Le blog de Krampack
Episode précédent : Frères jumeaux 4 : Karim le pion
I. Plus
Deux à trois fois par semaine, c'est devenu un rituel : mon frère et moi retrouvons Karim après les cours. Comme notre père rentre du travail à 19 heures, nous avons le temps de nous amuser avec le pion. Heureusement que nous sommes jeunes et que nos couilles ne restent jamais longtemps vides, car nous recommençons une heure après avec Papa... Mais nous n'allons pas nous plaindre. Abondance de cul n'a jamais nui à personne, non ? Karim adore nous voir sucer à deux sa grosse bite. Il faut dire que le spectacle de jumeaux salivant de concert et avec enthousiasme sur sa bite doit être plutôt excitant... Il faudra que je trouve des jumeaux pour voir ce que cela fait. Mais au bout de quinze jours, Karim en veut plus. La preuve !
— J'en veux plus, mes salopes. Debout ! Appuyez-vous contre le mur ! Embrassez-vous !
Nous nous exécutons sans rechigner. Karim s'accroupit et regarde nos jeunes culs. Ah, le salaud ! Pendant que nous nous roulons une pelle, il nous enfonce à chacun un doigt dans le cul. Pas de problème pour Julien, mais mon cul vierge n'est pas d'accord. Karim se relève et félicite mon frère pour son ouverture. Il me met son majeur dans la bouche et me le glisse de nouveau dans le fion. Ça passe mieux. Je bande comme un beau diable.
— Jérémy, je ne te baiserai pas aujourd'hui. Tu es trop étroit pour mon engin, j'attendrai que tu te fasses baiser.
— Jamais ! Je suis hétéro !
— Ne raconte pas d'histoires. Tu as mis le doigt dans l'engrenage du cul, ton petit trou ne restera pas vierge longtemps. Et au fond, je suis sûr que tu le sais déjà et que tu acceptes lentement cette idée. D'ailleurs, tu fais un drôle d'hétéro : suceur de queues et bouffeur de jus... Non, je vais baiser Julien qui doit être bien plus confortable pour ma grosse bite. Sucez-moi le dard, les frangins, lubrifiez-le avec passion...
Karim nous fait placer en 69. Allongé sur le dos, je suce mon frère à quatre pattes au-dessus de moi qui me rend la pareille. Son cul est à la hauteur parfaite pour que Karim le pilonne. Il présente sa queue devant la rondelle déjà frémissante et enfonce les premiers centimètres. Aïe, Julien déguste et gémit. Le pion ressort sa bite du cul et m'ordonne de la sucer encore pour mieux la lubrifier.
— Allez, suce salope ! Si tu ne le fais pas pour moi, fais-le pour ton frère !
J'obéis. Cela me dégoûte et m'excite à la fois. Les mystères du plaisir... Il recommence l'opération plusieurs fois avant de coulisser parfaitement, comme si le cul de mon frangin était le fourreau de son épée. Le spectacle est étonnant. Je ne peux voir que quatre couilles et deux bites en gros plan... Il n'y a pas que la vue, il y a aussi les bruits. Le bruit du cul qui fait ventouse autour de la queue et le bruit des grands coups de reins de Karim qui cogne contre les fesses de Julien. En professionnel, l'étalon défonce le petit cul avec violence.
— Elle est bonne, ma bite, hein ma pute ? Tu la sens ouvrir et te casser le fion ? Putain, t'es bon. Depuis le temps que je voulais mettre ma bite dans un cul. Bon, c'est le cul d'un petit mec, mais j'aime ça.
— Ouais, Karim. T'es un vrai étalon. N'aie pas peur d'y aller à fond. J'aime quand tu la sors avant de la remettre comme un malade.
Ils s'excitent et m'excitent avec leurs propos salaces. Je suce comme un fou. Julien finit par me jouir dans la gueule. Cela fait longtemps qu'il n'avait pas autant produit de jus de couilles... Karim continue son œuvre avant de juter à son tour dans le cul éclaté.
— Tiens, prends-ça, ma pute ! Je te noie le cul ! Tu vas t'en souvenir de ma bite !
— Ouais, remplis-moi, marque-moi de ton foutre...
Quand Karim sort de Julien, il me présente sa bite à nettoyer. Je ne joue plus les dégoûtés... Je n'ai pas honte, nous devons prendre notre plaisir où nous le trouvons.
— Jérémy, ouvre la bouche ! Et toi, Julien, pousse comme si tu voulais chier !
