Le blog de Krampack

Je rentrais par une belle nuit d'août de chez des amis (hétéros) et j'avais passé une bonne soirée. Vers quatre heures du matin, je marchais sous le ciel étoilé dans un quartier pavillonnaire de banlieue. Je rejoignais la maison de mes parents. J'étais vêtu d'un t-shirt, d'un jean, d'un caleçon CK et de tennis blancs. Par précaution, puisque circulant à pied la nuit, je n'avais rien de valeur sur moi : pas d'argent, juste ma carte d'identité. Je n'étais pas trouillard mais je pensais ainsi m'éviter des ennuis.

Arrivant à proximité d'un petit parc je vis, à 50 mètres environ, un groupe de jeunes garçons. De loin à leur allure (casquettes et pantalon blancs) je vis qu'il s'agissait de jeunes beurs. J'aime bien ce type de mecs. Ils ont des corps peu ou pas poilus et sexuellement ils ne se posent pas de question, obéissant à leur instinct du moment. Je n'étais tout de même pas trop rassuré car ils étaient six et paraissaient désœuvrés. Mais il était trop tard pour reculer et prendre un autre chemin, ils m'avaient bien vu.

Arrivé à leur hauteur je pressai le pas mais deux garçons me barrèrent le passage. "Où vas-tu comme ça beau blond, t'es pressé ?" me dit l'un d'eux qui semblait être le chef de la bande. Et, sans attendre la réponse il ajouta : "Donne ton fric." "J'en ai pas," répondis-je. Et, me menaçant d'un cutter, ils me poussèrent à l'intérieur du jardin public. Les quatre autres garçons rejoignirent le groupe.

"Fouillez-le," dit le chef qui, je l'entendis plus tard, s'appelait Karim et il ajouta : "Bouge pas sinon tu prends un coup de cutter sur la jolie petite gueule." Malgré la trouille, je m'aperçus qu'il était plutôt beau et bien foutu le Karim. Lui d'ailleurs était en jeans ainsi qu'un mec qui semblait rivaliser avec Karim. Les autres qui me semblaient pas mal non plus étaient en pantalon de survêtement blanc.

"Foutez-le à poil," dit Karim. "On va voir s'il ne planque rien." À six autour de moi et sur moi je n'avais aucune chance d'y échapper, aussi je préférai me laisser faire que de recevoir de mauvais coups ou pire un coup de cutter…

Ils me déchirèrent mon t-shirt et l'un d'eux que ses copains appelaient Rachid dit : "On va jouer à la guerre des boutons." Rachid sortit un couteau et, un à un, coupa les boutons de mon jean. Ils me poussèrent dans l'herbe et me retirèrent mes tennis. Puis ils ont tiré mon jean par les pieds. Rachid a fouillé mes poches mais en vain...

Alors Karim s'est approché et a vu mon caleçon blanc CK. Il s'est écrié : "Il a au moins un beau caleçon. À défaut de fric, je vais le prendre pour moi." Et il a descendu mon caleçon qu'il a retiré de mes jambes et l'a mis dans ses poches.

J'étais complètement à poil devant ces six mecs sauf mes chaussettes blanches qui ne le restèrent que quelques minutes. Ils me firent relever et un des garçons me passa un doigt dans la raie des fesses. "Pour voir si je planquais rien" dit-il. Karim me regardait et dit à ses copains : "Mais il bande!" (c'est vrai, je bandais à moitié, me retenant pour ne rien leur montrer mais ma bite ne voulait plus obéir à ma tête) "C'est un PD !" annonça Rachid. "D'ailleurs il se rase les poils du cul et des boules" dit celui qui m'avait mis la main au cul. Je commençais à avoir la trouille car ils n'avaient pas trouvé de fric et je pensais qu'ils allaient me tabasser. C'étaient peut-être des casseurs de PD.

Cependant Karim dit : "Vous avez vu son beau cul ? Et il a une peau de fille" ajouta-t-il en me caressant les fesses. "Dites les mecs, il est 4h, on a plus de fric et on trouvera plus de filles, je propose qu'on l'encule."

J'étais coincé au milieu de ces six mecs. Je ne pouvais qu'y passer. Ce n'était pas complètement pour me déplaire mais j'avais peur qu'ils soient trop violents (mon cul avaient connu plusieurs bites mais pas six à la suite l'une de l'autre).

"T'as le choix," me dit Karim. "Tu te laisses faire, on te baise et tu suces tant que nous n'aurons pas les couilles vides et après on te laisse partir sans te tabasser, sinon on te frappe, éventuellement on te découpe un peu ; tiens on pourrait te circoncire !" Et il m'attrapa la bite par le bout, tira la peau qui recouvrait mon prépuce, sortit son couteau et le posa sur ma peau. "Alors, on coupe ?" me demanda-t-il. "Non !" dis-je. "Je ferai ce que vous voulez." "Voilà qui est raisonnable" dit Karim. "Car consentant ou non on t'aurait toujours tiré. Allez à quatre pattes !" me dit-il.

