Le blog de Krampack
À dix-sept ans je me savais déjà homo depuis l'âge de treize ans. J’habitais une petite ville de province et un jour j'ai décidé de sortir, comme tous les soirs d'ailleurs, pour voir qui traîne du côté des toilettes près de l'église. C'était un lieu de rendez-vous où la plupart du temps des vieux traînaient le soir en regardant les jeunes hommes passer. Moi, mon chien en laisse, je feignais de passer près d'eux sans vraiment faire attention à leurs regards qui me dévisageaient. Je savais très bien au fond de moi ce qu'ils désiraient : me caresser, me lécher, me tripoter quoi...
Il est vrai que j'étais pas mal comme petit ado et que je n’hésitais pas à sortir le soir en short, à poil dessous bien sûr. Il faut dire que cette situation proche de l’exhibitionnisme me faisait largement bander et je ne le cachais pas... Bien sûr, je les excitais un max et, comme s'ils s'étaient donné le mot, ils étaient tous là vers dix heures lorsque j’y suis arrivé.
Certains d'entre eux n'étaient pas nés de la dernière pluie et avait remarqué mon manège. Ils essayèrent donc d'engager la conversation en me disant: “T'attends quelqu’un ?”, “Tu es tout seul ?”. D'autres, plus entreprenants, me proposaient une pipe, une branlette, mais rien n’y faisait car ils ne m’attiraient pas. Pour m’en sortir je ne leur répondais même pas et je passais mon chemin comme si de rien n'était... Pourtant, un soir, alors que comme d’habitude je faisais mon petit tour, j’aperçus de loin un jeune cycliste. Sur le coup je n’y ai pas vraiment prêté attention et j'ai continué ma perpétuelle et incessante ronde de nuit.
Lorsqu’il repassa une deuxième fois puis une troisième en l'espace de très peu de temps. J'ai alors compris que c'était bon. Mon coeur s’est mis à battre à la vue de ce superbe minou d’environ vingt ans, musclé comme un dieu et mignon comme un sylphe. Une érection monumentale tendit mon sexe. C’en était presque gênant car cela se voyait vraiment beaucoup. De loin il était vraiment pas mal du tout : brun, 1m80, barraqué, bronzé, peu poilu au niveau des jambes, bref, hyper-bandant ! Exactement tout ce que j'aimais...
Quand il s’arrêta à cinquante mètres de moi et s’assit sur le dossier du banc qui était un peu plus loin, je me suis dit qu’il me le fallait et que je l’aurais celui-là ! J’avais vraiment envie de me faire limer la rondelle ! J’étais moi-même assis sur un banc : ses yeux étaient fixés sur moi et il me regardait. Mon sang ne fit qu’un tour. Aussitôt j’ai écarté légèrement les cuisses comme pour me mettre à l’aise et, tout en le regardant, j’ai commencé à me caresser la verge. Elle était dure comme du béton, prête à éclater. Il n’eût pas de mal à comprendre ce que je voulais.
Tout d’un coup il se leva, pris son vélo et se dirigea vers moi. Arrivé à ma hauteur il s’arrêta et me fit un grand sourire. Je n’avais pas vu dans la nuit sa belle chevelure blonde mais, maintenant qu’il était à côté de moi, je pouvais dire qu’il était vraiment beau et super-excitant. Je vis chez lui aussi, à travers son short, que son désir n’était pas qu’à moitié présent... Nous sommes partis côte à côte vers un endroit plus calme et nous avons décidé de nous arrêter dans un petit champ, juste à la sortie de la ville.
À peine arrivés il s’est approché de moi, il m’a pris par la main et m’a dit :
— Viens ! J’ai envie de toi !
Ce moment tant attendu était enfin là et j’allais pouvoir assouvir tous les fantasmes dont je rêvais la nuit et qui se terminaient bien souvent par une branlette. Je pris donc la décision de le déshabiller entièrement. Il se retrouva en slip d’où son sexe dépassait largement. Ce fut alors mon tour. Je n’étais même pas dévêtu entièrement qu’il m’allongeait et se couchait sur moi, m’embrassait furieusement et passionnément. J’étais heureux d’être dans ses bras et, tout en nous caressant, nous avons sombré dans la plus merveilleuse des extases. J’ai pris son sexe dans ma main et j’ai commencé à le masturber. Je me suis aperçu que le petit chou était vraiment bien membré. Sa queue faisait au moins vingt bons centimètres et était bien épaisse. Tout en continuant à nous embrasser, nous nous masturbions mutuellement avec douceur.
— Suce-moi la queue ! me dit-il.
Je ne me fis pas prier et j’ai posé ma tête contre son bas-ventre. Tout en baissant son petit slip rouge j’ai saisi son beau pieu à deux mains et j’ai commencé à le titiller du bout de la langue. Je me régalais de cette superbe lance. Ma langue lissa quelques instants sur son beau gland rouge de plaisir puis, d’un petit coup de reins, il me pénétra la bouche. Je l'ai pompé, me régalant de son sexe humide. Il laissait échapper des petits râles. Après ces hors-d’œuvre, il se redressa et me dit :
— À moi de goûter ta queue !
Il m’infligea langue pour langue les mêmes plaisirs. Il me léchait les couilles en les gobant goulûment comme lorsque l’on gobe des petits oeufs de caille. Il en profitait pour caresser d’un doigt mon petit anus vierge mais impatient. Tout en me suçant il mouilla son doigt et me fit un superbe doigté. Je me tortillais de plaisir : c’était l’extase !
— Prends-moi à fond ! Lime-moi ! Défonce-moi ! lui dis-je.
Il retira doucement mon short. Je me suis placé sur le dos en écartant les jambes, les genoux sur les épaules. Il s’approcha, mouilla généreusement de salive mon anus offert et posa son gland dessus. En douceur et par petits coups il me pénétra le plus profondément possible.
— Oh oui ! Vas-y ! lui dis-je, lime-moi à fond !
Ses petits coups de reins fougueux m’emplirent de plaisir et, pendant que je lui servais de vide-couilles, je me branlais énergiquement. Il a fini par jouir et, comme par enchantement, j'ai joui aussi presqu'en même temps. Mais cela n’était pas fini...
Il se retira et s’allongea nu à côté de moi. Lui aussi allait avoir droit à un traitement spécial. Je le fis mettre sur le ventre mais au lieu de lui enfoncer ma queue dans le cul, j’ai écarté doucement ses fesses pour lécher tendrement son anus imberbe. Je lui ai bouffé le cul en me régalant. Il a eu tellement l’air d’apprécier qu'il a cambré son petit derrière pour mieux s’offrir. Le terrain étant préparé je me suis redressé et j’ai appuyé mon dard contre sa rondelle. Avec la même délicatesse je l’ai pénétré doucement et je l’ai limé avec douceur. Appuyé sur ma main gauche et, tandis que ma queue frayait le passage, ma main droite caressait sa queue toujours aussi raide. Nous eûmes encore une fois une jouissance presque synchrone dans un râle de plaisir. Nous sommes restés enlacés ensemble encore une bonne heure à nous caresser et à nous embrasser tendrement. Mais il fallait nous quitter et, malgré la promesse de nous revoir, je ne l’ai plus jamais croisé en ville. Quel dommage car ce fut une soirée hors du commun, et des soirées comme ça, j’en souhaite à tout le monde...