Le blog de Krampack
ATTENTION :
Des scènes de cette histoire peuvent choquer et heurter la sensibilité de certaines personnes.
Sans ménagement ils l'enferment dans la voiture et le ramènent devant ses Maîtres quil attendent de pied ferme tranquillement assis sur le canapé. L'un d'eux prend la parole et d'un ton ferme lui ordonne :
- "A poil sale bâtard ! Un esclave se présente nu devant ses maîtres, puis à genoux mains sur la tête."
Dans sa position de soumission Éric attend une sentence qu'il redoute.
- "Approche en rampant sale pute, et viens nous décrasser les panards…"
A peine arrivé aux pieds de ses Maîtres, il est brutalement soulevé par les cheveux pour recevoir des gifles et des crachats à la gueule.
- "Alors comme ça tu croyais nous échapper ? Tu as été très très désobéissante, sale chienne ! Mais tu vas voir, on va te remettre dans le droit chemin..."
Là, de force, on l'emmène dans cette pièce obscure qu'il a déjà vue avec le carcan où il a assisté à la punition d'un jeune mec et cette fois-ci c'est lui qui s'y fait attacher. Il a peur et demande pardon et pitié mais ses Maîtres qui n'ont aucune pitié et sont surtout sados, n'entendent pas ses supplications et l'informent qu'il va recevoir au total 90 coups sur son corps. Chacun muni d'un instrument, le premier commence par trente coups de martinet, les coups sont si violents qu'Éric gueule de souffrance en suppliant d'arrêter. On lui enfourne alors une chaussette puante dans la bouche et on le cagoule d'un slip imbibé de foutre, de pisse et de merde. Son dos, son cul et ses cuisses, marqués par les lanières du martinet, font place au suivant. Trente coups de ceinturon que le second prend plaisir à lui infliger, le marquant presque au sang. Eric gueule de plus en plus au travers de sa chaussette coincée dans sa bouche. Il gesticule comme pour pouvoir échapper aux coups mais rien n'y fait… La troisième sentence est la pire car c'est trente coups de cravache qui lui sont infligé. Il n'en peut plus, il ne contrôle plus son corps qui tremble comme des spasmes sous les coups de cravache. A la fin de cette punition son dos perle de sang, ses cuisses et surtout son cul sont rouge vif et il ne pourra pas s'asseoir pendant des semaines. La sentence est terminée, seulement la punition n'est pas terminée pour autant car ses bourreaux l'informent qu'il va maintenant servir de trou à bite et ce, toujours encarqué. C'est un petit soulagement pour Eric qui se dit qu'après ce qu'il vient de subir, habitué à sucer et se faire enculer, ce ne sera qu'une formalité sauf que…
Une fois qu'il s'est fait baiser par ses Maîtres en avalant soit leur foutre ou après avoir nettoyé leur bite après passage dans sa chatte, il voit arriver devant lui un grand black, genre rugbyman, lui présentant une bite flasque mais d'une proportion énorme qu'il n'avait encore jamais vu. Afin qu'il constate l'ampleur de cet énorme engin, le black mesure sa bite devant lui et indiquee qu'elle fait un bon 26*8. Malgré son épuisement par les coups qu'il vient de prendre, il ne put s'empêcher de s'imaginer qu'il allait devoir se faire démonter la chatte par cette queue qui deviendra plus grosse une fois gorgée de sang…
- "Hummm… Tu vois p'tite pute, pour une fois j'vais m'faire un bon plaisir et prendre un pied d'enfer car aucune meuf ne veut se faire baiser avec ce que j'ai entre les pattes ! Tu vas donc les remplacer et, crois-moi, tu vas gueuler ta race ! Mais j'ai pas l'intention de m'arrêter tant que j'me suis pas vidé les couilles, allez… commence par me léchouiller le gland, bâtard !"
A peine léché et suçoté le gland, sa bite se met à gonfler et mouiller. Il s'enfonce dans la bouche mais ne peut aller très loin tellement elle est énorme en épaisseur. Il prend alors place devant son cul, frotte son gland sur la raie, force le passage du trou et s'enfonce de toute la longueur de son énorme tige… Bien calé au fond de ses entrailles, il entame ses va et viens… Éric hurle de douleur mais le black n'en a que faire. Au contraire ça l'excite encore plus de l'entendre gueuler et il lui défonce le cul à grands coups de butoir…
- "Haaaa… Ouiiiii… Vas-y, gueule sale putain ! T'en as jamais eu une aussi grosse ? Hein sale bâtard ! Hummm, putain… Il est trop bon ton cul de PD…"
Après une bonne dizaine de minutes de ramonage, le black décharge des litres de foutre dans son trou, à croire qu'il n'a pas joui depuis des mois, puis il vient se replacer devant lui.
