Le blog de Krampack
Episode précédent : Frères jumeaux 3 : papa entre en piste
I. La bonne idée de Papa.
Depuis que notre père s'est invité à nos petits jeux sexuels, nous sommes passés à la vitesse supérieure. Mon frère adoré ne se contente plus de m'offrir sa bouche, son petit cul est aussi à moi. Enfin à nous. Je suis toujours émerveillé de voir la matraque de mon père s'enfoncer dans un aussi petit trou. Cela semble incroyable, impossible, mais Papa lui met toute la longueur de sa pine. De toute façon, il a intérêt, Julien ne veut pas en perdre une miette. Il en veut toujours plus, le bougre ! Comme pour la première fois, tous les soirs j'encule mon frère avant de le passer à mon père. Je suis son préparateur, en quelque sorte ! Son préparateur anal, noble et belle fonction. Tout le monde y trouve son compte. Si je passais après mon père, Julien apprécierait-il ma queue comme il se doit ? Et Papa est heureux de besogner un trou bien coulissant.
La semaine dernière, il s'est passé un truc incroyable. J'étais en train d'enculer Julien qui m'encourageait. Ce n'est pas la peine, mais il veut m'exciter davantage avec ses mots salaces. Je crois que lui en a besoin. Être traité comme une pute ne lui suffit pas, il souhaite qu'on lui rappelle son état de trou à bites, d'aspirateur à jus, comme s'il était possible de l'oublier...
— Encule-moi, frangin ! Plus fort ! Qu'est-ce que tu fous ? J'ai pas encore mal au cul ! Plus fort, plus vite, plus profond ! N'aie pas peur d'y aller, donne-moi tout... Oui, c'est ça, continue, la bonne bite ! Mon cul te sent bien, t'es bon... Je sens tes couilles contre les miennes... Ouais, sors et remets-la vite d'un seul coup, oh le pied... Mon cul est ta maison, nulle part ailleurs tu ne peux te sentir aussi bien...
Mon père avait cessé de se faire pomper pour laisser mon frère délirer en liberté. Je fus déçu quand Papa me dit de sortir du cul bien accueillant, je n'avais pas encore joui. C'était la première fois qu'il me jouait ce sale coup. Il s'allongea sur le dos et demanda à Julien de s'asseoir sur sa grosse bite. Ce spectacle magnifique me consola, Julien n'était pas lubrifié comme les fois précédentes par mon jus. Il grimaça quand l'énorme gland le pénétra. Aussitôt, Papa appuya sans pitié sur ses hanches pour qu'il se prenne les 20 centimètres restant brutalement. Notre chère petite salope cria, mais il se mordit rapidement les lèvres afin de prouver qu'il encaissait comme personne et qu'il acceptait tout pour notre plaisir. Et le sien, à venir... Loin d'être égoïste comme je le soupçonnais à tort, mon père m'invita à glisser ma queue dans le cul déjà occupé.
— Mais Papa, c'est impossible ! Un cul ne peut pas se prendre deux bites à la fois ! Surtout avec un morceau comme le tien...
— Oh, oui, quelle bonne idée, Papa ! Essaie toujours, frangin, avoir les deux hommes de ma vie dans le cul, ce serait le pied absolu !
— Ton frère a raison, Jérémy. C'est possible, je l'ai vu sur Internet. Une femme se prenait une bite dans la bouche, une dans la chatte et deux dans le cul ! Ton frère peut y arriver, y'a pas de raison...
— Mais Julien n'est pas un professionnel...
— Pas encore ! Mais il est si motivé... Et s'il n'est pas assez ouvert, et bien, on l'ouvrira avec nos bites !
