Le blog de Krampack

J'adore me faire goder et ça, mon copain le sait. À force d'en acheter, nous avons fini par avoir une petite collection de godes. Nous en avons 8 en tout, de toutes les sortes, de toutes les dimensions, plus larges ou plus longs les uns que les autres. Mon copain qui, à ses heures est actif, préfère me gorger le cul d'un gode ou même de plusieurs. Je ne suis jamais contre, mais j'aime aussi que ce soit moi qui le gode, même si souvent, lui, il refuse.
L'histoire que je voulais vous raconter s'est passée l'été dernier. Nous étions tous les deux en vacances, mais n'étions pas partis, préférant rester dans cette chère capitale qui, par temps d'août, est encore plus magnifique. Ce matin-là, à peine réveillés, nous avions, comme d'habitude, la queue dressée sous les draps. Cette fois-ci, c'est moi qui me suis levé pour aller préparer le café. Quand je suis revenu avec les tasses, Emmanuel s'était assis au bout du lit, déjà une cigarette au bec. Voyant ma queue toujours fermement dressée, il me dit :
- Dis-moi, c'est pas la semaine dernière que nous avons fait le pari que tu ne prendrais pas les trois godes noirs dans le cul ???
Trop affairé à essayer de poser correctement le plateau sur le lit sans que rien ne se renverse, je devais lui faire répéter.
- Allez, fais pas le malin … Tu as très bien entendu … Dis plutôt que tu as peur !!!
Je ne répondis pas, préférant approcher mes fesses et les tendre juste au-dessus de son nez. Par moments, je me sens très exhibitionniste et là, je pouvais voir la pose obscène que j'avais prise en me matant dans la grande glace que nous avons dans la chambre. Emmanuel tendit son majeur vers mon trou du cul pour observer dans quel état il était. Il n'a pas eu à faire vraiment l'effort de pousser quand son doigt s'est infiltré doucement entre mes fesses. J'avais la moitié de son doigt dans mon cul et ça ne me gênait pas du tout.
Brusquement, Emmanuel a retiré son doigt et a sauté du lit pour se diriger vers le placard. Dès que je l'ai vu s'accroupir et farfouiller dans l'étagère du bas, j'ai tout de suite compris qu'il était parti chercher un gode … Ou des godes ! J'ai vu revenir Emmanuel tenant fièrement une grande pochette dans laquelle nous mettons tous nos godes. Il arborait un sourire en coin qui laissait présager d'une partie de godes enjouée. Il a vidé la poche sur le lit puis, a trié les godes en faisant deux tas. D'un côté les trois noirs, de l'autre tous les autres. Comme un gamin qui a trié ses jouets, il tourna la tête vers moi et me désigna les trois qu'il avait choisi en disant :
- Ces trois-là, tu as fait le pari de les prendre en même temps …
Même si j'étais très excité, ça ne me faisait pas tellement envie. J'aurais bien préféré qu'Emmanuel me suce comme il sait si bien le faire. Mais, gardant ma fierté, je me suis rapproché d'Emmanuel, ai penché une main vers un des trois godes pour le porter directement vers ma bouche. Je le suçais trois secondes afin qu'il puisse glisser dans mon cul sans me faire trop de mal. Je me suis aussitôt après accroupi sur le lit et, tenant le gode vertical sous mes fesses, je me suis assis dessus jusqu'à ce qu'il glisse jusqu'au fond de mon cul. Me regardant comme si je venais d'accomplir un exploit, Emmanuel finit par me dire :
- Eh bien, au deuxième maintenant !
J'approchais le second gode de mon entre-fesses, il me proposa de descendre du lit afin que le gode ne dérape pas comme il risquerait de le faire sur le lit. De nouveau accroupi, je positionnai le gode presque dans le prolongement du premier, tout en prenant beaucoup de plaisir à me regarder dans la glace. J'ai pu ainsi suivre l'entrée presque pas pénible je l'avoue, du deuxième gode. Je savais que mon cul était hyper dilaté, mais je n'avais pas réellement mal ou tout du moins, je laissais dissiper la petite douleur par des gémissements rauques. Emmanuel, excité et impatient d'en être à l'introduction du troisième gode me tendit celui-ci à la bouche. Excité comme je l'étais, je me mis à le sucer comme s'il s'agissait de la pine d'Emmanuel
- Allez, le troisième, maintenant !!! me dit-il
J'hésitais vraiment. Pour finir, j'ai préféré revenir me mettre sur le lit, mais sur le dos cette fois, et les jambes en l'air. C'était à lui de me mettre le troisième gode ou plutôt essayer, car malgré tous ses efforts, Emmanuel n'est jamais parvenu à introduire ce dernier gode. J'avais perdu … mon pari.

Dim 19 mai 2013 Aucun commentaire