Le blog de Krampack
Episode précédent : Un chalet en montagne - 22/26
Chapitre 23/26: Liaisons fatales
Mais non la nuit se passe sans rien de particulier. Au matin, dès le jour levé, assez tôt donc (nous sommes en été), un déjeuner nous est apporté par le gardien Manuello. John qui pense qu'il ne
risque plus grand-chose ose lui demander combien de temps on va encore rester ici.
- « Euh… Dis moi on est là jusqu'à quand ? »
Par sympathie, car au fond de lui il nous aime bien, Manuello lui répond après un court instant de réflexion :
- « Je ne sais pas mais Angelo reste là jusqu'à ce soir.
- Angelo ?
- Ben oui, celui qui vous dirige depuis hier. C'est l'ami de Raldo. Mais lui fait dans le hard et le sado/maso. »
L'inconnu d’hier se nomme donc Angelo. Il porte bien mal son nom. Ce serait plutôt le diable en personne… Manuello poursuit :
- « Après demain je pense que Raldo doit encore avoir besoin de vous. Mais je n'en suis pas sûr. Cela dépend… »
Et il se tait tout en continuant de nous regarder.
- « Enfin je peux quand même vous dire que vous serez libre après. Ils ne veulent surtout pas vous garder. Ils feront croire à une demande de rançon qui a échouée.
- Ha ?
- Oui c'est ce qui est prévu. Allez, je vous laisse. Déjeunez vite. Angelo ne vas pas tarder. »
Et il se retourne, se dirige vers la porte mais se retourne juste avant de sortir :
- « Allez courage ! C'est bientôt fini je pense. »
Et sur ce il verrouille la porte nous laissant prisonnier en ce début de journée. Le petit déjeuner est vite avalé malgré la crainte des évènements futurs. La perspective de tourner des scènes genre sado/maso nous effraie tous. Aucun de nous n'a envie de subir des supplices équivalents à ceux de John. Pourtant c'est bien ce qui va se passer.
Environ 30 mn plus tard Raldo et Angelo font leur entrée accompagnés d'un gardien. Comme nous l'a annoncé Manuello, c'est Angelo qui dirige maintenant.
- « Chris et Pascal, avec nous ! »
Chris me jette aussitôt un regard effrayé mais comme lui je ne peux que suivre les trois hommes. John et Archie restent dans la chambre à nous attendre, ne pouvant qu'imaginer ce qui se passe.
Pour commencer Angelo nous conduit tous les deux à la salle de bain. Nous y sommes surveillés par le garde avec pour consigne de nous doucher avec soin. Nous obéissons et chacun s'applique. J'ai du mal à soutenir les regards effrayés de mon jeune cousin. Je suis incapable de le protéger et je m'en veux beaucoup de ne rien pouvoir faire de plus.
Une fois douché et séché le gardien prévient Raldo qui rapplique.
- « Bien, suivez-moi. »
Suivi du gardien il nous emmène dans le studio d'enregistrement. Angelo est déjà là et nous tend à chacun un verre d'eau et une pilule de viagra. Nous avalons le médicament puis il nous ordonne de nous caresser mutuellement. Nous ne pouvons que nous soumettre et, très vite, nos sexes durcissent. Grâce au célèbre médicament, ou à cause de lui, nous bandons fort tous les deux. Angelo ordonne alors à Chris de monter sur une petite estrade en bois d'environ 8 cm de haut située au centre de la salle juste devant les caméras. Puis il doit lever les deux bras et ses poignets sont attachés à une chaîne reliée à un palan. Avec son corps juvénile et sa bite à angle droit il se retrouve ainsi exposé devant les caméras. Puis Angelo lui demande d'ouvrir la bouche.