- "Allez, nettoie maintenant ! Lèche bien toute la longueur de ma queue, sale chienne…"
Après lui avoir bien nettoyé sa bite, il se fait arroser de pisse... Voilà ! La punition est terminée et il va en avoir pour des semaines à s'en remettre car avec son trou du cul déchiré par le black et son corps lacéré de coups, il ne va pas pouvoir s'asseoir ni s'allonger sur le dos pendant un bon moment...
Il est alors emmené dans une cave aménagée d'un matelas et d'une gamelle de chien et y est enchaîné. Des menottes aux poignets et aux chevilles reliées par une chaîne, un collier en métal autour du coup également relié à une longue chaîne attachée au mur. Après une longue nuit effroyable sans pouvoir correctement dormir, au petit matin l'un de ses Maîtres le tire de sa somnolence.
- "Allez le bâtard, réveille-toi et approche comme un chien que tu es. Il est l'heure de ma toilette…"
Éric s'approche à 4 pattes aux pieds de son Maître.
- "Commence par me lécher les panards, sale chien… C'est bien ! Nettoie-moi la bite maintenant. Décalotte bien à fond et passe bien ta langue autour du gland. Suce salope ! Bien… A présent tu vas me décrasser le cul, comme je ne me suis pas essuyé le derche après avoir chié, tu vas me servir de PQ ! Allez, écarte-moi bien les fesses et lave le moi…"
Malgré son dégoût, Éric na pas d'autre choix que d'obéir et nettoie ce cul encore plein de merde.
- "Enfonce ta langue dans mon trou sale mange merde et nettoie moi ça correctement ! Bien… Maintenant j'vais te baiser la gueule… Allez, suce et tire moi le jus salope… Ce sera ton petit lait du matin !"
Tout en s'agrippant à ses cheveux, il lui baise la gueule, s'enfonçant toujours un peu plus loin, le forçant à lui faire une gorge profonde.
- "Hummm, putain de chiennasse ! J'vais bientôt cracher… Ouai… ouai… ouai… Hummm… Avale salope !"
Après s'être bien vidé les couilles, avant de repartir, il le gifle en lui disant :
- "C'est bon sale chien, tu peux retourner à ta place… A plus !"
Après quelques minutes, un deuxième Maître arrive et le même scénario recommence. Il doit à lui aussi laver ses panards, ses couilles, sa bite et son cul avec sa langue avant de se faire baiser la gueule et d'avaler son foutre.
Le troisième Maître tarde à venir et lorsqu'il arrive, direct il lui ordonne de le sucer puis lui baise la chatte. Éric crie de douleur car son cul est encore endolori par la grosse queue du black de la veille mais il reçoit une claque sur le cul.
- "Ferme ta gueule bâtard et encaisse… T'es qu'une pute !"
Une fois déchargé de son foutre dans son trou, il se fait nettoyer la bite et lui pisse dans la bouche en lui ordonnant de bien tout avaler. Puis il repart comme il était venu.
Durant toute la journée il sert de vide couilles. Des mecs défilent dans sa cellule pour s'y faire sucer ou le baiser.
Pendant 2 mois, les jours se suivent et se ressemblent : il sert de torche cul et de vidangeur de couilles. Pour toute pitance il n'a que du pain sec imbibé de pisse dans sa gamelle mais, 2 fois par semaine, il a droit aux restes de ses Maîtres : des restes de pâtes ou de pizza arrosés de pisse et quelquefois mélangé de leur merde...
Afin que l'humiliation soit à son comble, ils le font nettoyer leur chiotte avec la langue sous des coups de cravache…
- "Lèche bien partout bâtard !"
Puis comme si ça ne suffisait pas, ils lui maintiennent sa tête dans le trou du chiotte pour lui pisser dessus et tirent la chasse d'eau.
