Le blog de Krampack
Retour à la première partie : Arrête, Damien - 1ère partie
On s'est encore embrassés et caressés avant de prendre un petit-déjeuner, tout nus bien sûr. On se caressait tout en mangeant côte-à-côte.
— Luc j'ai toujours envie de te sentir en moi.
— Moi aussi Damien mais je ne l'ai jamais fait et je crois qu'on doit se préparer.
— Préparer, comment ça ?
— Je pense que nos petits trous sont trop serrés on va se faire mal.
— Mais comment font les autres alors ?
— Si on allait voir sur Internet ?
— Bonne idée.
Après avoir débarrassé la table, on a allumé l'ordinateur. On ne savait pas trop quoi demander à « Gogole notre ami ». On a commencé par anus étroit... anus large... puis les résultats donnés par le moteur de recherche nous ont fait connaître d'autres façons de parler de ça comme « dilatation anale ». Là, on est tombés sur des forums dont les premiers étaient des sites pour femmes. On a vu des photos débiles : des trous de cul de gonzesses capables d'avaler un ordinateur en entier ! On n'a même pas bandé en voyant ça, tellement on rigolait... Puis on a trouvé des sites gay. Pour moi c'était la première fois que j'en parcourais et Damien m'a dit que lui aussi. Là, on a appris des tas de choses : l'utilisation de godes et de plugs (on s'est dit qu'on en achèterait), l'emploi des doigts qui devaient être propres (on ne va pas risquer de blesser les muqueuses avec des doigts pleins de cambouis), les ongles courts (ça, on l'aurait deviné), les lavements si on est trop vite dégoûté, les lubrifiants qui facilitent la tâche, la façon d'y aller progressivement avec un doigt puis deux et plus selon le relâchement du partenaire, et surtout la PATIENCE : prendre le temps de préparer son copain avec amour, assouplir son petit cul par des mouvements tendres, recherchant son plaisir et évitant toute douleur, le caresser de l'autre main...
L'ordinateur n'était pas encore éteint que je fonçais à la salle de bain chercher le lubrifiant qui pourrait nous convenir. Le type de lubrifiant n'avait pas trop d'importance, nous étions tous deux en parfaite santé (quoique à bien y réfléchir on a été imprudents...). C'était pour nous nos toutes premières relations sexuelles, j'ai opté pour un body milk (les andouilles, ça les écorcherait d'écrire ça en français ?!). J'avais à peine trouvé le flacon que Damien était déjà à quatre pattes sur le lit. Je l'ai fait se coucher : « Pas comme ça Damien, on n'est pas à l'abattoir ! ». Il a voulu s'excuser et mon baiser lui a pardonné sa fougue.
Je l'ai couché sur le dos, j'ai mis ses mains aux barreaux de la tête du lit, lui ai demandé de les laisser là puis j'ai commencé à le caresser sur tout le corps. Je lui ai léché le cou, les bras, les aisselles. C'est lui qui m'a demandé de lui attacher les poignets à la tête du lit. Il était implorant, je l'ai fait. Il voulait m'être soumis pour toutes les fois où il m'avait terrassé en luttant. Je l'ai fait. Il souriait mais ses yeux marquaient un peu de peur. J'ai continué à l'embrasser tout partout. Son corps m'appartenait et il savait qu'il allait m'appartenir encore plus... Ma bouche est passée sur ses boules, sur sa queue, juste un peu mais pas trop. Même si je ne savais pas comment ça allait se passer entre nous, je voulais que ce soit inoubliable pour lui... et pour moi ! Je suis passé à ses cuisses, j'ai glissé deux oreillers sous ses fesses, il ne pouvait plus voir ce que j'allais faire de son cul. J'ai léché sa petite corolle jusqu'à ce qu'elle se détende. J'ai étalé le lait de soin doucement en continuant à le caresser. Petit à petit, j'ai appuyé mon doigt qui a pu entrer facilement. Damien n'arrêtait pas de couiner de plaisir. Je suis passé à deux sans problème mais pour trois j'ai vu qu'il souffrait, alors je suis redescendu à deux et quand