Affolé, Chris refuse. Il se reçoit alors une forte gifle. Immédiatement le gardien me met une main ferme sur l'épaule pour que je n'intervienne pas. Impossible de lutter. Angelo réitère alors son ordre et cette fois mon cousin obéit. Angelo lui place alors dans sa gueule un cylindre de mousse bleue. Et l'enfonce presque au point d'étouffer Chris. Mais comme je vais m'en apercevoir sous peu ce cylindre est percé de petits trous de partout. Et on peut en fait respirer presque normalement au travers. Mais de par sa taille il oblige à rester la bouche grande ouverte. Mais je ne comprends pas pourquoi il dépasse d'au moins autant devant les lèvres de Chris.
- « Mets-toi devant lui. Mais pas sur l'estrade. »
Je m'approche de mon cousin qui me regarde fixement. Il ne comprend rien, moi non plus. Mais Angelo sait très bien lui ce qu'il veut de ses jeunes acteurs. Je constate alors qu'une caméra tourne, manœuvrée par le gardien.
Il me pousse devant mon cousin et m'oblige à toucher son ventre avec le mien. Nos sexes bandés se croisent. Je constate alors que nos tiges tendues sont au même niveau. Voilà donc la fonction de
l'estrade. Chris est plus petit que moi, et il faut que nos sexes soient à la même hauteur ! Avec du chatterton, Angelo entoure nos deux tiges à l'horizontale ne laissant que les glands
visibles. Nous sommes ainsi reliés par nos queues. Et pendant ce temps Raldo m'oblige à mordre dans le bâton de mousse enfournée dans la gueule de mon cousin. Ma tête est poussée contre celle de
Chris et finalement nos visages se touchent. Une sangle plate fortement serrée entoure alors nos têtes et nous empêche de reculer. Je suis littéralement collé à mon cousin. Je sens chacun de ses
souffles et vice versa. Ses yeux sont à quelques centimètres des miens. C'est plus qu'intime comme contact.
Mes poignets sont eux aussi attachés en l'air et reliés à ceux de Chris.
Nous ne pouvons plus tourner la tête et ne voyons plus rien. Mais Angelo s'affaire encore sur nos queues attachées. Sans vraiment comprendre exactement ce qu'il fait je sens un fil entouré la
base de mon gland, là où le prépuce est rétracté. Chris semble avoir un dispositif similaire.
Et durant ce temps-là Raldo scotche nos jambes ensemble juste dessus nos chevilles. Par une tige métallique nos jambes sont maintenues écartées d'environ 70 cm. Nous avons donc chacun le cul
ouvert et la raie des fesses offerte. C'est bien sûr fait exprès.
- « Voilà. C'est presque terminé. »
Nous sommes donc reliés, attachés, collés par nos poignets, bouches, nos bites tendues et les mollets. Nos ventres sont collés l'un à l'autre et je sens vraiment les respirations de Chris. Jamais
je n'ai été aussi proche de lui. Pourtant il est encore possible de faire mieux. Raldo manœuvre le palan et doucement la corde nous tire vers le haut. Par notre propre poids, sous le simple effet
de la gravité, il nous oblige ainsi à nous coller davantage. Je m'étire, m'attendant à être soulevé du sol. Mais non Raldo stoppe et mes pieds restent posés au sol mais c'est juste. Mon corps est
fortement tendu.
- « Une dernière opération… »
C'est Angelo qui poursuit notre "préparation". Il étale un liquide frais sur mon anus, je reconnais du gel lubrifiant, et, avec un doigt m'ouvre la rondelle. Puis il retire son doigt et un objet dur, lisse et à priori métallique est introduit dans mon sphincter. Ce gode est assez gros et me fait légèrement mal. Une dernière poussée et je sens l'objet s'introduire presque complètement en moi. Un resserrement au niveau de mon trou l'empêche de ressortir et le maintient dans mes entrailles. Puis, du coin de l'œil, je vois passer Angelo derrière mon cousin. Lui aussi se retrouve avec un gode entre les fesses. A travers nos pénis liés je sens quasiment la progression de l'engin dans son fondement. Angelo se retire. Nous sommes prêts mais nous ne savons pas à quoi…
Brusquement le corps de Chris s'arque et me pousse en avant. Il essaie de crier mais en est empêché par la mousse dans sa bouche. Il vient en fait de recevoir un coup de baguette sur les fesses. Il s'agit donc d'une fessée ! Chris reçoit 10 coups. Que je ressens très nettement vu notre contact plus que rapproché. Il a mal et je sais que dans quelques instants cela va être mon tour... Le premier coup me fait hurler de douleur. Comme mon cousin je reçois une bonne dizaine de coups sur les fesses. C'est violent et cela me fait très mal. Je saute ou sursaute de douleur à chaque coup. Le pire c'est qu'on entend le sifflement de l'engin dans l'air. Et on sait alors que le coup va porter. Je n'aurai jamais pensé qu'une fessée soit aussi douloureuse ! Mais nous n'avons encore rien vu et ceci n'est que le début de la séance...
