisse le long de la colonne de chair jusqu'à engloutir les trois quarts de mon mandrin. Va-et-vient buccal lent, puis plus rapide. Ses mains sur mes fesses, ses doigts courent dans ma raie, puis un doigt à l'entrée de mon intimité... La bouche de l'Homme accélère le mouvement, sa langue enserre mon gland... Je vais succomber mais me retiens le plus longtemps possible.

Un doigt pénètre ma cavité anale, rejoint par un deuxième, et un troisième qui vont et viennent au plus profond de moi. Ma respiration s'accélère... j'étouffe un cri... je suffoque de plaisir jusqu'à ce que les barrages spermiques s'ouvrent et libèrent une semence de blanc nacré en quatre longs jets qui tapissent la cavité buccale de l'Homme... Mes mains enserrent la tête de mon partenaire pendant que je crache ma crème... L'Homme libère ma queue à demi bandée, humide de salive et de sperme, recrache ma sève dans une serviette posée sur le lit.

L'Homme se lève, vient se placer dans mon dos et me pousse légèrement. Je m'étale sur le lit. L'Homme écarte mes jambes. Un ceinturon qui se défait, une fermeture-éclair qui glisse, bruit de tissu, respiration rapide et saccadée... Je tourne légèrement la tête sur le côté. L'Homme au long sexe circoncis se caresse, humidifiant de sa salive la tête de son mandrin brun foncé. L'Homme s'agenouille sur mes fesses, les claque plusieurs fois, les écarte, découvrant ainsi ma rosette déjà fouillée par trois doigts. L'Homme dirige sa queue vers l'entrée de mon cul. Un coup de reins, mes sphincters se dilatent... Second coup de rein et le membre entier s'engouffre dans cette caverne. Plaisir – douleur ! J'étouffe quelques cris dans un oreiller, mes mains crispent le tissu du drap. L'Homme se retire pour me pénétrer plus brutalement, une fois, puis une autre... Je respire plus profondément. Puis l'Homme épouse mon dos, ses mains s'agrippant à mes épaules... Son bassin s'active ardemment, sa respiration est rapide. Grognements sourds, sa queue au plus profond de moi. Je ressens ses éjaculations en moi, sa semence qui tapisse mes parois internes. L'Homme se retire, sa semence coule sur mes couilles.

Je me retourne. L'Homme me fixe, léger sourire au coin des lèvres, remonte son pantalon qu'il a conservé pendant la pénétration. Son sexe, encore tendu, disparaît de mon regard. L'Homme fouille dans sa poche, en ressort plusieurs billets, prix de ma prestation ou de mon cul, et les pose sur la table de chevet. Quelques minutes plus tard, l'Homme quitte la chambre, me laissant seul, nu, au milieu de son lit. Je bande, me caresse... mais un autre client m'attend ce soir. Je dois donc conserver un maximum de semence...

Direction la douche...

Dim 7 jun 2015 Aucun commentaire