Le blog de Krampack
Je passais mes mois de juillet à la campagne chez mes grands parents. Les années se suivaient et je ne savais pas encore que tout allait basculer l'année de mes 14 ans.
J'étais arrivé depuis plusieurs jours et je jouais comme souvent avec Colette, une fille de mon âge de la ferme d'à côté. Une fin d'après midi son frère Bruno, un garçon de 16 ans, est venu la chercher. Je ne l'avais encore jamais vu. Je ne m'étais pas non plus vraiment encore posé de question sur ma sexualité. Quand Bruno m'a dit bonjour en me serrant la main deux choses se sont passées en moi. Je ne pouvais pas lâcher sa main et je sentais ma queue gonfler dans ma culotte courte. Je bandais au contact de ce garçon.
Bruno me dit :
— Il y a un problème ?
— Pourquoi ?
— Tu me lâches la main alors.
En même temps qu'il disait ça, ses yeux s'étaient braqués sous ma ceinture et je compris qu'il avait vu que je bandais.
— Comment t'appelles tu ?
— Je m'appelle Laurent.
— Et bien Laurent je pense qu'il va falloir que l'on fasse franchement connaissance. On se voit demain ?
— Oui Bruno, comme tu veux.
Il partit avec sa sœur, sans manquer de se retourner et de me jeter un regard.
Toute la soirée, je pensais à lui et à ce trouble que je ressentais. Que m'arrivait-il ? Jamais je n'avais eu spécialement d'attirance pour un garçon mais là, de toute évidence, Bruno m'attirait vraiment. Plusieurs fois dans la nuit je me suis branlé en pensant à lui. Mes draps s'en sont souvenus le matin.
Le lendemain vers 14h, Bruno arriva et me demanda si je voulais aller me balader avec lui. Rien que de le voir je me sentais tout excité. Je demandais à ma Grand-mère qui donna son aval. Bruno et moi sommes alors partis nous promener et faire connaissance. Il m’emmena dans les champs. Durant la balade nous parlions de tout et de rien. Je buvais ses paroles et mes yeux ne quittaient pratiquement jamais son visage. Il était blond, cheveux un peu longs, des yeux bleus et les traits de son visage étaient d'une finesse à rivaliser avec la plus belle fille. Ce qui devait arriver arriva et notre conversation vira à parler sexe.
— Laurent, tu as déjà couché avec une fille ?
— Non, Bruno.
— Un garçon alors ?
— Non plus.
— Tu préfères les filles ou les garçons ?
— Je ne sais pas.
— Moi j'ai une petite idée.
— Ah bon ?
— Hier quand je suis venu chercher ma sœur, je suis convaincu que je t'ai fait de l'effet.
— Non, non Bruno, dis-je sans aucune conviction. Il avait bien vu que j'avais bandé.
— Tu sais Laurent, il n' y a pas de mal à bander devant un garçon. Tiens, je suis sûr que si je fixe ta culotte courte de mes yeux, tu vas te mettre à bander.
Il fixa mon entrejambe et ce qui devait arriver arriva. Je me mis à bander devant le regard de ce superbe garçon.
— Tu vois, tu bandes...
J'osai lui dire :
— Toi aussi je crois.
— Oui Laurent, moi aussi je bande.
Il posa sa main sur mon paquet comme pour s'assurer que je bandais bien.
— Bruno, qu'est-ce que tu fais ? dis-je en reculant un peu.
En fait je trouvais cela très agréable et je n'opposai aucune résistance.
— Je confirme Laurent, tu bandes.
— Bruno, je peux faire pareil ?
— Oui, Laurent.
Je posai ma main sur son paquet et là, une sensation inconnue envahit tout mon corps. Mon sexe redoublait de taille.
— Eh bien Laurent, je vois que cela te fait de l'effet !
Mon excitation était à son comble, je pris son visage dans mes mains et posai mes lèvres sur sa bouche.
— Hé Laurent, maintenant je suis sûr que je te plais.
Avec ma langue j'écartai ses lèvres pour l'embrasser à pleine bouche. Pendant ce temps là, nos mains farfouillaient dans nos slips. Je découvrais à quel point la peau d'une queue était douce et chaude. Nos sexes étaient à l'étroit dans nos slips qui tombèrent à nos chevilles. Nos tee-shirt s'envolèrent, nos deux corps se mirent à se frotter et nous sentions nos deux sexes faire connaissance en même temps que l'on s'embrassait avec fougue.
Bruno commença à explorer mon corps avec sa bouche en descendant lentement vers mon sexe. Arrivé à son niveau, il le saisit avec une main et l'enfourna dans sa bouche. C'était la première fois qu'on me suçait. J'étais aux anges et je trouvais cela divin. Ses lèvres allaient et venaient sur mon sexe. Il décalottait mon gland avec sa main et le léchait avec énergie. Je poussais des petits cris qui l'incitaient à augmenter la vitesse de ses va-et-vient. Soudain, sans que je puisse me contrôler, j'ai senti mon sperme monter et dans un cri ultime j'ai envoyé tout ce que j'avais en moi dans la bouche de Bruno. Il continua à me sucer tant que ma queue continuait ses soubresauts. Il dégagea la bouche de mon sexe et je vis alors tout mon sperme qui était dans sa bouche et qui coulait le long de son visage. Il se releva et m’embrassa à pleine bouche pour me faire partager ce que je lui avais donné. J'étais en train de boire mon sperme qui sortait de la bouche d'un garçon !!! C'était génial.
— Ça t'as plu, Laurent.
— Oh que oui, Bruno et je n'ai qu'une envie c'est de recommencer.
Il me prit une folle envie de sucer sa bite et de goûter à son sperme. Sans même qu'il ne me le demande, je me jetai littéralement sur son sexe que j'engouffrai dans ma bouche. Ça y est, j'ai sa queue dans ma bouche. Que c'est bon ! Instinctivement je me mis à faire des va-et-vient sur sa bite. De ma main gauche je me branlais. Je sentais son sexe grossir et avoir des pulsions dans ma bouche. Il se mit a émettre de petits cris et sans plus de retenue, il envoya tout son sperme dans ma bouche. Je découvrais la chaleur et le goût à la fois salé et âcre du sperme de Bruno. Un garçon venait de jouir dans ma bouche !!! Je compris alors que mon attirance sexuelle allait vers les garçons. Je partageais le sperme de Bruno avec lui dans un long et inépuisable baiser.
Les jours suivants, nous avons souvent recommencé jusqu'au jour où nous sommes allés plus loin. Mais c'est une autre histoire. Je n'avais pas encore 15 ans mais mon appétit sexuel était déjà bien orienté.