Puis à nouveau mon cousin est frappé mais avec une raquette de ping-pong. Ses fesses lui chauffent fortement et lui font mal. Mais impossible d'esquiver. A travers nos corps soudés je ressens les coups. Il souffre et des larmes commencent à perler sur ses joues. C'est ensuite mon tour d'être fouetté avec la raquette. Rapidement mes fesses me brûlent et me donnent l'impression d'être assis sur une plaque de métal chauffée à blanc. Je ne pleure pas encore mais c'est limite. C'est atroce et la douleur augmente à chaque coup. Après un moment de répit, c'est au tour de Chris de ressentir à nouveau les coups de baguette sur son postérieur. Il crie et hurle sa douleur mais ses sons n'ont aucun volume, étouffés par le cylindre de mousse qui lui remplit la gueule. Et moi bien sûr je ressens chaque coup, chaque secousse de son corps. Comme lui lorsque c'est à mon tour de subir ce supplice, certes ancien et classique, mais très douloureux si les coups sont nombreux et forts. Et c'est le cas présentement ! Angelo grappe fort et n'a aucune pitié. C'est maintenant moi qui reçois les coups de baguette. Et contrairement à la dernière série Angelo me frappe toujours au même endroit. Ma peau est rouge et presque à vif. La douleur intolérable. Puis après je ne sais combien de coups il stoppe. Mes fesses me brûlent atrocement. J'ai oublié mon sexe toujours bandé et scotché à celui de Chris ainsi que le gode enfoncé dans mon rectum. Mon cul me fait tellement souffrir que j'en oublie le reste.
Angelo s'écarte et ne passe pas derrière mon cousin mais au contraire rejoint Raldo. Ficelé comme je suis, je ne peux pas tourner la tête et ne voit pas vraiment où il est.
Brusquement je ressens un fort picotement au niveau de ma bite sur le gland. Je ne comprends pas tout de suite. Chris non plus. Lui aussi sent le courant électrique titiller son gland par secousse régulière. Je réalise alors que c'est un fil électrique qui nous électrise. Une autre secousse mais cette fois ci à l'intérieur de mon cul ! C'est le gode métallique qui me secoue ainsi. Sous les commandes de nos scénaristes ils alimentent au choix les godes fichés en nous ou à l'extrémité du gland. Les secousses se font plus fortes. Et à chaque fois que le gode s'alimente, par réflexe je serre les fesses, ce qui fait remuer l'instrument dans mon corps. Et du coup ça m'excite. Tout comme les secousses de Chris également... C'est l'intention d'Angelo : nous exciter et nous faire jouir. Après quelques minutes de secousses électriques, d’agitation et de sursaut, bien malgré moi je ne peux m'empêcher de jouir. Mon nectar jaillit ave force et arrose les couilles de mon cousin puis coule sur le haut de ses cuisses. Mais le courant ne s'arrête pas pour autant. Mon cousin est plus long à venir. Mais lui aussi fini par me juter dessus. Le plus surprenant est que nos sexes restent en érection. L'effet de la pilule et de la jeunesse certainement !