Bien entendu il continue à recevoir ses piqûres d'hormone pour lui faire gonfler sa poitrine et arrêter sa pilosité.
Un beau jour, ses Maîtres lui rendent visite avec un médecin qui l'ausculte en détail. Il lui prend sa tension, lui palpe le corps et prend une attention particulière à sa petite bite et ses couilles. L'auscultation terminée, il annonce son verdict à ses Maîtres.
- "Ok c'est bon… ça ne pose pas de problème.
- Très bien doc. Alors, allons-y…"
Sans avoir l'occasion de savoir ce qui allait se passer, Éric reçoit une injection anesthésique. À son réveil il est dans un lit confortable mais nu, pieds et poings attachés et, curieusement, on lui a mis une collerette autour du cou. Pendant une semaine on lui prodigue des soins sur ses parties génitales et il est nourri par intraveineuse. Puis, le jour fatidique arrive. Ses Maîtres le mettent face à la réalité en le mettant devant un miroir. Là, c'est une vision d'horreur pour Éric car il se découvre les cheveux longs avec une poitrine de meuf... Mais en plus, sans sa bite ni ses couilles ! A la place il n'a qu'une fente de femelle ! Bien sûr, comme le prévoyaient ses Maîtres, il est pris d'une violente crise de nerf à vouloir tout détruire ce qui l'entoure mais il est vite maîtrisé et anesthésié à nouveau. Lorsqu'il se réveille, il se retrouve enfermé dans sa cave, enchaîné. Au bout de 2 jours sans visite ni nourriture, l'un de ses Maîtres vient le voir et lui pose une condition non discutable.
- "Bon ben voila le deal, sale bâtard… Soit tu te conformes à nos directive, soit tu pourris ici dans cette cave à bouffer nos merdes… Sache que dans tous les cas tu resteras une pute ; donc à toi de voir ! Qu'est-ce que tu décides ?"
N'ayant plus rien à perdre il répond avec de grosses larmes dans les yeux :
- "Ok très bien, j'accepte le deal… J'obéirai...
- Voilà qui est bien ! Donc voici ce qui t'attend. Dans un premier temps, la journée tu vas nous servir d'esclave : faire le ménage, la bouffe etc... Ta chambre pour la nuit restera cette cave. Si tu es bien obéissante tu n'auras plus à nettoyer les chiottes avec ta langue mais avec une éponge. Tu boufferas correctement, enfin… toujours dans ta gamelle avec nos restes mais sans merde. Tu continuera bien sûr à faire office de décrasseuse de panards, de bite et de cul… Dans un second temps on te remettra sur le trottoir car t'as du fric à rembourser… Puis au final tu seras reconduite auprès de ton Maître Jérôme. Ok ? T'as bien tout compris ?
- "Oui ok, j'ai bien tout compris.
- Parfait ! Maintenant on va monter pour tester ta nouvelle chatte..."
Toujours enchaîné, il est conduit auprès des autres, attaché sur une table basse sur le dos, pieds et poings liés en croix et sa nouvelle chatte bien offerte. Il est caressé de partout, on lui malaxe sa poitrine en lui pinçant les tétons, un doigt vient lui caresser sa nouvelle vulve et tente de s'y introduire...
- "Hummm… Elle est bien serrée cette chatte ! Va falloir l'assouplir un peu..."
Ils lui font respirer un peu de poppers afin que ses muscles se détendent puis un doigt enduit de gel le pénètre. Un deuxième puis un troisième doigt lui travaille ce nouveau trou avant qu'une première bite vienne s'y enfoncer.
- "Hummm… Putain les mecs !!! Cette chatte est un vrai bonheur… Putain merde, j'vais déjà jouir… Haaaaa !!! Tiens salope, reçois ta première jute dans ta chatte ! Allez les mecs, à vous, j'vous ai ouvert le passage…"
Le deuxième mec ne se fait pas prier et lui enfonce sa bite direct dans sa chatte enfoutrée. Lui aussi met bien peu de temps à jouir. La chatte d'Éric dégoulinant de foutre permet au troisième qui a la plus grosse bite de le féconder…
- "Haaaaa !!! Putain ouaiii !!! Trop bon…"
Voilà. Maintenant que sa nouvelle chatte a été rodée, il est baisé chaque jour. Il se fait même prendre en doublette : une bite dans son cul et une autre dans sa fente de femelle.