je l'ai senti détendu, j'ai remis le troisième. Il souriait. C'est lui qui m'a dit : « Donne-moi ta queue mon amour, s'il te plaît !» et il a relevé ses jambes. J'ai enduit ma teub de crème puis mon gland a touché sa rosette. Il avait le cul aussi ouvert que sa bouche. J'ai senti ma teub avalée, aspirée jusqu'au fond de lui. Ce n'est qu'au bout qu'il a gémi quelque peu. J'ai attendu jusqu'à ce que son visage fasse apparaître autre chose que de la douleur et j'ai commencé à sortir complètement, à rentrer à fond et, petit à petit, j'ai eu cette image débile : ma queue était dans un pot de mayonnaise (on peut être con, quand même !). A cette mayonnaise j'ai voulu ajouter ma sauce à moi et j'ai commencé en lui les mouvements que ma teub appréciait tellement entre mes doigts et les siens. J'étais partagé entre l'envie de jouir tout de suite et le bonheur que je voyais sur son visage. J'ai tout fait pour que ça dure longtemps mais c'est la chaleur et les resserrements musculaires de Damien sur ma teub qui ont eu raison de mon plaisir. J'ai hurlé : « Mon Damien, mon amour !» et je me suis vidé en lui tandis que lui s'est envoyé je ne sais combien de jets de sperme sur le visage et sur le corps... Quand j'ai pu reprendre ma respiration, je ne l'ai pas détaché avant de lécher jusqu'à la dernière goutte tout son jus sur son visage et son corps. On s'est affalés et endormis aussi sec dans les bras l'un de l'autre.
On s'est réveillés le dimanche à onze heures, les yeux cernés mais brillants de bonheur. On s'est embrassés tendrement, amoureusement, avant d'aller reprendre des forces devant une bonne
assiette. On a mangé plus qu'un ptit-déj : on y a ajouté des œufs, du jambon, du pâté. On a fait deux repas en un ! Damien a mangé sur mes genoux, je touchais sa teub entre deux bouts de tartine,
de la même main d'ailleurs pour que mes bouchées de pain goûtent son corps et son jus...
— Damien s'il te plaît.
— Je sais ce que tu veux et tu l'auras avant ce soir.
On s'est embrassés longuement. Il voyait que quelque chose me chagrinait.
— Luc, ma puce adorée, dis-moi ce qui ne va pas, on s'aime non ?
— Oui mon poussin, mais...
— Mais quoi ? Dis-moi.
— J'ai adoré hier mais je me sens mal. Tu as deux ans de moins que moi, j'ai l'impression de t'avoir...
— Violé, c'est ça ?
— Oui en quelque sorte.
— Alors on va reprendre le cours de math : tu as 16 ans et tu as commencé à juter à 14, ok ?
— Oui.
— Moi j'en ai 14 et j'ai juté à 12, ça fait bien deux ans pour tous les deux, non ?
— Oui mais quand même...
— Mon amour il n'y a pas de mais : nous sommes devenus tous les deux des petits hommes depuis deux ans, nous avons chacun découvert les plaisirs que notre corps pouvait nous donner en même temps et peut-être était-ce le même jour ?
— T'es con.
— Si con que ça tu crois ? On devient ado entre 11 et 18 ans, on peut devenir adulte à partir de 14 ans, parfois moins mais certaines personnes ne le deviendront qu'à leur mort... Alors on arrête les maths et on laisse la place à l'amour.
— ...
— J'ai tort ?
— Tu as raison, c'est moi qui suis con ! Damien mon cœur, mon poussin, fais-moi l'amour, s'il te plaît.
— Laisse tomber la vaisselle ma puce, on monte !
Quand je suis arrivé dans la chambre, mon Damien était sur le lit, jambes écartées, la queue bien raide. Il m'a fait mettre à califourchon sur lui, ma tête vers ses pieds. Il a attiré mes fesses vers sa bouche et il m'a longuement léché. J'avais envie de jouir mais je savais que ce n'était pas le moment. Il s'est saisi du flacon et en a enduit mes fesses et mon petit trou. Je gémissais comme un gosse qu'on chatouille. Il m'en a mis plein autour et dedans puis il m'a passé le flacon. J'en ai enduit sa belle teub que j'adorais puis il m'a dit en quelques mots tous simples : « Tu te retournes et tu t'assieds dessus ».