"Je suis un mec sympa" me dit Karim. "Je suis sûr que tu vas aimer sucer ma grosse queue pour commencer et quand je l'aurai encore plus raide je te défonce le cul." Rachid, qui me regardait dit à Karim : "Tu vas pas baiser un mec qui bande non ?" "T'as raison Rachid." Puis s'adressant à moi il m'ordonna : "Branle-toi et vide tes couilles. D'ailleurs ça te fera du bien" ajouta-t-il.

Je m'exécutais donc. Mais je ne voulais pas être en reste et je les provoquais un peu me masturbant d'une main et me caressant de l'autre les seins et les fesses. Pendant ce temps, les six garçons s'étaient mis à l'aise. Karim et Rachid avaient débraguetté leur jean et sorti leur bite. Karim avait la plus longue (au moins 20 cm) et assez large. Quant à Rachid elle était un peu moins longue, mais très large. Comme tous les arabes ils étaient circoncis. Les quatre autres avaient retiré le bas de leur survêtement et leur slip pour être plus à l'aise. En tout cas, ils bandaient tous et cela m'excitait beaucoup. Quelques instants plus tard je balançais dans l'herbe de longues giclées de foutre blanc.

Karim me poussa à ses pieds et me dit : "Suce salope !" Il retira l'élastique qui tenait mes cheveux et me dit : "Tiens, ainsi tu auras plus l'air d'une fille." Et mes cheveux blonds couvrirent une partie de mes épaules. La "salope" ouvrit la bouche et avala le membre chaud. L'engin de Karim sentait bon le jeune mâle et j'avais beaucoup de plaisir surtout qu'il semblait bien apprécier ma langue et mes lèvres. "Arrête !" me dit-il. "À quatre pattes, montre ton cul." J'eus un peu peur et lui dit d'un ton demandeur et interrogatif : "Vous mettez des capotes ?"

Ils se mirent tous à rire et Karim me dit : "On te viole mon petit bourge, les violeurs ne mettent pas de capote, on va te remplir le cul !" et puis, plus rassurant, il ajouta : "T'inquiètes pas on s'est jamais fait baiser et c’est la première fois qu'on va fourrer un mec." Je n'étais pas pour autant rassuré mais l'idée de me faire baiser sans capote et de ne pas avoir le choix m'excitait beaucoup. Je n'avais fait cela qu'une fois sans capote, le jour de mon dépucelage avec un mec aussi puceau que moi.

Karim se positionna derrière moi, je pensais qu'il allait m'enculer à sec et j'avais peur d'avoir très mal. Mais à ma grande surprise il me cracha plusieurs fois dans la raie des fesses et sur la rondelle. Puis il mit un doigt puis deux pour faire entrer un peu de salive. "Tu vois on n'est pas des salauds, on ne veut pas t'esquinter, juste prendre un bon pied !" "Moi je t'aurais enculé à sec" dit Rachid.

Mais les bonnes manières étaient terminées et Karim s'enfonça d'un seul coup dans mon cul. Ouah ! Le morceau… Il me ramona vivement, je prenais un pied d'enfer avec mon cul et je me mis à bander. Rachid passa devant moi, poussa sa bite bandée dans ma bouche et me dit : "Suce !" Il essayait de me la mettre au plus profond.

Karim et Rachid jouirent en même temps en criant leur plaisir. Rachid m'avait tenu par les oreilles pour me forcer à avaler. Il n'en finissait pas de jouir et j'ai failli m'étouffer. Karim lui se déversait dans mon cul et j'ai senti ses jets de foutre chaud dans mon ventre. J'étais tellement excité que je me mis à juter dans l'herbe alors que je ne m'étais même pas touché.

Quelques instants de répit et les quatre autres qui sans doute avaient été bien excités de la scène s'approchèrent. Je dus sucer deux bites en même temps et, dans mon cul, les deux autres mecs se relayaient. Je ne ressentais rien que du plaisir car la taille de la bite de Karim et son foutre avaient bien préparé le terrain. En l'espace d'un quart d'heure, les couilles s'étaient vidées plusieurs fois dans ma bouche ou dans mon cul. Je ne pouvais plus compter ni savoir qui faisait qui ou quoi. J'avais mal à la mâchoire et le foutre débordait de mon cul.

