Le blog de Krampack

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Chapitre 12/26: Acteurs confirmés


- « Voila. Il s'agit maintenant d'utiliser un gode de plus gros diamètre. Le voila. »

Et il sort un gode noir d'un sac de sport. Je ne le vois pas. Mais, entre mes jambes, je vois une grimace de surprise sur le visage de John. Il tend le gode à John et poursuit ses explications:

- « Avant, tu vas lui assouplir et lui masser la rondelle. Pour cela, tu vas d'abord utiliser cette huile de massage. Puis tes doigts. Tu as aussi un autre gode plus petit et cette crème qui assouplit les muscles. Il y a du gel aussi. Débrouille-toi. A la fin, tu dois lui enfoncer ce gode à fond. Et tu fais en sorte que le champ soit bien libre, pour la caméra. Tu as compris ?

- Euh …oui. Mais si je n’y arrive pas ?

- Impossible ! Dans ce cas, je vous punis tous les 2. Toi et Pascal. »

A ces mots, prononcés sur un ton sec, nous comprenons que comme d'habitude les désirs de notre scénariste sont en fait des ordres. Il ne nous reste donc plus qu'à obéir docilement.

Avant de commencer, Raldo me montre le gros gode en me le présentant devant le visage.

Effectivement, ce n'est plus le gode de 4 cm déjà utilisé. Celui-ci fait bien 4 cm de diamètre, mais seulement sur la dernière section. Il ressemble en fait à une fusée à étage de 2 sections. D'abord une section de 4 cm puis le diamètre augmente progressivement jusqu'à environ 8 cm. Enfin, j'évalue cela rapidement n'ayant pas de règle graduée sous la main... En tous cas, c'est gros et c'est long.

Pourtant il va falloir que j'absorbe ce cylindre dans mon fondement. Après quelques hésitations sur la démarche à suivre, John se saisit d'un flacon d'huile de massage et m'en verse généreusement sur la raie. Puis il commence à me masser et à me pétrir les fesses. Doucement il s'approche de mon trou. Il remet de l'huile et poursuit son massage. Progressivement mes muscles se détendent. Il positionne alors un doigt sur ma rosette et appuie dessus pour me faire comprendre qu'il va commencer à s'occuper vraiment de mon trou. J'essaye alors de ne pas serrer mes muscles anneaux et de lutter contre ce réflexe naturel. Il rentre alors son doigt en moi et le fait doucement tourner.

Puis un deuxième doigt rejoint le premier. Grâce à l'huile, cette double pénétration se passe sans souci et sans douleur. Mais ce n'est que le commencement. Il ressort ses doigts, les remets. Petit à petit mes lèvres annales s'assouplissent et se dilatent. A présent il étale la crème assouplissante sur mon anus et, pour bien la faire pénétrer, il poursuit ses massages avec ses doigts.

Pour le moment ça ne se passe pas trop mal. Le plus inconfortable pour moi étant la position de mon corps. De quoi avoir des courbatures rapidement.

La crème me procure une sensation de brûlure mais à nouveau je sens mes muscles anaux s'assouplir. Je ne sais pas si John a déjà pratiqué cela mais il semble relativement à l'aise. Il poursuit à m'enfoncer et à tourner 2 ou même 3 doigts dans mon anus et la douleur reste minime pour moi.
A présent il me présente le premier gode de 4 cm de diamètre. Il l'enduit généreusement de gel lubrifiant puis le presse contre ma rondelle dilatée. Il augmente la poussée et, doucement, ce gode s'enfonce très facilement en moi. Ses massages, l'huile et la crème assouplissante m'ont bien préparé et cette introduction se déroule sans douleur. A vrai dire, si ce n'était le contexte si particulier et la présence de la caméra, je pense que j'y prendrais même du plaisir… Mais découvrir tout cela sous la contrainte et en étant filmé est nettement moins plaisant et glamour !

