Le blog de Krampack

Sur le bord de la route, un camion s'arrêta pour me prendre en stop.

- Tu vas où ? Demande le chauffeur.

- En Espagne !

- Allez, monte ! Poses ton sac sur la couchette derrière et installes-toi. On va prendre l'autoroute. Tu vas où en Espagne ?

- Je ne sais pas, on verra là-bas !

- On dirait que t'as des problèmes ?

- Je viens de perdre mon boulot, ma copine m'a quitté et on m'a foutu dehors de mon appart. Alors !

- Alors quoi ?

- Alors, pourquoi je resterais ici ?

- Quel âge tu as ?

- Pourquoi ?

- Si t'es mineur, je ne veux pas d'embêtement !

- Je fais si jeune que ça ?

- Je ne sais pas mais maintenant je fais gaffe. L’apparence ne veut rien dire. Il y a trois mois j'ai eu des emmerdes. J'ai ramassé un gamin il faisait plus vieux que toi. J'te jure on aurait dit un homme. Je n’aurais jamais cru qu'il n’avait que quatorze ans. Heureusement qu'il avait ses papiers sur lui et qu’il n’a pas menti aux flics !

- Vous voulez voir la mienne ?

- Je ne veux pas avoir l'air...

- C’n’est pas grave, tenez !

A la première station-service, le camion s'arrêta. Après avoir fait le plein, le routier me dit :

- Si tu veux pisser, il faut y aller maintenant. On ne va pas s'arrêter de sitôt. A chaque arrêt, on gaspille du carburant.

Nous sommes allés pisser et là j'ai eu un problème. La fermeture de mon pantalon cassa. J'essayai de baisser mon pantalon et le routier me dit :

- Qu'est-ce que tu fais ?

- Ma fermeture s'est coincée et en insistant je l'ai cassée. J'essaye de baisser mon pantalon mais je n’y arrive pas !

Il vint m'aider et le jean glissa enfin. Le slip glissa avec.

- Putain, quel cul ! S'exclama le routier.

Nous remontâmes dans le camion, lui en chemise, moi, son pull autour de la taille pour cacher que j'étais en slip.

- Je vous ai entendu tout à l'heure, dans les chiottes !

- Et alors ?

- Il vous plaît, mon cul ?

- Pourquoi ?

- Ben, je pense qu'il fera nuit avant qu'on arrive en Espagne. Si vous en avez envie, on peut...

Il récupéra son pull et ses yeux se posèrent sur mes cuisses. Il redémarra, l'air pensif. Au bout de quelques kilomètres, il regardait alternativement la route et mes cuisses.

- Montes dans la cabine et mets-toi à poil, me dit-il.

Aussitôt dit, aussitôt fait. Je revins m'asseoir, les fesses à même le cuir, la bite dressée.

- Ouvres ma braguette et suces moi !

J'ouvris son pantalon et je libérai un engin que Rocco Siffredi n'aurait pas renié.

- Pas mal, hein ? dit-il

- Waouh ! Fut ma réponse.

- Tires le rideau de ton côté, qu'on te voit pas !

Une main sur le volant, de l'autre il me caressait. Sa grosse main rugueuse se baladait sur mon dos, mes épaules... Quand je pris son pieu dans la bouche, je me rapprochai le plus possible de lui pour qu'il puisse atteindre mes fesses. Contrairement à ce que j'attendais, au lieu de mettre sa main sur mes fesses, il la mit sur ma nuque et pesa sur ma tête jusqu'à ce que mes lèvres s'écrasent sur la forêt de poils entourant sa grosse bite.

- Avales ! dit-il accompagnant le geste.

Le membre énorme s'enfonça dans ma gorge, provoquant un début de nausée.

- Respires par le nez, dit-il, sinon tu vas vomir ! C'est vrai que t'as un beau cul ! J'en frémis déjà à l'idée de t'embrocher comme un poulet !

- Mais c'est trop gros, vous n’y arriverez jamais. En tout cas pas tout entier !

- Tu verras ce soir ce qu'un cul est capable de prendre ! Je crois même que tu en redemanderas…

La nuit tombée, le camion s'engagea sur la bretelle d'une aire de repos. Il alla se garer bien à l'écart.

- Vas y montes, dit le routier, mets-toi à quatre pattes au milieu de la couchette. Tu baisses la tête et tu relèves ton cul.

Une fois dans la position indiquée il vint me rejoindre. Il passa un bras autour de ma taille et pointa son gros zob sur mon petit trou. Il poussa doucement avec son bassin et le gland entra en moi.

- Vous allez me faire mal, bredouillais-je.

- Tu vas voir, si tu as peur, j'ai un remède ! Mets tes bras autour de ma taille et laisses-toi faire.

Il me saisit sous les fesses, me souleva et se retourna. Il était allongé sur le dos et moi assis sur sa bite. Il me saisit par les hanches, me souleva et me tira vers le bas. Le sexe me pénétra un peu plus profondément.

- Voilà, dit-il, je vais t'aider. Quand tu as mal on arrête et quand la douleur cesse, on recommence. Tu verras, au bout de quelques minutes, sans t'en apercevoir, tu auras tout dans le cul.

Effectivement, après quelques mouvements du cul, les poils du ventre du routier chatouillèrent mes fesses.

- Allez, maintenant on revient comme tout à l'heure, dit-il.

Ce fut beaucoup plus facile. Il n'eut même pas à me porter cette fois. Mes mains sur ses fesses et sa queue enfoncée toute entière suffirent à me tenir collé à lui. Il me tendit un mouchoir et me demanda de l'enfoncer dans la bouche.

- C'est juste pour le début, dit-il, après, tu vas tellement mouiller que ça glissera tout seul !

Les premiers mouvements de sa queue brûlèrent les parois de mon cul. J'avais le feu aux fesses.

- Voilà, dit-il, t'as la bonne couleur ! Ton cul est rouge comme celui d'un singe. Ça ne va pas tarder à aller mieux.

C'était vrai. Sa queue monstrueuse commençait à glisser plus facilement entre mes fesses. Mon cul était humide. Une sensation agréable avait remplacé la douleur. Bientôt il éjacula en moi.

- Ne sortez pas ! Criai-je. Je voudrais qu'on se retourne encore.

De nouveau, je me retrouvais assis sur lui. Les mains posées sur ses cuisses, je montais et descendais de plus en plus vite le long de cette tringle monstrueuse. Le routier haletait comme une forge. Son sperme dans mon cul faisait un bruit de succion et, de voir mon cul coulisser le long de son pieu, il lâcha une bordée de sperme plus abondante que la première. Il poussa un cri en dégageant mon cul de sa barre à mine.

Dim 9 nov 2014 Aucun commentaire