Mon Damien qui était d'habitude toujours sur moi, là c'était le contraire. Il me laissait le champ libre. Je me suis retourné, l'ai embrassé et j'ai guidé sa teub vers mon anus. Je la voulais tellement que j'ai pu me laisser descendre sans aucune douleur. Y avait-il des mots pour expliquer ce que je ressentais ? Y en avait-il d'autres pour décrire son visage, ses yeux ? Chaque coup de rein qu'il me donnait était comme un cadeau dont je n'avais jamais pu imaginer l'existence ! En tenant mes hanches il imprimait le mouvement que lui avait décidé : j'étais sa chose, son trou, une partie de lui dont il décidait tout. Il m'a fait le supplier mon poussin de 14 ans, il m'aurait demandé n'importe quoi, je l'aurais fait ! Je voulais qu'il jute en moi, qu'il me donne son jus le plus intime et quand il l'a fait je me suis évanoui...
Il était 15 heures quand ses lèvres ont réveillé les miennes.
— Ça va ma puce, entendis-je ?
— Coucou mon cœur.
— Ça te gêne pas que je t'appelle ma puce ?
— Non mon cœur, tu m'appelles comme tu veux ! Tu sais que je t'aime et moi je t'appelle bien mon poussin.
— Ma puce, ta queue est dure : entre-la moi encore s'il te plaît.
Damien a mis ma teub en bouche pour qu'elle soit au max. Je me suis approché de son petit cul, il s'était mis à quatre pattes sur le lit et je l'ai pénétré facilement. Il gémissait, si pas criait chaque fois que je m'enfonçais en lui...
— Putain ! Vous faites quoi, là ?
La porte venait de s'ouvrir. Loïc, mon jeune frère de quatorze ans était dans l'embrasure de la porte. Je me suis désolidarisé de Damien.
— Loïc qu'est-ce que tu fous là ?
— On vient de rentrer. Les parents sont en train de décharger la voiture.
— Merde !
— Vous foutez quoi là ?
— Loïc, on t'expliquera mais ne dis rien aux vieux...
— T'inquiète Luc, je ne suis pas une balance mais promets-moi que tu m'expliqueras.
— C'est promis frangin. Allume mon ordi et nous on se rhabille.
— Dac frérot, mais tiens ta promesse !
On s'est passé un coup de gant de toilette sur le sexe et le cul avant de se rhabiller, j'ai ouvert une fenêtre internet sur un site de grammaire française puis on est descendus voir les parents, la peur au ventre que Loïc ait parlé. Mais non, il avait su la fermer.
Après le goûter on est remontés dans ma chambre. On ne savait que penser. Loïc nous avait vus nous aimer. Pour moi c'était encore un gamin, j'avais peur... On a frappé à la porte : c'était Loïc.
On l'a laissé entrer. Il a fermé la porte à clé puis s'est approché de nous et, devant nos yeux hagards, il s'est déshabillé complètement et s'est couché au milieu du lit. Je ne l'avais plus vu
nu depuis trois ans et effectivement ce n'était plus un gamin : sa queue était plus longue que la mienne !
— Venez près de moi mais tout nus comme moi.
Je ne savais plus où me mettre. Damien et moi n'avions pas trop le choix. On s'est couchés nus à ses côtés. Dans chaque main, il a saisi une de nos queues.
— Paniquez pas les gars : je suis comme vous.
— Quoi ? Tu aimes les garçons ?
— Luc réveille-toi, mon meilleur pote Vincent, tu ne le connais pas ?
— Toi et Vincent ?
— Ben oui banane, tu n'avais pas capté ?
— Loïc, garde-ça pour toi mais jusqu'à ce weekend...
— Tu ne savais pas que tu aimais les garçons ?
— ...
— Grand frère, moi je le savais !
— Comment ça ?
— Écoute, j'ai quatorze ans mais je sais que j'ai toujours eu une préférence pour les garçons. Alors il y a des signes qui ne trompent pas, comme tes yeux de cabillaud crevé quand tu regardais Damien !
— Pourquoi tu ne m'en as jamais parlé ?
— Je savais que tu n'étais pas prêt et je suis prêt à parier que c'est Damien qui t'a un peu « expliqué » !
Damien se bidonnait tandis que moi j'aurais bien mis ma tête dans un slip. Ils étaient pliés de rire tous les deux.
— Tu es vraiment une crapule Loïc.
— C'est quoi pour toi une crapule ? Celui qui aime la même chose que toi et qui ne dira jamais rien à notre maman chérie ?
— Excuse-moi Loïc, je me rends compte que c'est moi le con crapuleux.
— Pour te faire pardonner, suce-moi !