John joue maintenant avec le gode. Il le retire et me le renfonce plusieurs fois. Une fois bien enfoncé il l'agite en moi. Tout cela finit par me faire de l'effet et je vois mon sexe qui durcit et bande de plus en plus. Mais l'action se situe au niveau de mon cul et John, après bien dilaté ma rondelle avec le 1er gode, sait qu'il doit maintenant passer au 2ème. Celui qui a la forme d'une fusée. Il s'en saisit et l'enduit de gel. Il me répand également beaucoup de gel dans ma raie et s'attarde particulièrement sur mon anus avec force introduction de ses doigts. Le gode fusée est maintenant pressé contre mon anus. J'écarte davantage les jambes et fait le maximum pour faciliter l'introduction de ce gros corps en plastique noir. Sans problème je sens le 1er étage, le plus fin, rentrer en moi et John stoppe alors la progression. J'attends la suite et, dirigeant mon regard vers ma queue, je constate qu'elle est bandée à fond et que le gland dégagé est humidifié par des filets de précum. John force davantage et le 2ème étage du gode fusée commence à m'élargir l'anus et à pénétrer en moi. La douleur est vive mais finalement moins grande que ce que je redoutais. La pénétration se poursuit doucement et mon camarade m'enfonce la totalité du gode... J'ai mal mais passé la 1ère douleur, cette douleur se mélange au plaisir et à la sensation d'être rempli par cet instrument. Je ne sais plus vraiment si je baigne dans un océan de douleur ou de plaisir… Finalement je suis surpris que mon cul puisse absorber si vite un tel instrument.

A travers mes jambes je vois John se retirer. Sans doute à la demande de Raldo. Le programme prévu va-t-il être modifié ? Effectivement, Raldo qui a bien vu ma queue bandée et perçu mes sentiments me demande :

- « Si tu veux je te libère et tu finis la scène en te branlant et en gardant le gode dans le cul. Mais attention, tu ne dois rien faire d'autre, compris ? »

Je réfléchis quelques instants et préfère être libéré. Ce sera toujours moins désagréable. Au moins, je serais seul à gérer mes gestes et mes actions.

- « Ok, je suis d'accord. »

Raldo me détache alors le poignet gauche et me guide la main jusqu'au gode, toujours complètement introduit dans mon fondement.

- « Tiens-le, il ne doit pas sortir. »

Docilement je saisis le gode. Il me libère l'autre main. Doucement je me redresse et me retourne. Je garde toujours une main sur le gode. Je voir alors que John, Chris, Raldo et le caméraman ont les yeux fixés sur ma bite.

Je bande comme jamais et un gros filet de précum pendouille à l'extrémité du gland parfaitement dégagé. C'est surprenant mais je bande à mort alors que personne ne m'a touché le sexe. Raldo approche un tabouret :

- « Mets un pied là-dessus, ça t'écartera les jambes. Pour la caméra, c'est mieux… »

Je m'exécute et ainsi ma pose devient plus hard et plus sexuelle. Plus que jamais j'ai envie de me donner en spectacle. Je ne comprends pas vraiment le pourquoi de cette envie subite de m'exhiber. Mais peu importe je ne pense qu'à l'instant présent. Oubliant tout : la caméra et les regards tournés vers moi je commence donc à me branler, tout en appuyant sur le gode de la main gauche. L'effet est extraordinaire et mon plaisir intense. Je tortille et remue mes fesses comme jamais. Je regarde mon cousin et Chris, toujours nus et debout quelques mètres devant moi. Ils ont l'air surpris de me voir aussi à l'aise. Sans doute pensent-ils que je simule mais ce n'est pas le cas ! Je prends vraiment mon pied dans cette scène, pourtant des plus hots. Peu m'importe, je poursuis dans mes ondes de plaisirs égoïstes et je perçois le plaisir qui monte rapidement. Dans un spasme de grande jouissance, j'éjacule et 4 jets de semence chaude et blanche jaillissent avec force de ma bite. Le caméraman qui connaît bien son métier agrandit alors l'angle de vue de sa caméra pour tout bien enregistrer. Je réalise alors que je me suis vraiment donné en spectacle comme jamais. Mais Raldo me stoppe dans mes réflexions :