L'inévitable se produit, le jus de Karim coule dans ma bouche. C'est trop. Je jouis dans la gueule de mon frangin. Est-ce que je suis pervers ? Je m'en fous, c'est trop bon. Comme Julien, j'avale tout.
— Très bien, t'es une bonne salope, tu fais des progrès rapides. Plus rapides que tes progrès en classe ! Julien, assieds-toi sur ton frère, ce petit hétéro va te nettoyer le cul.
Et c'est ce qui se passe. Avec timidité d'abord, je lèche l'anus de mon frère. Je m'enhardis vite en découvrant la douceur des plis boursoufflés. Je nettoie comme une vraie salope et ne laisse aucune goutte du liquide salé. Putain !
Une heure plus tard, nous remettons le couvert avec Papa. Mais ce dernier remarque vite le fion défoncé de Julien.
— Dis-moi, Julien, qui t'as éclaté ainsi ? Pas Jérémy à mon avis...
— C'est Karim, un pion du lycée. Il a découvert notre amour fraternel et s'est invité à nos jeux.
— Pour qui se prend-t-il, pour baiser ainsi mes fils ? Je ne vais pas laisser passer ça.
— Oh, s'il te plaît ! Il ne fait de mal à personne, au contraire... Et il si beau, si bien monté.
— Hum, tu me donnes des idées. Écoutez les garçons, j'ai un plan...
II. Encore plus
Le lendemain.
— Tu as bien compris Karim, notre père est au courant de tout.
— Il est furieux. Il va tout raconter au proviseur.
— Ouais, il prendra rendez-vous demain matin.
— Il faut faire quelque chose ! Vous ne pouvez pas le faire changer d'avis ?
Pauvre Karim ! Son désarroi me fait déjà bander. Ce mec si viril, si autoritaire qui tremble comme une feuille.
— Pourquoi ? Quand je fais une connerie, tu me punis. Assume tes actes.
— Mais notre relation, notre amitié ?
— Ne sois pas hypocrite, notre relation est purement sexuelle. Tu n'as jamais été tendre avec nous ! Tu prends nos trous et c'est tout.
Karim prend sur lui et me roule un patin magistral. En fermant les yeux.
— Ouvre les yeux quand tu m'embrasses ! Je sens que tu bandes. Tu es une petite salope, hein ?
Karim prend sur lui et acquiesce de la tête.
— Je n'entends rien !
— Je suis une salope ! Je l'avoue.
Afin de le récompenser, j'appuie doucement sur ses épaules. Il comprend. Il s'agenouille devant moi, ouvre ma braguette et descend lentement mon pantalon. Il prend tellement son temps qu'on pourrait croire qu'il marche vers l'échafaud.
— Allez, fais pas ton timide ! Profite, déguste !
Karim prend délicatement ma queue entre ses belles lèvres vierges. Je m'enfonce d'un grand coup. Des larmes perlent aux coins de ses yeux noirs. Julien se déshabille et tend son engin à Karim qui ne sait plus où donner de la langue.
— Tu te débrouilles plutôt bien ! Dis, frangin, tu crois que c'est la première fois ?
— Non, il l'a dit lui même, c'est une grosse salope, un trou à remplir.
— Enfonce ta bite avec la mienne, plus fort, plus loin, plus vite, sinon la putain va se plaindre qu'on la vole.
— T'as remarqué ? C'est drôle, elle est toute rouge comme si elle s'étouffait et elle pleure sous nos coups de bite.
— Fais pas gaffe ! Elle fait semblant pour nous exciter. C'est une professionnelle. Brave pute, dis-je en lui caressant ses cheveux courts.
Nous nous amusons à insulter ainsi le pauvre Karim qui ne peut se défendre car il a la bouche pleine et il sait qu'il doit accepter les injures pour que nous intercédions auprès de notre paternel. Julien lui remplit la bouche en riant. Karim avale tout de lui-même et lèche jusqu'à la dernière goutte. Il sait qu'il n'y échappera pas, alors il devance nos ordres. Je décide de me divertir un peu, j'aime jouer. Il ne faut pas oublier que je n'ai que 16 ans.
— Karim, recule-toi et ouvre ta gueule de putain.
Je jouis en visant sa bouche. Je lui envoie deux jets dans les yeux, un sur le menton et trois dans la gueule. Pas si mal, n'est ce pas ? Il avale ce qu'il a dans la bouche. Avec mon gland, je récolte le jus égaré et me fais lécher. Nous rions, Karim non. Il manque d'humour.