Aie ! A nouveau la fessée reprend et je reprends une volée de forts coups sur mes fesses déjà très rouges et douloureuses. Ce coup-ci, après seulement quelques coups, les larmes me montent aux yeux et je ne suis pas très loin de défaillir. Je n'en peux plus. Pour varier la douleur Angelo me frappe alors sèchement les bourses, par en dessous, sans toucher le gode d'ailleurs. La douleur est terrible et je m'écroule littéralement. Seuls mes bras attachés m'empêchent de m'effondrer à terre... Puis c'est au tour de mon pauvre cousin de subir le même traitement. Lorsque ses bourses sont frappées je sens littéralement sa douleur se répercuter dans mon corps. Il souffre et je souffre aussi pour lui.
A nouveau les secousses électriques sur le gland et dans nos culs. Elles sont plus fortes et nous portent en quelques minutes à la jouissance forcée malgré la douleur et la fatigue des coups. Cette alternance de douleur et d'éjaculation forcée est terrible et très fatigante. Je transpire et Chris aussi. Des larmes coulent de ses yeux. Sa respiration est rapide. Son regard exprime la souffrance et la peur. Chaque secousse, chaque petit mouvement qu'il fait me parvient parfaitement. Jamais je n'aurai autant fusionné charnellement avec un autre garçon. Je ne sais plus où cesse son corps et où commence le mien. Nous ne faisons en fait plus qu'un.
A nouveau je reçois quelques coups sur mes bourses. C'est les plus douloureux et je hurle littéralement. Je ne suis pas loin de défaillir. Une minute de répit et c'est au tour de Chris de se faire frapper ses fesses une dernière fois. Lui aussi n'en peut plus et manque de s'évanouir sous la douleur. Notre état lamentable n'a pas échappé à notre cruel scénariste. Angelo stoppe alors ses coups. Je n'aurai jamais autant souffert de ma vie !
- « Ok c'est bon. On va stopper là. »
Ces paroles, attendues avec impatience, nous soulagent et nous réconfortent grandement. Chris comme moi attendions avec impatience notre libération. Pourtant ni Raldo ni Angelo ne s'approche de nous. Et puis si, les voila qui arrive, chacun d'eux passe derrière l'un d'entre nous. Mais ils ne nous détachent pas.
Brusquement nos deux corps se tendent et se cabrent de douleur ensemble. Simultanément Angelo et Raldo martèlent nos fesses brûlantes et plus que douloureuses. Quelques coups rapides et
synchronisés qui nous font horriblement souffrir en même temps. Nous pleurons tous les deux de douleur et nos larmes se mêlent sur nos joues collées l'une à l'autre. Nous n'en pouvons plus.
Une minute de répit. Dans l'angoisse nous attendons la suite ou la fin de notre calvaire. Brusquement Chris hurle et se tend. Ses yeux s'agrandissent comme jamais et dans un dernier soubresaut il
s'évanouit.
Raldo derrière lui, vient en fait de le frapper une nouvelle fois sur les bourses par en dessous. C'était le coup de trop. Mon cousin n'a pas résisté à la douleur intense. Immédiatement Angelo s'approche et libère les bras de mon jeune cousin. Il retire aussi la sangle reliant nos têtes.
- « Aide-moi ! Imbécile ! »
Raldo ne répond pas à l'insulte et défait les chevilles entravées de Chris. Puis il soutient mon cousin inerte par les aisselles pendant qu’Angelo défait le scotch unissant nos queues. Je bande toujours et je pense alors que la publicité faite autour du médicament miracle est absolument vraie : il est d'une efficacité terrible ! Par contre la tige de Chris est toute molle à l'image de son corps. Il est toujours évanoui. Raldo l'allonge sur le coté pour ne pas que son cul certainement douloureux ne touche le sol. Je vois alors clairement que ses fesses sont rouges et couvertes de zébrures violettes. La marque de la fessée. Mes fesses doivent avoir le même horrible aspect. Angelo tapote les joues de Chris et lui nettoie le visage avec une serviette humide. Rapidement Chris reprend ses esprits et ouvre les yeux. Angelo aussi gentil avec lui maintenant qu'il a été cruel quelques instants auparavant lui tend un verre de soda à l'orange. Chris le boit goulûment. Un deuxième verre lui est offert. Il a maintenant retrouvé tous ses esprits. Angelo lui ordonne doucement :
- « Mets-toi debout maintenant. J'ai de la crème anti douleur… »
Chris se redresse et se met debout. Il reste planté là encore un peu abasourdi par son évanouissement. Angelo passe alors derrière lui et constate que mon cousin a toujours le gode enfoncé en lui.