- « Bien ! C'était parfait. Retournes-toi maintenant. On va passer au suivant. »

Passer au suivant ? Je ne comprends rien. Mais docilement je me retourne. Il me pousse le dos en avant. J'en déduis qu'il en veut à mon cul. J'ai toujours le gode en moi. Mais je me suis inquiété pour rien. Il se contente seulement de me retirer l'instrument. Il procède avec délicatesse à ma grande surprise. Je sens mon anus se refermer. Puis avec soin il vérifie que mon orifice ne présente pas de lésion. A part une légère douleur je ne sens rien. Raldo semble satisfait.

- « OK, redresse-toi. »

Il nous regarde maintenant tous les 3 :

- « Bon, le métier commence à rentrer. Poursuivez comme cela et tout ira bien. »

Il me regarde :

- « Maintenant, c'est à ton tour de l'enfoncer dans le cul de Chris. Et prépare-le bien sinon il va avoir mal… »

Aie ! C'est justement ce que je craignais. Chris est quand même plus petit que moi. Et je me demande comment je vais pouvoir ne pas lui faire mal avec ce gros gode fusée. Il est bien plus gros que celui que je lui ai déjà enfoncé hier. Mais déjà notre scénariste poursuit ses explications :

- « Chris, tu te mets à 4 pattes sur le matelas et tu plies les coudes, la tête entre les bras. Je ne t'attache pas. Tu sais ce qui se passe si tu ne veux pas jouer ? »

Oui, Chris ne veut pas subir à nouveau la torture de l'alcool sur le sexe et, résigné, il prend la position demandée. Il écarte les jambes et creuse son dos pour dégager au maximum sa raie et son anus. Un projecteur est braqué sur son anatomie intime. Le caméraman est prêt. A mon tour d'entrer en scène. Pas vraiment le choix...

Je me mets à genoux derrière Chris et fixe du regard sa raie blanche, lisse et imberbe. La peau marron clair autour de son anus est parcourue de petits plis, tous dirigés vers le centre de son trou. Il est bien étroit et je me demande comme il va réagir à l'introduction. Déjà hier, il a eu du mal avec des godes bien plus petits. Je comprends alors qu'il va me falloir soigner la préparation. Je commence avec un massage à l'huile. Je prends mon temps et lui assouplis les fesses et les muscles.

Petit à petit, il se détend et se relâche. S'il ne coopère pas on ne va jamais y arriver, ou alors il va vraiment souffrir... Je passe une main sur son ventre pour l'inciter à se cambrer davantage. Docilement il accompagne mon geste et m'offre davantage son cul. Je passe ensuite à la crème et m'attarde longuement sur la rondelle. Reproduisant le traitement que John m'a fait tout à l'heure - Je me dis que si ça a marché pour moi ça devrait aller pour lui - j'introduis un doigt dans son trou. Je passe ensuite à 2 puis 3 doigts. Je masse avec attention le pourtour de son orifice et ses lèvres anales. La crème est très efficace et assouplit bien cette zone. Je lève la tête et vois la caméra qui filme tous mes gestes. Raldo est derrière et regarde avec attention. Je reviens sur l'objet de mes préoccupations, à savoir l'anus dilaté de mon jeune cousin. A présent bien plus souple je décide d'utiliser le 1er gode, celui de 4 cm. Après l'avoir badigeonné de gel lubrifiant, je le positionne devant son orifice et commence ma poussée. Il réagit bien et ne se contracte pas. Son œillet cède facilement et j'enfonce lentement l'engin d'une bonne dizaine de cm. Le dos de Chris se crispe et je sens ses muscles se tendre. Je devine qu'il lutte pour ne pas bouger. Il stoppe sa respiration. A travers ses jambes écartées je vois son visage crispé. Les yeux fermés, la bouche grande ouverte, il essaye de conserver la maîtrise de son corps et d'ignorer la douleur. Je stoppe tout mouvement et attend qu'il s'habitue à la présence du gode fiché en lui. Doucement la douleur s'estompe, du moins c'est ce que je suppose en le voyant reprendre son souffle et se détendre un peu. Je laisse passer une minute. A présent Chris respire normalement et son visage a retrouvé une allure presque normale.