— Allez, fais pas la gueule ! On t'amène à la maison, tu pourras convaincre notre père de ne rien faire.
— Merci.
— Tu peux nous remercier. Au fait, tu préfères le jus de Julien ou le mien ?
— Euh... je sais pas...
— On t'y refera goûter encore, jusqu'à ce que tu choisisses.
III. Toujours plus
— Monsieur Bordes, je ne sais pas ce qui m'a pris... Je suis sincèrement déso...
Papa l'interrompt.
— Ce qui vous a pris ? Mais que vous êtes un gros cochon !
— Si vous voulez, monsieur. Ne dites rien au chef d'établissement, je vous en supplie... Je suis prêt à vous implorer à genoux.
— Bonne idée ! À genoux ! dit mon père en baissant son pantalon.
Karim accepte, résigné. Jamais deux (bites) sans trois. Ce n'est que la première fois qui coûte. Le spectacle est magnifique. Le pion a les joues déformées par la queue énorme. Les deux sont des bestiaux si virils. Papa le défonce sans ménagement, il lui baise la gueule sauvagement. Avec Julien, nous nous branlons mutuellement.
— Ouais, continue ! T'es une bonne pute ! T'as la langue magique. Je ne comprends pas pourquoi tu tiens tant à ton job au lycée. Tu es fait pour sucer des bites à la queue leu leu pour du fric. Putain à cent balles sur les chantiers, les aires d'autoroutes... Voilà ta vocation.
— T'as tout compris, Papa.
— À quatre pattes !
— Non, s'il vous plaît ! Faites ce que vous voulez avec ma bouche, mais respectez mon cul. Je suis vierge. Chez moi, « enculé » est la pire des insultes...
— Et tu as enculé mon fils ? Bravo ! À quatre pattes.
— Allez Karim, ce n'est qu'un mauvais moment à passer. Après tu seras tranquille. Ça en veut la peine, non ?
Karim se déshabille et se met à quatre pattes. Il tremble. Il a peur. Il est si sexy que je m'approche et lui lèche le cul. Il est plus poilu que celui de mon frère. Justement, Julien me rejoint. Le jeune homme gémit rapidement sous nos coups de langue pervers. Nous laissons la place à notre père qui prend son temps. Karim reste le cul en l'air, humilié et résigné.
— T'attends quelque chose ?
— Oui, votre bite.
— Tu la veux ?
— Oui, dépucelez-moi, faites vite. Ma copine m'attend.
Malgré le ton de Karim qui manque complètement de conviction, la scène est excitante. Mon père, un peu rancunier, décide de le baiser sans le préparer avec un ou deux doigts.
— Aaaaaaaahhhhhhhhhhhh ! Pitié ! Ressortez, ça fait trop mal ! Je suis complètement déchiré, je le sens. Je ne veux pas finir aux urgences.
— Arrête de déconner. Écarte tes fesses et y aura pas de problème. Je t'ai déjà mis la moitié. C'est toi qui m'a supplié. Tu sais pas ce que tu veux, pouffiasse !
Que c'est beau ! Cet homme viril, mat et poilu, soumis au plaisir d'un autre étalon, ça vaut le spectacle. Karim continue de crier des bêtises. Julien, soucieux du voisinage, lui enfonce son boxer dans la gueule. Papa savoure. Un cul vierge à déniaiser, ça se dégûste comme un grand cru. C'est un moment qui est unique pour les deux partenaires. Il enfonce son mandrin, le ressort et le remet d'un coup. Un grand classique qui fait toujours son effet. Malgré sa musculature, Karim ressemble à une poupée entre les mains de mon père. Je n'ai pas de compassion. Il m'a donné combien d'heures de colle en deux ans, au fait ? C'est mesquin, mais tellement humain...
— Que c'est bon d'enculer un mec viril ! Un macho de moins et une pute de plus... Tu t'ouvres bien. Le passage est bien plus agréable pour ma bite. Je crois que tu ne te refermeras jamais plus...
Je me rappelle des photos que l'enculé avait prises. J'en prend à mon tour pour négocier. C'est tout de même dommage, ce slip dans la bouche. Je l'enlève et glisse ma queue. Il ne crie plus, de toute façon. Il n'a plus mal ou il n'a plus de forces ? Il se concentre sur sa pipe, sans doute pour oublier la douleur anale. Julien se glisse sous Karim et lui taille une plume qui le fait vite rebander.
— Ah, je vais jouir, crie mon père.
Une lueur d'espoir perce dans les yeux du mâle dominé. La libération est proche. Le martyre se termine enfin.
