Le blog de Krampack
Episode précédent : Visite des zincous sur Paname - 1
Une heure plus tard Sofiane revient de son rencard et nous trouve en train de squatter devant la télé. On part tous les trois faire une virée sur Paris et je prends la casquette de guide. Self bouffe sur les Champs Elysées c'est toujours plus classe et, à la nuit tombante, je les emmène dans le métro direction Pigalle. Le vieux quartier chaud de la capitale devrait réveiller la libido de mes deux invités avant qu'on rentre dans mon studio pour une nuit qui ne sera pas de tout repos, enfin j'espère !
Les deux zincous de province hallucinent devant les façades illuminées d'images hot en tous genres, les bars à putes à ciel ouvert, les meufs qui déambulent en résilles. Bref, comme le dit joliment Sofiane : « Ca sent grave le cul dans ce quartier » ! Je décide de les emmener faire un tour dans un sex-shop mais Hassan ne résiste pas et décide de nous lâcher un petit quart d'heure pour aller tirer un coup en profitant des services d'une belle blonde siliconée. Je pars donc avec Sofiane qui hallucine du nombre de vidéos à sa disposition dans les rayons. Je remarque qu'il a de plus en plus de mal à maîtriser la trique qu'il a chopé sous son bas de survet. Il est chaud bouillant mon pote, c'est peut-être le moment de tenter quelque chose...
Je l'emmène donc découvrir les cabines de projection privée. Sofiane est excité comme une puce et ne me cache pas son envie de profiter un max de cette visite nocturne dans un lieu de débauche de la ville lumière. Les portes des cabines défilent devant nos yeux et il lit avec application les différents thèmes qui y sont abordés.
« Vas y matte, y'a même des salles avec des films de boules de pédé !
– Tu sais Sofiane, c'est Sodome et Gomorrhe ici : que ce soit entre keums ou avec des meufs, l'essentiel c'est de se faire plaisir, non ?
– Ah ouais ? J'ai jamais vu un film avec des keums. Viens, files-moi deux euros. »
Gagné ! Je me retrouve dans une minuscule cabine avec mon pote rebeu. Dans la pénombre moite de l'endroit il envoie la thune et le grand écran commence à diffuser un film gay où deux minous sont en train de se sucer comme des oufs. Assis sur le fauteuil Sofiane est en train de monter le chapiteau du Cirque Pinder sous son survet. Je suis assis sur l'accoudoir à côté de lui et mon regard a du mal à se détacher de la bosse de son fute. Il est temps de passer à l'action !
En bon parisien habitué de ces lieux je suis censé montrer l'exemple : je dégrafe mon fute, je sors ma queue et je commence à me branler. Sofiane est immobile dans son fauteuil et commence à se palper le zob lui aussi. Son regard est vissé sur les deux minets à l'écran et, à ma grande surprise, il me lâche : « Ça a l'air d'être kiffant une pipe entre keums ! » Et, joignant le geste à la parole, il chope ma teub et commence à me sucer direct. Je suis là, assis sur l'accoudoir, avec mon pote rebeu en train de me tailler une pipe devant un film de boules gay. Sofiane manque d'expérience et suce un peu maladroitement mais je sens bien qu'il s'applique et qu'il a l'air de kiffer. Il a sorti son gros zob et se branle comme un malade en même temps. J'ai sous les yeux sa bonne bouche de rebeu qui s'active sur ma teub bien raide et je ne peux pas détacher mon regard de son gros zgeg en érection maximale : putain, vingt-quatre centimètres sur six ou sept de large, y'a de quoi avoir le cœur qui palpite à deux cents à l'heure ! N'y tenant plus j'avance ma main et je lui chope la queue pour le branler à mon tour. « A toi de jouer mon pote ! » Sofiane lâche ma teub et se cale bien à fond dans le fauteuil, les pattes écartées. Je glisse aussitôt entre ses cuisses et je gobe son zob direct. Je tête son gros dard circoncis comme une chienne, je monte et descends avec ma langue le long de sa hampe, je lui bouffe les couilles et mon pote a l'air de bien apprécier. Il pousse des petits mugissements de satisfaction tout en matant les deux mecs à l'écran. « Viens maintenant, on va se finir tous les deux ! »
Il se lève le zob à la main et vient se mettre à côté de moi. Je chope sa teub et il prend la mienne dans sa main et on commence à se branler mutuellement en face de l'écran. Les deux minets du film sont en pleine enculade et je sens que mes couilles vont exploser. La main ferme de Sofiane me branle vigoureusement, il tourne sa tête vers moi, me balance un sourire de killer et approche sa bouche de la mienne. On se roule une grosse pelle baveuse et ce baiser inattendu nous fait grimper au plafond direct. Nos langues mélangées font résonner des cris étouffés de jouissance et on gicle tous les deux sur l'écran de télé. Je sors des mouchoirs en papier et on s'essuie vite fait nos zobs bien collants. Sofiane me lance un petit sourire de vice et me dit : «Pas un mot à mon zincou, je ne suis pas sûr qu'il kiffe les plans entre mecs ! »
Je me garde bien de dire à Sofiane que je me suis déjà bien éclaté avec Hassan pendant qu'il était de sortie.
On sort tous les deux et on retourne à l'entrée du métro Pigalle où on a rencard avec Hassan.
Dix minutes plus tard, le rebeu nous rejoint la démarche légère, sourire aux lèvres. Apparemment il s'est bien éclaté avec une pute dans le quartier ! Durant le trajet de retour chez moi Hassan nous détaille son plan, les différentes positions qu'il a pris pour niquer la meuf et on speede tous les trois comme de bons hétéros fiers de leurs prouesses. Sofiane et son zincou me lancent à tour de rôle des clins d'œil complices faisant référence à nos parties de baise de la journée et je me marre intérieurement du petit jeu d'hypocrites qu'on se livre tous les trois.
A suivre...