Je retire alors doucement le gode et le sors complètement du corps de mon jeune cousin. Je devine aussitôt son soulagement. Pourtant son épreuve est loin d'être finie. Il doit encore absorber plus gros... Je ne vois pas comment, techniquement parlant, son anus va pouvoir se dilater davantage. Ce n'est pas possible. Je ne sais que faire. Si je refuse, Raldo emploiera la force et Chris souffrira encore davantage.

Tout en continuant à réfléchir sur le moyen d'en rester là et donc de ne pas utiliser le gode fusée, je remets du gel sur la rondelle de Chris et, à nouveau, présente le 1er gode devant son anus. Je l'enfonce une nouvelle fois. Ce coup-ci Chris absorbe mieux l'instrument et je devine que sa douleur est moins importante.

Je recommence donc l'opération plusieurs fois. Je remets du gel entre chaque introduction. Et au final, l'instrument rentre facilement et sans douleur physique dans son rectum. Comme précédemment pour moi je suis surpris de la capacité de son cul à se dilater…

Mais je ne vois pas comment je vais pouvoir utiliser le gros gode fusée dont j'estime le diamètre de la seconde section à 8 cm. A coup sûr, le fondement de mon cousin n'y résistera pas. Et il serait blessé. J'en suis là de mes réflexions lorsque Raldo m'interpelle :

- « Recule-toi et laisse-moi la place. »

Aie ! Que signifie ce changement de programme ? Je recule en laissant le gode enfoncé dans le cul de Chris. Raldo se rapproche et se saisit de l'instrument. Il le remue légèrement et le retire. Puis il introduit de nouveau le cylindre dans l'anus de mon cousin qui, courageusement et stoïquement, reste le cul en l'air dans une pose parfaitement indécente. Il faut dire qu'il n'a pas vraiment le choix.
Raldo retire à nouveau l'instrument et c'est maintenant avec ses doigts qu'il évalue la souplesse de l'anus exposé devant nous tous. Il introduit plusieurs doigts et semble satisfait.

- « Parfait, il est bien préparé. Mais tu vas utiliser un autre gode, différent, et tu vas le branler de ton autre main. Je veux qu'il ait du plaisir. Ca sera mieux pour le film. »

Ouf ! Cette idée me plaît davantage. Au moins, je ne risque pas de blesser mon jeune cousin.
Raldo me tend alors un gode un peu plus gros que celui que j'utilisais jusqu'à présent. Mais surtout le niveau de détail de cet instrument est saisissant : il s'agit d'une reproduction d'une grosse queue, avec tous ses détails : veines, plis, prépuce retroussé et gland bien marqué.

Je reprends alors ma position, à genoux juste derrière Chris. Je le regarde. Il me fait un sourire forcé mais lui aussi semble soulagé du changement de scénario. Je regarde ensuite ses couilles qui pendent. Il n'est absolument pas bandé. Il me semble évident qu'il n'éprouve aucun plaisir dans sa situation. Mais je vais devoir changer cela, sinon Raldo pourrait bien revenir sur sa décision…

J'enduis le nouveau gode d'une fine couche de gel et le présente devant l'orifice anal de Chris. Puis, fermement, je pousse l'instrument en lui. Bien assoupli par les exercices précédents son anus se dilate aisément et laisse passer le gode. Je mets ma main droite sur son sexe et, l'empoignant délicatement, je commence un mouvement masturbatoire régulier. En même temps, de mon autre main, j'agite doucement le gode dans le cul offert à la caméra. Je m'applique et essaie de procurer du plaisir à mon cousin. Il a d'ailleurs bien compris où est son intérêt et il essaie de participer en remuant sa croupe et en essayant de profiter au mieux des sensations que je lui procure avec mes différents instruments. Assez rapidement son sexe se durcit et finit par devenir très dur dans ma main. Son gland, maintenant découvert, luit d'une belle couleur rosée. Je poursuis alors mes efforts, lorsque j'entends Raldo qui s'adresse à John :