Puis reviens le jour où il doit retourner sur le trottoir. Là, sachant ce qui peut lui arriver, il se tient à carreau et se livre à tous les mecs qui le payent pour être baiser par tous les trous. Relégué au rang de bâtard et de chienne, il est utilisé comme vide couilles par des routiers en manque de sexe, des mecs de chantier refoulés par leur femme ainsi que des SDF qui, la majeure partie, ont du fromage au bout de la queue et des boulettes de merde collées aux poils de cul…Après 2 mois de ce traitement intense, l'un de ses dresseurs lui annonce :
- "Bon, il est temps pour toi d'aller retrouver ton Maître Jérôme. Il vient tout à l'heure te récupérer."
Même si cette annonce le réconforte un peu, il/elle déteste le fait de se retrouver aux mains de ce Maître, de ce Jérôme qui l'a conduit ici. Mais il/elle ne peut que se résigner à l' idée qu'il/elle va devenir son esclave pour le restant de sa vie car il/elle n'a plus le choix. Il/elle est donc préparé pour l'accueillir. Il/elle est lavé, coiffé, parfumé, maquillé et habillé comme une pute.
Lorsque Jérôme arrive, il ne reconnait pas Éric du fait de sa transformation physique et quand il/elle lui est présenté il en est conquit :
- "Hummmm… Ouai… Pas mal ! Tu es devenue une vraie petite femelle à ce que je vois ! Bon, va m'attendre dans le coin là bas, j'ai une affaire a régler avec ces messieurs qui ne te regarde pas."
Après une bonne 1/2h de discussions autour d'un verre, Jérôme leur remet une grosse enveloppe. Éric sait maintenant qu'il vient d'être vendu.
- "Allez esclave, aux pieds ! Il est temps de rentrer au bercail."
Devant la portière de la voiture Jérôme attend. Éric ne comprend pas mais ne tarde pas à le savoir en recevant une gifle.
- "Et bien alors ? Tu attends quoi pour m'ouvrir la porte, esclave ?"
En ouvrant la portière il reçoit une deuxième gifle.
- "Jamais tu ne t'excuses pour ce manque de respect ?
- Heu… Oui, pardon."
Et vlan, une troisième gifle.
- "Pardon qui, bâtard ?
- Pardon Maître…
- Voilà qui est mieux !"
Sur le trajet Jérôme lui explique qu'il va lui inculquer certaines règles à respecter et ce qu'il attend d'elle…
- "A partir de cet instant tu m'appartiens. Corps et âme… Sache que tu m'as coûté beaucoup d'argent, donc tu es et restera mon esclave et ma pute à tout jamais car tu n'as pas assez de toute ta putain de vie pour me rembourser ! Tu vas d'abord changer de prénom. Désormais tu t'appelles Erika, je t'ai fait faire une nouvelle carte d'identité. Pour ce qui est du reste à savoir, je te l'expliquerai à la maison…"
Et en effet, arrivé sur son nouveau lieu de vie il, ou plutôt «elle» est conduite dans une cave aménagée, mise à poil puis attachée suspendue par les poignets. Chaque règle lui est dictée par un coup de ceinture sur son cul à savoir qu'elle doit être bien obéissante et respectueuse envers son Maître, comme une bonne esclave mais aussi comme putain qui doit ramener de l'argent.
- "L'avantage que tu as maintenant c'est que tu peux te faire piner la chatte et te faire enculer. T'as 2 trous à bites sans oublier ta petite bouche de pute qui va aussi servir à sucer…"
Après ces règles dictées, elle est détachée mais aussitôt attachée sur une table, bien sanglée afin qu'aucun mouvement ne soit possible. Là, Jérôme sort un tisonnier rougi par le feu et la marque (comme on marque du bétail au fers rouge) à l'aine d'une lettre «J». La douleur est si violente qu'elle s'évanouit. A son réveil la douleur est encore présente mais son marquage est couvert d'un pansement. Elle porte aussi un fin collier en métal soudé autour du cou.
Voilà ! Eric, qui au départ était un mec est aujourd'hui une femelle renommée Erika, devenue l'esclave d'un Maître, régulièrement fouettée pour lui rappeler sa condition de bâtard, mais aussi pour le seul plaisir de son Maître à qui elle ne sert que de trou à bites comme une vulgaire putain.