Le blog de Krampack
Episode précédent : Un chalet en montagne - 8/26
Chapitre 9/26 : Brisés et rasés !
Le garde quitte alors la salle de sport et revient rapidement avec mon cousin Chris. Mon cousin, comme moi d'ailleurs, est toujours entièrement nu. Le garde le positionne à coté de moi puis se place derrière nous.
- « Asseyez-vous ! »
J'obéis ainsi que Chris. Que vont-ils faire à John ? Pourquoi tant de méchanceté ?! Raldo prend alors une corde et entoure le ventre de John, juste sous le nombril puis il fait passer la corde dans les barreaux de l'espalier et l'attache. John ne peut ainsi plus bouger son bassin du moindre centimètre. La corde serrée sur son bas-ventre ainsi que son bâillon le gène pour respirer. Raldo se penche alors vers le sexe du garçon mais en se plaçant sur le coté pour que l'on voit bien ses gestes. Puis il décalotte le pénis. Le gland apparaît, rose vif, humide et brillant. Les yeux de John sont remplis d'inquiétude et de peur. Comme nous il se demande se qui va se passer.
Raldo nous montre alors un coton tige.
- « C'est simple, je vais lui introduire cela dans sa bite. Normalement c'est juste désagréable mais la, ça ne va pas être le cas cette fois-ci. »
Et il plonge le coton tige dans un petit flacon rempli d'un liquide transparent.
- « C'est juste de l'alcool à 90°. Ca va le chauffer. Ca fait mal mais c'est sans danger. »
Je suis horrifié et regarde le visage de John. Lui aussi a compris la suite et son visage exprime le désarroi. Raldo ressort le coton tige et le met sur le bout de la bite de John. Il effleure alors volontairement le prépuce de John. Ce simple contact provoque une vive brûlure et John gémit sous son bâillon. Son corps se tend sous la douleur mais, ligoté comme il l'est, il ne peut bouger le moins du monde.
- « Regardez bien maintenant. Le prochain qui nous résiste aura la même chose. »
Il pince alors l'extrémité du prépuce avec deux doigts et fait ainsi s'ouvrir le méat et donc le conduit urinaire de John. Puis, franchement, il enfonce le coton tige imbibé d'alcool dans la queue. La réaction de John est violente. Il hurle littéralement malgré son bâillon et se tortille frénétiquement dans tous les sens. La brûlure est terrible ! Nous sommes horrifiés ! Raldo tient toujours la bite de John et le coton tige enfoncé. Notre ami souffre terriblement durant de longues secondes. Il a l'impression d'avoir un poignard enfoncé dans le sexe ! Les larmes perlent sous les yeux du garçon.
Enfin, Raldo retire le coton tige. Mais la brûlure reste vive. John a le sexe en feu et s'agite toujours.
Raldo prend alors une seringue et injecte son contenu dans le méat qu'il tient toujours ouvert par pincement.
- « C'est de l'eau. C'est pour rincer l'alcool. »
Effectivement, John sent la douleur diminuer et cesse de lutter contre ses liens. Il continue néanmoins à pleurer doucement.
Raldo se redresse et s'adresse à mon cousin et à moi.
- « Voilà ! Je pense que vous avez compris. Maintenant je vais le libérer et c'est toi qui vas être rasé par tes deux copains. »
Moi ? Pourquoi moi ? Je suis désagréablement surpris mais je n'ose rien dire. Raldo libère John de ses liens et de son bâillon. John ne dit rien. Il est vaincu, garde la tête baissée et semble totalement soumis. Il essuie discrètement les larmes de son visage, puis il reste debout devant nous, à attendre.
Raldo me désigne de la main :
- « Bien, c'est lui qu'il faut raser maintenant. Devant et derrière. Mais on va faire cela devant la caméra. »
Un garde entre alors avec une caméra sur un trépied et deux projecteurs. Il installe cet équipement, puis allume les 2 lampes et les dirige sur un matelas posé à même le sol.
- « Voilà tu va te mettre là. Ton copain va te raser le cul. Fais en sorte que l'on voit tout ! Sinon tu sais ce qu'il en coûte… »
N'ayant pas envie de subir ce que John à enduré je préfère coopérer. D'autant plus que se faire raser est certes désagréable mais aucunement douloureux. Et John hier a déjà tout vu de mon
corps...