— Tu es fou ou quoi ? Tu es mon petit frère !
Damien a caressé mon cou et a poussé ma tête vers l'entrejambe de mon petit frère. J'ai compris que j'étais con et j'ai sucé mon petit Loïc. J'ai pu me rendre compte que sa teub était plus importante que la mienne malgré les deux ans de différence et j'ai avalé tout son jus de jeune ado. Loïc s'est ensuite dirigé vers Damien et l'a sucé jusqu'à la moelle.
C'était le soir et Damien a dû rentrer chez lui. J'étais plus que triste mais je savais que ça ne tarderait pas avant de nous retrouver.
Cette nuit-là, où je me trouvais seul sans mon Damien, Loïc a trouvé l'excuse du cauchemar pour se glisser nu dans mon lit. Nous avons beaucoup parlé, chacun a raconté l'histoire de sa jeune vie et nous nous sommes aimés. Loïc et Vincent avaient déjà eu des rapports sexuels et nous avons mis ça en pratique sauf mon petit trou que je voulais réserver à Damien. On a joué avec nos corps puis on s'est serrés l'un contre l'autre : ça n'était jamais arrivé...
— Loïc, tu ne trouves pas que c'est idiot de ne pas m'en avoir parlé ?
— Je sais Luc, mais tu n'aurais pas été prêt. Tu m'aurais traité de tous les noms et tu en aurais parlé aux vieux.
— Tu as raison, rien à dire.
— Luc j'aimerais qu'on puisse faire des choses à quatre.
— Avec Vincent ? Mais on se connaît si peu et puis il est si jeune.
— T'occupe ! Jeune peut-être mais il pourrait t'en apprendre...
— Il faut que j'en parle à Damien.
— Luc c'est la première fois que je te demande ça : tu me fais confiance ou pas ?
— Je voudrais bien.
— Oui ou non ?
— Oui Loïc, je te fais confiance.
— Mets-toi à quatre pattes.
— Non Loïc, tout mais pas ça.
— Luc ! Je veux t'envoyer mon jus dans ton trou.
— S'il te plaît, non Loïc.
Et Loïc a insisté.
— Loïc je veux bien m'offrir à toi mais ne le dis à personne ; surtout pas à Damien s'il te plaît, promets-le moi !
— Damien le sait déjà !Tais-toi et montre-moi ton trou.
— Damien quoi ?
— Ton cul, tout de suite !
J'ai obéi à ses ordres : je lui ai montré mon cul pour la première fois de ma vie. Il s'est emparé de mes fesses, les a léchées, a sucé mon petit trou, y a mis trois doigts d'un coup avant de me remplir l'anus de son jus puis il a mis sa teub dans ma bouche pour que je la nettoie. Il m'a fait lécher son cul et ses pieds puis m'a penché sur ses genoux et m'a donné une fessée à en pleurer. Je lui étais totalement soumis et j'aimais ça. Tout ce que j'ai trouvé à dire c'est :
— Tu me le referas ?
— Oui je sais que tu aimes ça.
— Loïc, je te promets de t'obéir en tout.
— Je suis content de te l'entendre dire. Je t'aime ma petite salope.
Le lendemain soir quand papa est rentré du bureau il est venu dans ma chambre où j'étudiais. Il a mis sa main sur mon paquet.
— Papa, que fais-tu ?
— Déshabille-toi, complètement !
— Mais papa...
— Fais ce que je te dis Luc.
Il a serré mes boules si fort que j'en ai crié puis il s'est assis sur mon lit et je me suis mis à poil devant lui. Il m'a examiné la teub, les boules et le cul où il a entré son index en entier. Il s'est relevé et s'est déshabillé complètement.
— Suce, après tu t'assieds sur ma queue.
J'ai obéi comme totalement soumis à papa. Sa grosse queue m'a fait crier et pleurer de mal quand elle est entrée en moi. Je le suppliais d'arrêter. Loïc et Vincent étaient près de nous, ils nous regardaient, ils étaient nus tous les deux, ils caressaient mes cheveux et mes joues pour m'aider à supporter. Quand papa a été au fond et que j'ai commencé à ressentir du bonheur de sentir papa en moi, Loïc mon jeune frère a enfourné sa teub dans ma bouche tandis que le petit Vincent me suçait. Ils ont joui tous les deux en moi puis Loïc a mis la queue de papa en bouche pour la nettoyer. Et papa m'a dit d'enculer Vincent.