Mon père arrêta ses mouvements pour me permettre de glisser ma queue dans le cul déjà plein. Julien retenait son souffle, plein de désirs et avec peut-être une pointe d'appréhension. Indescriptible sensation que celle de faire coulisser sa bite contre une autre. Et quand c'est celle de son propre père... L'impossible se réalisa, j'introduisis mon chibre dans le cul de mon frère. Cela ne fut pas facile, mais nous étions tous les trois tellement motivés. Voilà, j'y étais ! Je m'enfonçai au maximum. Je sentais la bite paternelle qui vivait contre la mienne et le cul de mon jumeau qui vibrait autour de nous. Nous commençâmes à bouger dans le cul adorable. Je dus reconnaître que les premiers mouvements étaient plutôt désordonnés et confus. Mais nous finîmes par baiser en rythme et ce devint génial. Mon père baisait mon frère, mais j'avais aussi l'impression qu'il me baisait la bite avec la sienne. Je n'avais jamais été si proche de mon père, à tous les points de vue. Physiquement bien sûr. Mais je me sentais son complice, son égal pour la première fois de ma vie. Je compris que je lui serais éternellement reconnaissant pour ce moment. Je ne l'avais jamais autant aimé. Julien, quand à lui, gémissait, il ne nous encourageait pas à y aller "plus fort, plus vite, plus profond", totalement comblé qu'il était.
— Oh mes chéris, mes étalons ! Je vous aime ! Vous ne pouvez pas savoir combien je jouis du cul... Vous me remplissez complètement. Quelle bonne idée, merci Papa, tu sais faire plaisir à tes fils. Tu es le meilleur des pères !
Papa l'embrassait pendant que je lui léchais puis mordillait les épaules. Mon père donna des mouvements plus désordonnés, annonciateurs de la libération de son foutre. Et il jouit, à la fois dans le cul de Julien et sur ma queue... Oh, cette chaleur, cette bite qui se cognait à la mienne. Cela me fit jouir aussitôt en même temps que Julien. À regrets, nos bites sortirent de ce cul tant aimé. Le trou dégoulinait comme jamais. C'était impressionnant. Mon père mit sa matraque à nettoyer dans la bouche de Julien. Je fis de même. Quel plaisir de sentir nos glands collés l'un contre l'autre léchés par la même langue ! Julien, heureux comme un gosse avec une glace à deux boules, avait les yeux les plus heureux que je n'avais jamais vus. Cette nuit-là, pour la première fois, nous dormîmes dans le lit paternel, un peu serrés mais tellement comblés.
II. Karim.
Je n'en ai jamais assez des deux trous de mon frangin. J'y pense toute la journée en cours. J'en ai mal à force de bander. Je me suis tapé la honte hier, à la piscine, quand je me suis mis à bander en voyant son petit cul dans son boxer de bain, mouillé et collant... Heureusement, les potes ont attribué mon émotion à la présence de Mathilde. Il y a eu une diversion quand Jonathan s'est rendu compte, au moment de se changer, que son calcif avait disparu.
— Z'avez pas vu un boxer blanc avec une ceinture bleue ? Allez, les gars, c'est pas drôle ! Soyez sympas. Je vais quand même pas être à poil sous mon jeans... Ça va me gratter les couilles.
Les copains se sont moqués de lui, mais moi, je savais qu'il ne disait pas n'importe quoi. Jonathan, athlète noir de 18 ans, a redoublé deux fois. Il est le plus musclé d'entre nous, un concentré de testostérone. Je connais le responsable du larcin... Le fétichisme de Julien ne me dégoûte plus mais m'amuse, et m'excite même quand le matin, après la douche, je lui fais mettre le slip que j'ai porté la veille... Excitant d'imaginer sa bite, ses couilles, son cul dans mon slip sale, tâché de jaune et de blanc... Je ne peux plus attendre le soir et me fais sucer à la récré dans les chiottes du bahut. Quinze minutes sont suffisantes. Ce n'est peut-être pas très romantique, mais il faut bien que je me vide les couilles. C'est vraiment une nécessité impérieuse. Aujourd'hui, Julien m'a fait une fois de plus du bien. Dommage qu'il ait joui sur mes baskets. Je sors discrètement des W-C pendant que Julien attend que je lui indique quand le chemin est libre. Horreur ! Je tombe sur Karim, un des pions. Mauvais réflexe, j'essaie de fermer la porte des chiottes que je viens de quitter. Karim, soupçonneux, ouvre cette porte et surprend mon frère. Il croit comprendre.