Je m'avance donc sur le matelas. Je m'agenouille et me met à 4 pattes. Je baisse ma tête entre mes bras. Je cambre le dos et écarte légèrement les jambes. Bref, j'expose mon cul ouvert et le
dilate au maximum : tant pis pour mon intimité ! J'offre à la caméra une vision parfaite et dégagée de mes couilles pendantes, de ma raie et bien sûr de mon anus. John vient alors se placer
derrière moi et commence les préparatifs pour le rasage. Comme moi tout à l'heure, il m'humidifie la peau et me badigeonne de mousse à raser. Puis délicatement il commence à faire glisser le
rasoir entre les fesses. Mais contrairement à lui mes poils sont bien noirs et plus nombreux. Il lui faut plusieurs minutes pour accomplir sa tache. Le mouvement du rasoir sur ma peau est sensuel
et tout doucement je constate que mon sexe se durcit. En plus il s'aide parfois de son autre main pour me tendre la peau devant le rasoir. Le contact de ses doigts m'électrise. J'essaie de lutter
contre cette érection mais n'y parvient pas vraiment. Quand il a fini, mon sexe est bandé dur et il est droit comme un I. Bien sûr tout le monde a vu mon état. Je suis rouge de honte à la pensée
d'avoir à me relever ainsi, le sexe en érection.
La voix de Raldo m'ordonne :
- « Ne bouge pas. Je vais contrôler. »
John se recule alors et Raldo s'approche de mes fesses. Il me passe un doigt dans la raie, descend jusqu'à l’anus et au périnée. Il vérifie la qualité du rasage en passant et repassant le doigt sur ma peau. Ce qui me fait bander encore davantage. Enfin si c'est possible ! Mon sexe est déjà dur comme un morceau de bois. Mon gland perle maintenant de liquide séminal. Je ne contrôle vraiment plus rien. Raldo m'effleure plusieurs fois n'anus de manière sensuelle. Il a bien vu que je bandais et veut en rajouter…
- « Hum… Il reste des poils là sous les bourses. Tu vas changer de position. Retournes-toi sur le dos. »
Docilement et malgré mon sexe érigé je me retourne. Je me mets sur le dos. Mon sexe est tendu comme un piquet de tente ! Tant pis après tout, le ridicule ne tue pas.
Raldo m'écarte alors légèrement les jambes et me les replie à 180° vers l'arrière. Docilement j'accompagne son mouvement. J'ai les genoux sur les épaules. Mon sexe et mon anus sont ainsi encore plus exposés et accessibles à l'œil de la caméra.
- « Tiens tes jambes ainsi relevées ! Et écarte les encore plus ! »
Je place alors mes mains sur mes mollets et je tire sur mes bras. Je force et écarte davantage. Jamais mon cul n'a été aussi ouvert. Il m'est impossible d'écarter les jambes davantage. Mon sexe est lui toujours fier et bandé.
- « OK, ne bouge plus. »
Raldo s'écarte et le caméraman s'approche alors et fait des gros plans sur mes parties intimes. Puis John se rapproche de moi et, après un examen minutieux, me rase délicatement les quelques poils qui me restaient juste sous les bourses. Il se redresse et fait signe qu'il a fini.
- « Bien, relève-toi. C'est bon. C'est ton cousin qui va te raser devant. »
Rouge de honte je me redresse et me relève. Ma bite est au garde à vous. Plus je pense à autre chose, plus je bande. Ma queue semble avoir sa volonté propre. Evidemment, la caméra n'en perd pas une miette et zoome sur mon sexe érigé à l'horizontale. Je ne sais plus où me mettre tellement ma honte est grande. Je rougis davantage et mon visage s'empourpre. Raldo, que la situation présente semble amuser, me propose alors :
- « C'est pas permis de bander autant. T'as plus qu'à te branler pour évacuer la pression… Sinon, ton pote ne va pas pouvoir te raser… ha ha ! »
Aie ! Il va falloir me branler devant la caméra... J'en suis très gêné. Je ne sais où poser mes yeux. Je décide rapidement de fixer une lampe située sur le mur. J'essaie alors de faire abstraction de la caméra et des quatre paires d'yeux qui me dévisagent avec application. Je porte la main sur ma tige et commence les mouvements classiques de masturbation. Mon gland luit de liquide séminal et je pense que je ne vais pas en avoir pour longtemps avant de jouir. Mes sentiments se mélangent dans ma tête, partagé entre la gêne et l'excitation involontaire provoquée précédemment par le rasage de ma raie. Et, comme je le pensais, je jute rapidement. Plusieurs jets épais de sperme jaillissent de mon sexe et se perdent sur le sol. Je reste là, debout, immobile et toujours face à la caméra. Je repose mes mains le long du corps.
