Le blog de Krampack
La dernière fois que je suis allé en Tunisie, j'ai fait la connaissance de Youssouf, un jeune groom d’hôtel. Il était mince, la peau hâlée, le visage un peu renfrogné. Il portait une djellaba blanche. Je devinais que sous ce vêtement il y avait un corps adorable, avec des petits tétons féminins, une peau très douce au toucher... D'imaginer tout ça me faisait bander.
Trois jours après mon arrivée, j'étais en train de me caresser dans ma chambre, lorsqu'on a frappé à la porte. J'ai recouvert ma queue tendue d’un drap léger et j’ai permis à la personne qui frappait de rentrer. Il s’agissait de Youssouf. Il m'apportait des serviettes, du tabac, des allumettes. Je lui ai dit de me les lancer sur le lit. J'ai voulu les attraper au vol. Je les ai ratés et, dans mon mouvement, le drap a glissé, révélant ma bite bandée. Il a fixé ma queue sans rien dire puis il m'a regardé. Il a souri doucement tout en s'approchant. Mon coeur battait à tout rompre. Il s'est assis sur le lit, a glissé sa main vers mon sexe tendu. Il l'a à peine effleuré mais j'ai poussé un bref gémissement.
Youssouf était bien tel que je l'imaginais : tendre, imaginatif. Je lui ai caressé la nuque, il m'a mordillé les doigts. Sans que je lui demande rien il s'est débarrassé de sa djellaba. Dessous il était nu. Je me suis empourpré. Ma bite a enflé en voyant son corps mince, sa chair bronzée. Je me suis collé à son dos. Il avait une bonne odeur de fleurs. Il a tourné son visage vers moi et j'ai pu goûter à ses lèvres pleines. C'est lui qui a violé ma bouche avec une langue nerveuse. Il a posé sa main sur ma queue et m’a branlé.Il a fait ça avec une certaine rudesse, malaxant mes couilles, tirant sur la peau recouvrant mon gland étroit. Je sentais une étrange violence dans chacun de ses mouvements. J’ai cherché sa pine, j'ai trouvé un tuyau mince, des bourses imberbes, tout un paquet enfantin qui a contribué à me faire gicler dans la seconde. Un rayon de soleil le nimbait, il était vraiment d'une beauté surprenante. Sa petite queue en semi-érection me rendait fou. Youssouf a regardé mon jus sortir par saccades puis il m'en a badigeonné le visage et le ventre. Il a soudain eu un rictus de mépris à mon égard. Il s'est levé et a disparu, me laissant anéanti, encore tremblant de désir.
Je l'ai vainement cherché pendant deux jours. Il m'évitait. Puis un soir, je l'ai happé alors qu'il sortait de l'hôtel par la porte de service. Je l'ai collé au mur et je l'ai embrassé goulûment. Il s'est laissé faire. J’ai farfouillé dans sa djellaba à la recherche de sa pine, il est resté insensible. Pourtant, qu'il sentait bon ! J’aurais tout donné pour baiser avec lui, si fin... Je le lui ai dit. Il m'a répondu de le suivre. Nous sommes passés dans des ruelles tortueuses puis on est entré dans une maison blanche qui puait l’urine et pire encore. On a grimpé une volée de marches d'un escalier crasseux et il m'a fait entrer dans une pièce. À l'intérieur il y avait trois garçons plus âgés que Youssouf.
Le Tunisien m'a dit que je pouvais le baiser devant eux. Il adorait se faire prendre alors qu'il y avait du monde. Les trois autres ont ricané. J'étais mal à l'aise. Youssouf m’a rassuré en sortant des préservatifs. Il en a distribué à tout le monde puis, sans se faire prier, il s'est mis tout nu et il a tourné devant nous.
Les types se sont mis à poil à leur tour. Il régnait dans la pièce une chaleur de four. J'ai imité la petite troupe, observé par les Tunisiens. Sous leur regard ma bite a enflé. Elle n'était pourtant pas à la hauteur de celles des trois inconnus. Jamais je n'avais vu de telles bites : épaisses, énormément poilues, elles ressemblaient à de gros boudins sombres.
Youssouf m'a embrassé en me tripotant. Puis il s’est agenouillé devant chacun des autres types et, sans façon, il les a pompés. Il n'est pas allé très loin, il a simplement cherché à ce qu'ils bandent dur. Après quelques allées et venues, il enroulait le condom sur la tige et vérifiait qu'il tienne bien. Il m'a fait la même chose. J'ai eu énormément de mal à me retenir. Pour un peu j'aurais giclé mon foutre comme un puceau tellement l’intérieur de sa bouche était doux. Ensuite Youssouf s'est agenouillé et il a ouvert ses fesses. J’ai remarqué que son cul était gonflé. Il ressemblait à une bouche dodue.
Le premier arabe s'est enfoncé en lui sans problème. Les deux autres regardaient en se branlant réciproquement. Je me suis approché, le coeur battant. Un des Tunisiens a avancé la main et m'a touché la bite. Ca m'a fait comme un choc électrique. Je me suis collé à lui, respirant à pleins poumons l'odeur forte. Sa peau ruisselait de sueur. Comme si c'était naturel, l'arabe a attiré ma bite entre ses fesses et, en écartant les cuisses, il m'a montré que je pouvais l'enculer. D'ailleurs son copain s’était placé derrière celui qui sodomisait Youssouf. Il a posé son gland à hauteur du trou de l'enculeur et il s'y est enfoncé lentement.
— Viens, m'a soufflé l'arabe qui voulait que je l'encule.
Il a défoncé le second enculeur. Je n'ai pas eu d'autre choix que de l'imiter. À partir de ce moment on s'est tous enfilé, les uns après les autres... Mais le cul le plus agréable était celui de Youssouf. Pourtant, paradoxalement, c'est lui qui semblait le plus insensible puisqu'il a fallu qu'on lui passe tous sur le corps pour qu'il jouisse enfin, en quelques jets bien ridicules...