- « Mets-toi sur le dos, dessous lui et tu le suces ! »

John semble surpris puis obéit à ce nouvel ordre. Il se rapproche, se met sur le dos et se glisse sous le ventre de Chris. Je retire ma main de son sexe et John avale cette tige dressée mais qui n'a pas encore craché sa semence blanche. Il s'applique alors dans sa fellation et il accentue rapidement le niveau de jouissance de Chris.

- « Et tu fais en sorte qu'il éjacule sur toi. » Ordonne Raldo.

Avec la bite de Chris dans la bouche, John ne peut pas répondre. Mais il est évident qu'il a compris. Quand à moi je continue à remuer le gode dans les entrailles de mon cousin. Ainsi doublement sollicité Chris ne tarde plus à se rapprocher de la jouissance finale. Son corps se tend et je devine qu'il ne reste qu'une poignée de seconde avant qu'il n'éjacule. Finalement, même sous la contrainte, et dans une position non désirée, il va prendre bien malgré lui du plaisir…

John, qui lui aussi sent venir l'explosion se retire légèrement. Juste à temps pour recevoir 3 jets puissants de sperme épais sur son visage. Il ferme les yeux et ne dit rien obéissant à Raldo. Bien sur, la caméra s'est déplacée et n'a pas perdu une miette de cette éjaculation faciale.

Je retire alors complètement le gode et attends la suite. John reste allongé sur le dos, le visage recouvert de sperme. Chris débande doucement mais reste à 4 pattes, le cul en l'air.
En fait aucun de nous n'ose bouger. Toute résistance vaincue nous attendons docilement les ordres de notre scénariste Raldo.

- « C'est bon. On stoppe là pour ce matin. Vous allez retourner dans la chambre et vous lavez aussi. Je reviens en fin d'après midi. »

Il poursuit en s'adressant au garde le plus proche :

- « Je te les laisse. Ils doivent être parfaits pour ce soir. Tu t'occupes d'eux. »

Le garde d'un signe de tête acquiesce, et Raldo quitte la salle. Il doit être aux alentours de midi. A travers le velux je vois le soleil briller haut dans le ciel. Malheureusement nous sommes toujours prisonniers ici.

- « Allez levez-vous et suivez-moi. »

Nous obtempérons immédiatement et le garde nous ramène dans la chambre. Puis il s'adresse à John :

- « Toi, suis-moi : tu vas à la douche. »

Docilement, John le suit. Je reste seul avec Chris.

- « J'espère qu'ils vont nous apporter à manger. J'ai faim.

- Je ne sais pas… »

Je suis en fait préoccupé par l'absence de Raldo. J'ai peur que le garde de hier soir n'en profite pour satisfaire son sadisme et profiter librement de nous. Je garde mes pensées pour moi. Inutile d'inquiéter davantage mon cousin. Dix minutes plus tard John revient, le corps mouillé et une serviette autour de la taille. Le garde me fixe :

- « A ton tour. »

Je le suis et il me conduit à la salle de bain. Je me douche sans sa surveillance. Il ne dit rien et se contente de me surveiller. Il semble plus sympa que les autres. Lorsque je sors de la douche, il me montre une serviette. Je la saisis et l'utilise pour me sécher. Je la ceinture autour de ma taille puis je rejoins mes 2 camarades. A son tour Chris se douche et revient lui aussi avec sa serviette autour de la taille. Le garde semble s'en moquer. Il nous laisse et revient peu après avec 3 plateaux repas.

- « Voila, vous avez 4h de repos devant vous. Raldo ne revient pas avant. »

 

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Dim 18 aoû 2013 Aucun commentaire