C'en était trop pour moi. En quatre jours, Damien, Loïc, puis papa et Vincent, tous avaient profité de mon corps et m'avaient dépucelé, pénétré, moi qui ne connaissais rien au sexe, à part mes va-et-vient dirigés vers un mouchoir en papier ! Je me suis effondré sur le lit en pleurant. J'ai senti un corps nu se coucher sur moi et une teub entrer dans mes fesses. Je ne me suis même pas retourné, j'ai laissé faire et quand la teub a joui en moi j'ai entendu la voix de Vincent, l'ami de Loïc : « Merci Luc, ton cul est terrible ! ». Puis il m'a fait mettre sur le dos et il m'a sucé de nouveau pour avaler ce qu'il me restait de sperme.
Loïc et Vincent se sont couchés à mes côtés, tout contre moi, en me disant que Damien avait reçu la permission de venir dormir à la maison ce soir. Cela a calmé immédiatement mes larmes et je les ai embrassés tous les deux avec la langue. Quand Damien est arrivé avec papa, nus tous les deux, les deux garçons se sont éloignés de moi pour s'asseoir sur le bord du lit avec papa et Damien a plongé sur le lit. Mes larmes se sont vite évaporées, on s'est embrassés, cajolés, étreints, sans aucune pudeur devant les six yeux qui nous observaient et Damien m'a fait amoureusement l'amour tandis que six mains nous caressaient.
Puis sans que je ne le demande, Damien m'a tout expliqué : il m'aimait depuis toujours mais ne savait pas comment me le faire comprendre. Il savait que mon frère aimait les garçons, il l'avait déjà vu embrasser Vincent, il lui en a donc parlé et Loïc en a parlé avec notre père qui savait pour lui et avait accepté son homosexualité sans aucun problème. Et c'est ce soir-là que notre père avait pris Loïc sur les genoux et l'avait caressé intimement pour la première fois tandis que Loïc lui expliquait le problème. C'est mon père qui a conseillé pour Damien la lutte amicale et les caresses sexuelles à me faire. Et ça a marché ! Damien était le plus heureux des garçons car on s'aimait. J'ai fait venir tout le monde près de moi, j'ai embrassé papa, Loïc et Vincent sur la bouche tout en les serrant très fort puis j'ai repris mon Damien et comme je recommençais à bander, j'ai pu lui faire l'amour devant les trois autres.
Depuis ce jour quand maman n'est pas là, on reste nus et on fait l'amour tous ensemble. Quand la maman de Damien nous a surpris une fois dans sa chambre elle s'est approchée de nous, nous a caressé la joue et nous a embrassés, en disant : « J'avais deviné que vous étiez plus que des amis, vous pouvez l'annoncer à papa on en a déjà parlé !». Nous pouvions nous aimer sans peur chez eux. Un des jours suivants les parents de Damien faisaient l'amour sans avoir fermé leur porte. On devait passer devant leur chambre, on s'est arrêté, leur disant : « Bonjour les parents ! ». Ils ont répondu : « Bonjour les enfants et notre bisou ? ». On est entrés, ils se sont interrompus le temps de nous embrasser tous les deux puis ils ont repris leurs ébats. Nous avons foncé dans la chambre de Damien et sans fermer la porte, nous nous sommes aimés. Quand nous avons eu fini, ses parents étaient dans l'embrasure de la porte et en chœur, nous avons lancé : « Et notre bisou ? ». Depuis lors, aucun des deux couples ne ferme plus la porte de sa chambre et les cris de plaisir des uns stimulent les autres !
Par contre quand ma maman a appris pour nous elle s'est mise dans une colère folle. Papa l'a calmée vertement et deux mois plus tard elle nous quittait. En fait elle fricotait avec un de ses collègues depuis six mois et quand papa a su qu'il était cocu il ne l'a pas retenue. Loïc et moi en étions attristés mais cela nous offrait de telles perspectives de vie en commun à la maison qu'on s'est bien vite consolés. Papa s'occupait sexuellement de nous comme on s'occupait de lui mais surtout il régnait dans nos murs un amour entre nous, des gestes de profonde affection, ce qui n'avait jamais existé auparavant surtout avec mon petit frère que je me suis mis à adorer... Mais mon amour restait pour mon Damien, mon poussin, mon cœur à moi.
FIN