— Les jumeaux Bordes ! Tiens, tiens... Encore en train de faire une connerie, Jérémy ? Ça ne m'étonne pas. Et, toi, Julien, si sage, tu t'es laissé entraîné ? Tu me déçois, je te croyais plus malin que ton nigaud de frère.
— Nous n'avons rien fait de mal, Karim ! lance Julien.
— C'est ça, c'est ça. Prends-moi pour un con, j'adore. Je suis sûr que vous vous cachiez pour fumer, et peut-être même autre chose que du tabac... Votre compte est bon, mes gaillards, ce sera le conseil de discipline, puis l'exclusion.
Karim se rapproche de moi et me demande de souffler afin de sentir mon haleine coupable. Rien. Il me regarde surpris et je le sens bien déçu. Il ne m'a jamais trop aimé. Bon, c'est vrai que je fais des conneries, mais c'est de mon âge et ce n'est jamais méchant. En tout cas pas trop. Il demande la même chose à Julien. Il sent une odeur étrange, mais pas celle à laquelle il s'attendait. Il cherche, mais heureusement ne trouve pas.
— Bon, tirez-vous ! Je ne sais pas ce que vous faisiez, mais vous avez intérêt à ce que je ne vous surprenne plus tous les deux à nouveau dans les toilettes.
Ouf, sauvés ! Nous nous approchons de la sortie quand Karim nous interpelle.
— Ça alors, revenez ! J'ai reconnu l'odeur ! Qui l'aurait dit ? Entre deux frères, en plus ! Petits cochons... Il s'en passe de belles dans notre lycée... Le règlement intérieur ne dit rien sur ce genre de choses, je vais demander au C.P.E. et au proviseur les mesures à prendre.
— Non Karim ! S'il te plaît, tout mais pas ça ! Nous ferons tout ce que tu voudras... essaie Julien.
— Vous me proposez quoi là, de me sucer, les p'tits pédés ? Tentative de corruption en nature ? Moi, je suis normal. J'aime les femmes et les femmes m'aiment !
— Non, Karim. On sait bien que tu es sympa. Tu imagines la réaction de notre père ? Tu dois savoir combien il a déjà beaucoup souffert. Toute la ville est au courant. Même si nous changeons de lycée, la rumeur se propagera et nous vivrons l'enfer. Tout le monde se moquera de nous, nous persécutera. Nous n'aurons plus qu'à nous foutre en l'air. Nous sommes trop jeunes pour mourir... dis-je afin de le culpabiliser.
— Je ne veux pas mourir, pleurniche Julien.
Karim hésite. Il sait que le suicide est la première cause de mortalité des moins de 25 ans, avec les accidents de la route. Il a peur de commettre une erreur fatale. Il ne m'aime pas, mais pas au point de prendre un risque. Pourtant il sait que je suis malin et manipulateur. Il ne veut pas être pris pour un con. Il pose rapidement le pour et le contre. Nous n'avons rien dégradé, nous sommes consentants et je sais qu'il apprécie Julien, élève poli, sérieux et exemplaire.
— Bon, j'ai le temps, je vais réfléchir. Mais je dois prendre une sanction. Un tel comportement n'est pas admissible. Vous viendrez me voir au B.V.S. après vos cours. Vous avez intérêt à ne pas oublier...
— Merci Karim !