- « Attention je vais te le retirer. »
Angelo tire alors le gode vers l'extérieur. Chris ne peut esquisser un léger rictus de douleur lorsque la partie la plus épaisse franchit ses lèvres anales.
Puis il lui badigeonne les fesses d'une couche épaisse de crème blanche. Sans oublier de pénétrer dans sa raie. Et pour terminer Angelo repasse devant Chris et lui soulève les bourses. Il le badigeonne également de crème sous les bourses. Chris se laisse manipuler sans réaction.
- « Bien. Suis Raldo maintenant. Il va te ramener dans la chambre. »
Ils sortent alors tous les deux. Quant à moi je suis toujours attaché debout, nu, les bras en l'air et les jambes écartées. Et un gode métallique enfoui dans mon cul aussi… Dans l'action j'ai
oublié mes fesses douloureuses et qui me cuisent fortement. Angelo se dirige vers moi et passe sa main sur mon postérieur. C'est horrible et j'essaie de me rétracter et de contracter mes fesses.
Mais je ne crie pas. Il vérifie ensuite la dureté de ma queue qui décidément ne débande toujours pas. Il semble satisfait.
Angelo en déduit alors que je ne vais pas si mal que cela et qu'il peut donc finir sa scène avec moi seul.
- « Ok, encore quelques minutes et c'est fini. »
Résigné je me prépare au pire. Angelo, qui se transforme d'ange en démon en 2 temps 3 mouvements, me frappe alors mes fesses avec un bouquet d'ortie. La piqûre urticante sur ma peau à vif est terrible. Je hurle et saute de douleur. C'est pire qu'un fer chauffé à vif. Il me frappe encore quelques coups sur le postérieur, puis sous les bourses et enfin sur ma bite. Je brûle de partout. Ca me chauffe et me démange fortement. J'ai une furieuse envie de me gratter mais impossible de le faire. Encore quelques petits coups et Angelo jette au loin son bouquet maléfique. C'est terminé pour moi et j'en soupire de soulagement. Puis rapidement il me badigeonne les fesses et tout mon entre cuisse de crème apaisante. Sans oublier mes organes génitaux. Ma queue enfin est au repos. Curieusement il me laisse le gode. L'effet de la crème est immédiat et elle me soulage fortement.
- « Tu restes comme cela encore 10 mn. Il ne faut surtout pas te gratter sinon c'est pire. »
Je ne réponds rien. Il se dirige vers le gardien toujours impassible derrière sa caméra et vérifie les dernières séquences tournées.
Et moi, j'attends debout, attaché et nu. Rapidement mes brûlures s'estompent. Absorbé par son visionnage Angelo ne voit pas le temps passer. Un bon quart d'heure après il se relève enfin et passe derrière moi. Le gode m'est retiré et il me remet une forte couche de crème. Puis il me libère les bras et les jambes. Je suis enfin libre de mes mouvements. Il me fait alors signe de le suivre jusqu'à la chambre. J'y retrouve mon cousin et John. Archie n'est pas là. Dès que Angelo se retire je pose la question :
- « Et Archie ?
- Il est parti avec Raldo quand Chris est arrivé !
- Aie ! »
C'est le dernier à ne pas avoir tourné de scènes violentes. Je comprends que c'est alors son tour. Plus tard, après notre libération, il me racontera ce qui lui est arrivé. Et jamais je n'aurai pensé cela possible…
La suite : Un chalet en montagne - 24/26