Et, comme l'avait supposé Raldo, cette masturbation m'a "libéré" : mon sexe débande enfin et retrouve rapidement sa position de repos. Mon prépuce se rétracte un peu mais laisse le gland découvert à moitié. Il reste un peu de sperme au bout de ma queue. Un petit filet qui pendouille…
John, qui a compris que c'est à lui d'intervenir, se rapproche devant moi. Consciencieusement il me nettoie l'extrémité du gland avec une serviette humide. Puis il me passe de la mousse à raser. Il m'enduit le pubis, la verge et le tour des bourses. Il commence alors par me raser le pubis et les poils situés sous le nombril. La sensation est étrange. J'étais très fier de mes poils comme tout adolescent je suppose... Mais, là encore, le mouvement du rasoir provoque en moi un certain plaisir. Malgré tout, pour le moment, mon sexe reste au repos. Justement John s'y attaque maintenant. Pour me couper les poils présents à sa base il est obligé de me saisir la bite et de la tendre. Sinon le rasoir me couperait la peau plissée. Délicatement il manipule mon sexe et manipule le rasoir. Là aussi mes poils disparaissent. Il lui reste maintenant à me raser les bourses. Toujours avec sa main gauche il me tire la peau devant le rasoir. Le contact de ses doigts finit tout de même par me faire de l'effet. Et doucement ma queue se redresse et durcit à nouveau. Enfin John arrive ses fins et maintenant il m'enlève les dernières traces de mousse à raser. Je regarde alors mon sexe, maintenant sans poil. J'ai l'impression de me retrouver il y a quelques années avant le début de ma puberté. Mon sexe est redevenu un sexe de gamin imberbe. C'est étrange : je me sens encore plus nu que nu ! Mes poils quoique finalement pas si nombreux et épais ne cachent plus rien. John s'écarte et je distingue clairement le zoom de la caméra qui fixe mes parties intimes. Pas question pour moi de bouger ou de me soustraire à la caméra. Je sais ce qui se passe si on refuse…
John s'écarte, sa besogne terminée et Raldo vient me caresser le sexe pour vérifier la qualité du rasage effectué.
- « OK ! Ils sont parfaits maintenant. Tous les trois. Vous allez retourner à la chambre et on va vous apporter à déjeuner. »
Il nous fait alors signe de le suivre. Avec le garde qui ferme la marche nous nous retrouvons tous les trois dans la chambre. Ils nous laissent seuls. Je demande alors immédiatement à John :
- « Tu as encore mal ? Ca te brûle ?
- Ca va maintenant, mais ça a fait vraiment mal ! J'ai cru m'évanouir ! Je n'aurai jamais imaginé un truc pareil !
- Ouais, en attendant, on ne peut que faire ce qu'ils demandent… Ils nous tiennent… »
John me regarde alors :
- « Oui, j'ai eu trop mal. Je ne veux pas recommencer. Sauf si je trouve une idée miracle pour m'évader, je ne… »
A ce moment-là le garde ouvre la porte. Devant lui il pousse la table à roulette avec de quoi déjeuner dessus.
- « Vous avez quinze minutes pour manger. »
Et le garde se retire. Nous mangeons alors de bon appétit. La nourriture est copieuse et de bonne qualité, à l'image du chalet d'ailleurs. Ce qui n'est pas le cas de ses occupants qui nous tiennent prisonniers et nous imposent de jouer les acteurs de films X gays…
Puis le garde revient chercher la table. Et juste après son départ, Raldo rentre.
- « Bien, suivez-moi, tous les trois. »
Docilement nous le suivons. Il nous ramène dans la salle de sport. Deux gardes sont déjà présents pour nous surveiller.
- « Bien, nous allons tourner des scènes de sports. Bien sûr il faut montrer vos culs et vos sexes à la caméra. Donc vous accentuez les mouvements. Et vous vous appliquez. Compris ? »
La suite : Un chalet en montagne - 10/26