— Mais non, je déconne ! Ton cul est trop bon, ma salope. Je veux te faire jouir comme une pute. Je repars pour un tour ! Savoure le plaisir de satisfaire un vrai mâle.
La bonne blague de Papa nous fait bien rire. Pas Karim qui manque décidément d'humour. Notre père le baise pendant plus d'une demi-heure. Nous admirons son endurance, surtout dans un cul si serré. Quand enfin il donne des coups de rein désordonnés, Karim comprend :
— Pas dans mon cul ! S'il vous plaît !
— Tiens, salope, tu les sens mes giclées chaudes dans ton cul ? J'allais pas gâcher ce jus de mâle ! Tu m'appartiens désormais. Putain, que t'es bon !
Mon père n'arrête pas de jouir, des litres de bon jus pour le baptême anal. Juste au moment où la bite de notre père fait un grand "splosh" en sortant du fion étoilé, Karim jouit dans la bouche de Julien. J'éclate à mon tour, une gerbe dans les yeux et quatre dans la gueule, je suis en progrès ! Julien lèche l'anus déchiré avant de gicler dans la cavité buccale de l'ex-macho devenu une nouvelle pute.
— Tu vois que tu as joui, enculé.
— Oui monsieur. J'ai eu mal les dix premières minutes, mais ensuite j'ai pris mon pied. Je suis honnête, je le reconnais. J'aurais préféré plus de douceur, cependant. Mais je n'ai pas l'intention de recommencer un jour.
— On verra ça. Tu restes à manger, bien-sûr.
— Mais, mais, ma copine m'attend.
— Tu sais pas téléphoner ? Débrouille-toi ! Tu obéis ou sinon...
— Allo, chérie ? C'est moi. Je dois remplacer un collègue malade à l'internat. Je suis désolé, moi aussi... Je te jure que je serai mieux avec toi, dit-il en nous lançant un regard noir.
— C'est bien. Ton cul m'a crevé. Tu vas dans la cuisine et tu nous prépares à manger. Tu prends ce que tu veux dans le frigo. Non, reste à poil pour cuisiner. Nous allons regarder la télé dans le salon, tu nous y serviras quand tu auras fini.
Ainsi fut fait. Karim se débrouille pas mal en cuisine. En tout cas, nous reprenons des forces...
— Karim, puisque tu l'as oublié, tu seras notre dessert. Assieds-toi sur ma bite.
Sans mot dire mais le regard torve, le pion s'enfonce sur ma queue. Par derrière, Julien glisse sa bite à son tour. Double pénétration pour le macho ! On le gâte.
— Aïe, ça fait mal !
— Et alors ? Un peu de patience, tu vas décoller, ma pute. N'oublie pas que tu es un enculé, Karim.
— Je suis un enculé, je suis un enculé, oh, mon Dieu !
Il gémit mais monte et descend de lui-même. Papa se fait sucer par notre invité. Au bout de vingt minutes, nous lui remplissons ses deux trous, cul et bouche remplis à ras-bord. Karim nous suit aussitôt dans l'orgasme. Il baisse les yeux, mais il a bien joui.
— Regarde-moi ! Tu as aimé ?
— Oui, mais j'ai honte.
— Tu n'as pas à avoir honte : tu es une très belle pute.
— Euh, merci...
— Allez, au lit ! Vous avez cours demain matin, mes chéris. Et Karim a du travail qui l'attend au lycée. Je te pardonne, ma salope.
— Merci beaucoup, monsieur Bordes.
— Écoute, je t'ai enculé, baisé la gueule, repeint le cul, alors tu peux me tutoyer et m'appeler Stéphane.
— Merci Stéphane...
— Il va sans dire que tu dors dans mon lit. Et à poil.
Karim rougit, cela lui va bien. Ce mec est si sexy. Dans la douleur, l'humiliation ou la jouissance, il est toujours irrésistible.
Dans la nuit, je me lève pour aller pisser. Il y a de la lumière dans la chambre de mon étalon de père. Je m'approche discrètement. C'est bien ce que j'imaginais. Karim est sur le dos, les jambes sur les épaules de mon père, comme un femelle ouverte à la saillie. Papa l'encule doucement, en prenant son temps. Le surveillant affiche un sourire extatique. Il prend le visage de mon père entre ses mains et l'attire à lui pour lui rouler un patin généreux.
— Ouais, baise-moi, Stéphane. Encore, c'est si bon. J'en veux plus...
A suivre...