J'essaie de réconforter Julien mais je suis tout de même inquiet. J'ai un peu honte, mes pulsions sont la cause de nos problèmes. J'aurais dû me contenter de baiser à la maison. Julien me déculpabilise en me rappelant que lui aussi y trouve son plaisir. La journée nous semble longue, nous redoutons la fin des cours tout en n'en pouvant plus de ne pas être fixés. Karim nous attend au Bureau de la Vie Scolaire et nous fait signe de passer dans la salle des bagages. Il s'agit d'une salle sans fenêtre où les internes déposent leurs sacs tous les matins avant de le reprendre le soir. Nous sommes un peu surpris, mais pas trop. Les pions n'ont pas leur propre bureau comme les Conseillers Principaux d’Éducation et il cherche un endroit isolé pour nous dire ce qu'il a décidé dans la journée.
— Cela fait longtemps que vous vous pompez ?
— À la maison ou au lycée ? demande Julien. Depuis un mois et demi chez nous, une semaine ici.
— Tu ne sentais pas le sperme, Jérémy. Tu avais tout avalé avec soin ?
— Je suis hétéro ! Je n'ai jamais sucé et je ne le ferai jamais !
— Tu ne l'as jamais fait jusqu'à présent. J'ai trouvé ma sanction : tu vas sucer ton frère. Je suis sûr que tu l'as influencé. Tu es le responsable et tu dois être puni. Et puis, ton frère mérite que tu lui rendes la pareille, petit profiteur.
Je vais protester quand Julien ouvre son pantalon et baisse son boxer. Karim a peut-être raison, je ne suis pas gay, mais je ne dois pas me sentir supérieur à mon frère. Et puis, j'ai déjà pensé à le sucer, pour essayer, comprendre son plaisir. Mais j'avais l'impression qu'il m'admirerait moins si je me montrais moins dominateur. Je me mets donc à genoux. La présence du pion est quand même humiliante. J'ai une bite déjà à moitié bandée devant mon visage. C'est la première fois, sensation étrange... Je ne me sens pas prêt à mettre son gland dans la bouche. J'y fais un baiser avant de lécher la hampe et les couilles. Je prends mon courage à deux mains et gobe enfin son sexe. Julien gémit. Je pense qu'il attendait ça depuis un moment. Le salaud me prend la tête et me défonce la gueule à son rythme. Je lui ai fait la même chose des dizaines de fois, je ne lui en veux pas. Nous serons presque à égalité, parce que mon cul, pas touche ! Propriété privée. Je bande, je donne du plaisir à mon frère et j'en suis fier. C'est ma première pipe, elle ne doit pas être géniale, mais comme Julien ne s'est jamais fait sucer, il ne peut qu'apprécier ma pipe de débutant.
— Suce-moi salope ! Fais tourner ta langue ! Aspire plus vigoureusement, c'est bien, tu fais déjà des progrès, ma petite suceuse.
Il exagère. Me traiter ainsi devant Karim ! L'ordure. Le pion prend des photos avec son portable. Pourtant, les mots salaces de mon frangin m'excitent grave. Je prends mon plaisir dans la soumission comme dans la domination. L'inévitable se produit, Julien ne m'avertit pas, mais à ses mouvements plus désordonnés, à ses gémissements plus rauques, je devine que je vais me faire repeindre la gueule. Putain, c'est chaud et ça n'en finit pas ! Le goût n'est ni bon ni mauvais. Je montre ma bouche foutreuse à Julien et à Karim avant de tout avaler. Gros plan sur ma bouche désormais vide. Julien se rhabille et je me relève.
— Voilà, Karim, j'ai eu ma punition. Salut !
— Tu ne vas pas me laisser comme ça, dit Karim en se touchant le paquet. D'ailleurs, toi aussi tu bandes. Je ne t'ai pas dit de de relever. À genoux !