Je pensais que c'était fini et qu'ils allaient partir, mais Rachid et Karim s'approchèrent de moi. J'étais toujours à 4 pattes offrant mon cul à leurs désirs. Rachid me mit un doigt dans le cul et dit : "Ah merde, il est plein !" et je lui dis : "Tu vois, ça sert au moins à ça les capotes." Rachid était fou de rage et me donna un coup de pied dans le ventre qui me fit tomber sur le côté. Mais Karim le retint et lui dit : "Prends pas la mouche et encule-le." Mais Rachid ne l'entendait pas comme ça et dit à Karim : "Il mérite quand même une punition, je vais le corriger," et il ajouta : "Qui c'est le mâle ici ?". Il me dit : "à quatre pattes." Puis je le vis défaire la ceinture de son jean. Avec sa ceinture il me fouetta avec rage et violence. J'avais le cul en feu mais pas pour la bonne cause. Mais Karim qui était bien le chef de la bande lui dit : "Arrête Rachid ça suffit."

Rachid qui s'était calmé lui obéit aussitôt. Puis il m'entraîna vers la table en bois du parc et me fit allonger dessus, les fesses sur le bord. "Relève les jambes" me dit-il et il m'empala d'un seul coup de sa bite bien large. Heureusement cinq bites m'avaient déjà pénétré et m'avaient bien élargi le cul et le foutre qui continuait de couler de mon trou constituait un bon lubrifiant. Rachid me baisa violemment.

Karim vint nous rejoindre et je fus surpris de le voir tranquillement retirer son jean et son slip. Il monta sur le banc pour se mettre à califourchon sur moi. Je comprenais maintenant pourquoi il s'était ainsi déculotté, c'était pour être plus à l'aise. Mais qu'il était beau : de belles jambes peu poilues et bien musclées. J'eus même le temps de voir ses fesses bien rondes et imberbes. Quant à son pénis que je connaissais déjà, je n'aurais eu aucune chance de le voir au repos...

Il s'installa donc sur ma poitrine, sa bite bandée à quelques centimètres de ma bouche, je le regardais dans les yeux et passais ma langue sur mes lèvres pour l'exciter. Il ne disait rien, alors j'ouvris la bouche et il y introduisit son pénis. Je me mis à le lécher, le sucer, ma langue tournait autour de son gland. D'une main je le branlais doucement. Je glissais mon autre main sous ses couilles. Il soupirait d'aise, mon doigt continua et atteint son petit trou. Il me dit : "Touche pas ça !" mais il ne fit rien pour se dégager. Aussi tout en continuant à le pomper et lui caresser les couilles, j'entrai juste le bout de mon index dans son cul. Cette fois-ci, il ne dit rien et continua à râler.

Rachid continuait à me bourrer et pourtant je l'avais presque oublié alors que je jouissais du cul. Mon sexe était raide à nouveau et j'ai eu la surprise de sentir une bouche chaude et humide sur mon gland. Je me penchais un peu et vit que c'était Momo, le plus jeune des mecs qui me pompait. Il me caressait les couilles et le ventre et me branlait doucement. Je ne savais plus du tout où était mon plaisir, dans mon cul, autour de ma bite ou dans ma bouche, mais je crois que c'était le plaisir que je donnais à Karim qui m'apportait le plus de bonheur.

Et presque en même temps, ce fut l'explosion : Karim se vidait au fond de ma bouche et j'eus l'impression d'avaler des litres de foutre et que sa jouissance ne s'arrêterait pas. Je me mis à juter dans la bouche de Momo qui à ma surprise avala tout mon foutre. Enfin Rachid se mit à hurler et je sentis à nouveau dans mon cul de nombreux jets de sperme. Karim se releva après que je lui aie rendu une bite bien propre. Rachid se retira et j'eus une sensation de vide dans le cul. Je me relevais de la table et quand je fus debout, le sperme coulait sur mes jambes s'échappant de mon cul qui semblait ne plus vouloir se refermer.

Mes six "amants" se rhabillaient lentement, ils semblaient un peu fatigués. Je retrouvai mon t-shirt déchiré et mon jean sans bouton que je renfilais moi aussi doucement. Le soleil se levait et les six beurs partirent rejoindre leur voiture sans se retourner sur moi. J'étais à la fois honteux d'avoir pris du plaisir à subir ainsi six mecs en chaleur, satisfait d'avoir tant pris mon pied et déçu de voir partir Karim sans un regard. Je m'apprêtais à quitter le square quand je vis Karim revenir vers moi. Il s'arrêta devant moi et me dit : "Tiens, voilà ta carte d'identité, je l'avais mise dans ma poche pendant la fouille." Puis il posa un rapide et bref bisou sur mes lèvres, se retourna et partit en courant.

Je regardai ma carte d'identité. Un numéro de téléphone y était inscrit au crayon...

Dim 22 déc 2013 Aucun commentaire