J'obéis. Il a l'autorité... et les photos ! Il ouvre son jeans et baisse son caleçon. Mon Dieu ! Il se paye le braquemart d'un acteur porno : 23 centimètres ! Je regarde mieux le pion : grand, musclé, très brun avec des yeux noirs déstabilisants, Karim est un beau mâle. C'est au moins ça, je me soumets à un mec hyper viril. Mon hétérosexualité officielle se sent moins menacée. Je me résigne et mets le gland dans ma petite cavité buccale. Karim est pressé, il m'enfonce une grande partie du chibre dans la gueule. J'ai peur. Je pleure, j'étouffe. Il n'en a cure. Il doit confondre ma bouche avec une chatte, ce n'est pas possible...
— Suce mieux, salope ! Joue avec ta langue... Sors ta bite et branle-toi, ma petite pute !
Jouer avec ma langue ! Impossible, avec une bite si large qui m'écarte complètement la gueule. Les insultes de Karim sont plus dures à supporter que celles de mon frère qui me regarde avec envie. Je me sens humilié devant cet homme qui me méprise. Je ne suis qu'un trou destiné à le soulager. Il n'y a chez lui aucune tendresse. Au bout de quelques minutes qui me paraissent interminables, Karim me remplit la gueule. Son jus est très fort et très amer. Il y en a beaucoup trop. Je me crois dégoûter quand je finis par jouir à mon tour. Karim vérifie que j'avale tout son foutre et récupère les gouttes qui coulent le long de mon menton. Quand il se rend compte que j'ai joui sur ses baskets, il me donne une gifle.
— Tu ne pouvais pas faire attention ! Heureusement que je m'en suis rendu compte ! Qu'aurait dit ma copine ? Lèche mes skets !
J'obéis une fois encore. Soumis, humilié, moi le petit mec dur. Je pleure. Karim me regarde, surpris. A-t-il honte de sa brusquerie ? Il me caresse doucement les cheveux et demande à Julien de me rouler une pelle pour me consoler.
III. Retour à la maison.
Nous rentrons à la maison sans parler. À peine arrivé, Julien sniffe un boxer blanc avec une ceinture bleue. Il est au ciel : deux poils pubiens sont collés au slip qui a visiblement été porté plusieurs jours... Pas très porté sur l'hygiène, le Jonathan ! Notre père rentre bientôt, complètement crevé. Il s'affale sur le canapé.
— Désolé les gars, je suis vanné ! Je n'ai plus la force de baiser... Amusez-vous sans moi. Que voulez-vous, je vieillis...
Heureusement, nous sommes des fils dévoués. Julien baisse le slip de Papa et commence à le sucer. Mon père l'encourage, explique que ce soir une bonne pipe lui suffit. J'embrasse Papa à pleine bouche, puis lui mordille les tétons. C'est la première fois que je le fais, je suis une soudaine intuition. Il apprécie et ferme les yeux. Je continue à descendre. Le nombril. Plus bas encore. J'ai sa queue magnifique devant les yeux. Julien lèche les couilles, la bite est libre. Pas pour longtemps. Je la gobe et commence à sucer. Rapidement, mon père ouvre les yeux. Il n'a pas reconnu la bouche de Julien. Il me regarde, surpris, puis me dit :
— Oh, Jérémy ! Qu'est-ce que tu fais ? Merci, merci mon fils... Tu es une bonne salope... Tu me fais du bien. Je suis fier de toi. Moi aussi, je t'aime...
Je m'applique de mon mieux. Je n'ai pas l'expérience de mon frangin, mais je veux lui prouver mon amour et mon adoration. Julien vient m'aider à le sucer. Nous enroulons nos langues le long de ce sexe merveilleux et quand Papa finit par jouir, nous nous battons presque pour avaler son jus. Le goût est encore différent, très fort. L'odeur est très puissante aussi. Je l'aime déjà. Nous nous réconcilions dans une pelle au foutre, nous partageons le précieux lait de couilles. Papa nous remercie et nous dit qu'il est le plus heureux des pères. Il me regarde comme il ne m'a jamais regardé, je me sens troublé, tout chose... Je suis heureux, ému et fier.
Il faudra que je remercie Karim demain. Je sais déjà comment. Pas toi ?
A suivre...